4 heures du matin: la blonde de Juraj Slafkovsky fait jaser

4 heures du matin: la blonde de Juraj Slafkovsky fait jaser

Par David Garel le 2024-12-18

Depuis son arrivée à Montréal, Juraj Slafkovsky semble évoluer sous un microscope.

La pression d’être le tout premier choix du repêchage de 2022 est écrasante, et chaque mouvement du jeune Slovaque est analysé, décortiqué, critiqué.

Mais depuis la signature de son contrat lucratif de 7,6 millions de dollars par année pour huit ans, ce n’est pas seulement sa performance sur la glace qui fait parler.

Sa vie personnelle, notamment sa relation avec une serveuse du célèbre Flyjin, Angélie Bourgeois-Pelletier, suscite également des interrogations.

Le Flyjin, restaurant-bar branché du Vieux-Montréal, est connu pour attirer une clientèle festive et sophistiquée. Ce qui a fait surface récemment, c’est que la compagne de Slafkovsky y travaillerait.

L’information a été rapportée par le chroniqueur Jean Trudel, alias JT Utah, sur les réseaux sociaux, lançant une série de débats sur les priorités du jeune attaquant.

La question posée dans le balado Stanley25 est sans détour : est-ce que la vie nocturne de sa blonde, qui termine ses soirées à 4 h du matin, pourrait nuire à la concentration de Slafkovsky?

L'extrait vidéo est croustillant au possible:

« Si sa copine rentre à 4 h du matin après son shift, comment peut-il être au top de sa forme pour les entraînements matinaux au Complexe CN à Brossard? Les petits détails font toute la différence quand tu joues contre les meilleurs au monde. »

Jean Trudel est de l'avis contraire.

« De toute façon, les joueurs du CH ne s’endorment pas avant 2-3 heures du matin après les matchs. Mieux vaut qu’il ait une seule copine au lieu de courir à gauche et à droite. Au moins, sa blonde peut prendre soin de lui durant le week-end. »

Cependant, pour une équipe comme le Canadien, en quête de constance et de progrès, les distractions hors glace peuvent devenir un sujet d'inquiétude, surtout lorsque les performances ne sont pas au rendez-vous.

Ce qui agace encore plus les médias et les partisans, c’est l’attitude arrogante de Slafkovsky lorsqu’il s’exprime sur sa situation.

Cette attitude, loin d’apaiser les tensions, alimente les critiques.

Les médias montréalais n’aiment pas les joueurs qui se placent au-dessus de la mêlée sans avoir prouvé leur valeur.

Avec son nouveau contrat, Slafkovsky est désormais payé comme une vedette de la LNH. Mais ses performances, en deçà des attentes, mettent en lumière une vérité brutale : il est encore loin d’être l’attaquant de puissance que Montréal espérait.

Sa stature imposante (6 pieds 3 pouces, 225 livres) semble inutile lorsqu’il joue sans intensité, évitant les zones chaudes et lançant rarement au filet.

Marc de Foy, du Journal de Montréal, a résumé la situation de manière cinglante :

« Il ne déploie pas la combativité d’un attaquant de puissance. Il est passif le long des rampes et il ne tire pas assez au filet. »

Et les partisans, déjà frustrés, commencent à se demander si le Canadien n’a pas commis une erreur en offrant un contrat aussi généreux à un joueur qui n’a montré qu’une demi-saison prometteuse.

L’entraîneur Martin St-Louis, pour sa part, refuse de critiquer ouvertement son protégé. Il a même cité Muhammad Ali en conférence de presse, soulignant que :

« Les champions sont bâtis lorsque personne ne regarde. »

Si cette approche vise à protéger Slafkovsky des critiques extérieures, elle pourrait également lui envoyer le mauvais message.

La patience des partisans et des médias est limitée, surtout à Montréal, où les attentes envers les jeunes joueurs sont énormes.

Pour Juraj Slafkovsky, la marge de manœuvre se rétrécit. Les partisans, déjà exaspérés par ses performances et son attitude, n’attendront pas indéfiniment qu’il se transforme en joueur d’impact.

La LNH est une ligue impitoyable, et si Slafkovsky ne montre pas rapidement des signes de progrès, il pourrait bien devenir le visage des promesses non tenues du Canadien.

À 20 ans, il a encore le temps de redresser la barre, mais il devra apprendre à gérer la pression, à rester concentré, et, surtout, à prouver que sa place est bien sur la glace, et non au cœur des controverses hors du hockey.

Les avis divergent sur l’impact réel de cette relation sur Slafkovsky. Pour certains, le rythme de vie associé à une relation avec une serveuse travaillant tard nuit à sa récupération et, potentiellement, à ses performances. À 20 ans, Slafkovsky a encore beaucoup à apprendre sur l’importance d’une routine stricte et d’une discipline rigoureuse pour maximiser son potentiel.

D’autres estiment que ces spéculations sont injustes et déplacées. Blâmer sa compagne pour ses difficultés actuelles est un raccourci facile qui détourne l’attention des vrais problèmes : un manque de constance, des attentes élevées, et une pression immense due à son contrat de 7,6 millions $ par saison à partir de l’an prochain.

Le parallèle avec d’autres joueurs

L’histoire de Slafkovsky n’est pas unique. Montréal a souvent été le théâtre de débats sur la vie personnelle des joueurs du Canadien. De Brendan Gallagher, marié à une Québécoise, à Alex Galchenyuk, dont la relation avec Chanel s’était retrouvée au cœur des potins, la ville est connue pour scruter à la loupe les moindres aspects de la vie des athlètes.

Cependant, comparer Slafkovsky à des joueurs comme Galchenyuk, qui a connu des déboires personnels et professionnels, semble prématuré. Slafkovsky est encore jeune, et sa relation pourrait tout aussi bien lui offrir une stabilité bienvenue dans un environnement aussi exigeant que celui de Montréal.

Un défi sur et hors glace

Le véritable problème pour Slafkovsky réside peut-être ailleurs. Avec seulement deux buts et 13 passes en 26 matchs cette saison, ses performances sont loin de répondre aux attentes. La pression liée à son statut de premier choix au repêchage et à son lucratif contrat à venir est déjà immense, et elle ne fera qu’augmenter.

Martin St-Louis, son entraîneur, refuse de céder à la panique, mais même lui reconnaît que Slafkovsky doit élever son niveau de jeu :

« Il a besoin de trouver de la constance et de maximiser ses atouts physiques. La production suivra si le processus est bon. »

Pour Slafkovsky, l’enjeu est clair : prouver qu’il mérite la confiance que l’organisation a placée en lui. Cela signifie non seulement améliorer ses performances sur la glace, mais aussi gérer intelligemment sa vie personnelle.

Leçons à retenir

Le débat autour de Slafkovsky et de sa relation met en lumière une réalité universelle dans le sport : les athlètes, surtout les jeunes, doivent naviguer entre des attentes professionnelles élevées et une vie personnelle qui peut parfois attirer une attention disproportionnée.

Pour certains, sa relation avec Angélie est une distraction qui nuit à son développement. Pour d’autres, c’est un aspect de sa vie qui peut lui offrir un équilibre nécessaire dans un milieu où la pression est constante.

Slafkovsky devra rapidement montrer qu’il peut jongler avec ces aspects de sa vie tout en répondant aux attentes. Montréal est une ville passionnée, mais impitoyable. Si ses performances ne s’améliorent pas, les critiques continueront de pleuvoir, que ce soit sur son jeu ou sa vie personnelle.

L’avenir de Juraj Slafkovsky dans la LNH dépendra de sa capacité à faire taire les doutes, sur et hors de la glace. Une tâche ardue, mais pas impossible, pour un jeune joueur encore en quête de son plein potentiel.

Les avis divergent sur l’impact réel de cette relation sur Slafkovsky. Pour certains, le rythme de vie associé à une relation avec une serveuse travaillant tard nuit à sa récupération et, potentiellement, à ses performances.

À 20 ans, Slafkovsky a encore beaucoup à apprendre sur l’importance d’une routine stricte et d’une discipline rigoureuse pour maximiser son potentiel.

D’autres estiment que ces spéculations sont injustes et déplacées. Blâmer sa compagne pour ses difficultés actuelles est un raccourci facile qui détourne l’attention des vrais problèmes : un manque de constance, des attentes élevées, et une pression immense due à son contrat de 7,6 millions $ par saison à partir de l’an prochain.

L’histoire de Slafkovsky n’est pas unique. Montréal a souvent été le théâtre de débats sur la vie personnelle des joueurs du Canadien.

De Brendan Gallagher, marié à une Québécoise, à Alex Galchenyuk, dont la relation avec Chanel, serveuse chez Parée, s’était retrouvée au cœur des potins, la ville est connue pour scruter à la loupe les moindres aspects de la vie des athlètes.

Cependant, comparer Slafkovsky à des joueurs comme Galchenyuk, qui a connu des déboires personnels et professionnels, semble prématuré.

Slafkovsky est encore jeune, et sa relation pourrait tout aussi bien lui offrir une stabilité bienvenue dans un environnement aussi exigeant que celui de Montréal.

Martin St-Louis, son entraîneur, refuse de céder à la panique, mais même lui reconnaît que Slafkovsky doit élever son niveau de jeu :

« Il a besoin de trouver de la constance et de maximiser ses atouts physiques. La production suivra si le processus est bon. »

Pour Slafkovsky, l’enjeu est clair : prouver qu’il mérite la confiance que l’organisation a placée en lui. Cela signifie non seulement améliorer ses performances sur la glace, mais aussi gérer intelligemment sa vie personnelle.

Pour certains, sa relation avec Angélie est une distraction qui nuit à son développement. Pour d’autres, c’est un aspect de sa vie qui peut lui offrir un équilibre nécessaire dans un milieu où la pression est constante.

Slafkovsky devra rapidement montrer qu’il peut jongler avec ces aspects de sa vie tout en répondant aux attentes.

Montréal est une ville passionnée, mais impitoyable. Si ses performances ne s’améliorent pas, les critiques continueront de pleuvoir, que ce soit sur son jeu ou sa vie personnelle.

Il est averti. Sa blonde aussi.

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