Selon un scoop révélé par le journaliste Maxime Truman, l’organisation du Canadien de Montréal serait sur le point d’accorder une prolongation de contrat à Jean-François Houle.

Les pourparlers entre les parties concernées sont à un stade avancé, et Truman a affirmé lundi que l’homme de 49 ans reviendra à la barre du club-école du CH dans la Ligue américaine de hockey la saison prochaine, « à moins d’un revirement de situation de dernière minute ». Une annonce officielle pourrait être faite dans les 10 jours à venir.

Dans le cadre de cette réorganisation, Paul Byron se serait vu offrir le poste d'adjoint avec un salaire annuel de 150 000 dollars.

Quant à Jean-François Houle, bien que Truman n'ait pas pu confirmer le montant exact de son salaire, il estime, en se basant sur ses connaissances et ses contacts au sein de l'organisation du Canadien et de la AHL, que celui-ci sera au minimum de 250 000 dollars, avec une fourchette probable entre 250 000 et 300 000 dollars.

La décision pour Paul Byron d'accepter un poste d'adjoint dans la Ligue américaine de hockey (AHL) avec un salaire de 150 000 $ par an mérite une réflexion approfondie.

À première vue, le montant peut représenter des "peanuts" pour un ancien millionnaire de la LNH. Surtout quand on pense aux conditions de travail spécifiques à ce rôle, notamment les longs voyages sur la route. Dormir des "nuits blanches" en autobus, disons que ce n'est pas fait pour tout le monde.

Accepter ce poste indique une véritable passion pour le sport. Pour quelqu'un qui a consacré sa vie au hockey, continuer à contribuer au développement des joueurs et à l'organisation peut être une source de grande satisfaction personnelle et professionnelle.

Pour Byron, qui est à la fin de sa carrière de joueur, cette opportunité représente une transition naturelle vers un rôle dans le coaching. Cela pourrait aussi ouvrir des portes pour des opportunités futures dans la LNH.

Le 150 000 dollars doit être vu comme un bonus pour Byron. Ce n'est pas l'important pout un gars qui a des millions dans son compte en banque.

Travailler en tant qu’adjoint dans la AHL offre une précieuse expérience et une formation pratique en coaching. Cela pourrait être un tremplin vers des postes plus prestigieux et mieux rémunérés à l'avenir pour l'ancien attaquant du CH.

Bien que 150 000 dollars est un chiffre alléchant pour la majeure partie de la population, cela n'a pas la même valeur pour un multimillionnaire comme Byron, qui a beaucoup négligé sa famille en tant que joueur de la LNH.

Les longues heures de déplacement et les voyages fréquents en autobus peuvent être épuisants. Cette réalité du quotidien dans la AHL pourrait être un inconvénient majeur, surtout pour quelqu'un qui a été habitué aux voyages en avion de luxe et aux installations de la LNH.

Les exigences de ce poste auront un impact sur la vie personnelle et familiale. Byron devra peser l'impact potentiel sur son temps avec sa famille et sa qualité de vie en général.

Il faut vraiment être passionné pour accepter ces sacrifices. La balle est dans son camp. Ou plutôt. La rondelle est dans ses mains...et son portefeuille dans les poches. Reste à voir s'il sera plus lourd de 150 000 boulettes para nnée. 

Pour ce qui est de Houle, cette prolongation de contrat à minimum 250 000 dollars par année serait donc une marque de confiance de l'organisation envers ses compétences pour développer les jeunes espoirs au sein du club-école du Canadien.

On s'attendait à "moins de cash", Mais comme Truman nous l'a expliqué, Laval est un gros marché de la AHL et Houle doit être payé en conséquence.

Minimum 250 000 boulettes...disons que les trajets en autobus vont bien se prendre...

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