La bombe est tombée. Le genre de nouvelle qui réveille une ville au complet.
Après des semaines de rumeurs, de murmures, de réseaux sociaux en feu et d'insiders qui se méfiaient de leurs propres sources, c'est maintenant confirmé : Noah Dobson est un membre du Canadien de Montréal.
Et ce n'est pas une transaction banale.
C'est un coup de tonnerre orchestré par Kent Hughes et Jeff Gorton, un véritable hold-up exécuté avec une précision chirurgicale, quelques heures avant le repìhange de la LNH.
La pression était à son comble, les téléphones chauffaient, et Hughes, qui refusait de sortir de cette période de transaction les mains vides, a décidé de tout miser.
Et maintenant que la poussière retombe, le retour fait déjà grincer bien des dents ailleurs dans la LNH.
Le Canadien a cédé Emil Heineman, le 16e choix et le 17e choix au total du repêckage 2025 pour mettre la main sur Noah Dobson, un défenseur droitier de 24 ans déjà dominant et maintenant signé pour 8 ans à 9,5 millions.
Aucune perte dans la banque d’espoirs.
Reinbacher reste. Hutson reste. Mailloux reste.
Guhle reste.
Le top 4 du CH vient de prendre une tournure sérieuse sans sacrifier son avenir. Kent Hughes n’a pas simplement gagné la transaction : il a commis un vol de grand chemin.
Il est déjà une référence dans la LNH. Un défenseur droitier, âgé de seulement 25 ans, qui sort de saisons de 39, 70, 51 et 49 points.
Et ce n'est pas tout : sa signature à long terme, 8 ans à 9,5 millions par saison, assure au CH un quart-arrière pour les années à venir.
« Dobson voulait rester dans l'Est. Montréal était en haut de sa liste. »
Ce qui avait commencé comme une simple prise d'informations est devenu une véritable opération de commando. Selon ce qu'on comprend, les Islanders étaient réticents à l'idée de perdre Dobson, mais ils étaient coincés.
La négociation pour une prolongation de contrat avec le joueur tournait en rond, et la pression montait de leur côté.
Ce n'était pas une question de volonté, mais de structure salariale. Dobson visait le long terme et les Islanders n'étaient pas prêts à suivre.
Dans ce contexte, Kent Hughes a flairé l'occasion et a frappé.
Il a livré ce que les partisans rêvaient d'obtenir : un véritable numéro un à droite, un remplaçant naturel à David Savard, mais surtout, un général capable de supporter Ivan Demidov, Juraj Slafkovsky et Nick Suzuki sur l'avantage numérique.
Une pièce centrale pour faire passer le CH de promesse à menace.
Ce n'est pas un hasard si cette transaction survient maintenant. Le timing est parfait.
Avec le repêckage en approche, le CH sait qu'il a encore deux choix de première ronde, et il veut maximiser leur valeur.
Mais il fallait aussi répondre à la frustration d'une fanbase qui, depuis des mois, attendait un signal clair : « Est-ce qu'on veut gagner maintenant ou non? »
Eh bien, le message est clair maintenant. Dobson est là, et ce n'est pas pour faire de la figuration.
On voulait un joueur capable d'avoir un impact immédiat. Noah correspond parfaitement à ce profil.
Et attention, ce n'est peut-être pas fini. Si Hughes a été capable de faire bouger un monstre comme Dobson, qu'est-ce qui l'empêcherait de poursuivre avec un attaquant?
Jason Robertson reste une cible potentielle. Kent Hughes veut frapper fort. Il sait que l'Est est congestionné, que la fenêtre de compétition s'ouvrira bientôt pour Montréal, et que le temps d'attendre est révolu.
Cette transaction, c'est aussi une claque à ceux qui doutaient de la capacité de Hughes et Gorton à livrer la marchandise.
Ils ont été patients, parfois trop, mais aujourd'hui, ils posent un geste audacieux. Ils viennent de redonner de la crédibilité à leur plan.
On a parlé de patience, mais on a toujours dit qu'on allait agir quand l'occasion se présenterait. C'était le bon moment.
Noah Dobson, c'est un pari calculé. Et un véritable signal qu'à Montréal, on a décidé d'arrêter de regarder passer le train.
Kent Hughes et Jeff Gorton viennent de signer leur chef-d’œuvre.
Ils n’ont pas cédé Reinbacher, ni Hutson, ni Mailloux. Ils gardent leur avenir intact… et obtiennent un défenseur numéro un établi en prime.
Tout ça contre Emil Heineman et deux choix de mi-première ronde. Mathieu Darche doit regarder ça en se demandant comment il a pu se faire avoir à ce point.
Parce qu’au bout du compte, dans ce deal-là, il n’y a qu’un seul gagnant… et il est à Montréal.
Ça faisait des mois que les rumeurs circulaient autour de Noah Dobson.
Mais ce qui a vraiment allumé la mèche, c’est cette fameuse photo qui a commencé à circuler hier soir : Kent Hughes et Vincent Lecavalier, tout sourire, en train de célébrer quelque chose.
Sur le coup, personne ne comprenait vraiment pourquoi… mais aujourd’hui, tout prend son sens.
Les deux hommes savaient déjà que la bombe allait exploser.
Dobson était à eux.
Et maintenant, alors que les lignes ouvertes vont surchauffer et que les médias de Toronto cherchent déjà à minimiser l'impact de cette transaction, une seule réalité s'impose : le CH vient de prendre une longueur d'avance.
Une véritable déclaration de guerre à la LNH. Le moment de vérité approche.
Et quand on fera le bilan de cette époque charnière du Canadien, on se souviendra du jour où Kent Hughes a pris le téléphone, composé le bon numéro, et changé à jamais le visage de sa franchise.
La métropole est en ébullition, les réseaux sociaux déraillent, et les gradins du Centre Bell ne seront plus jamais les mêmes. Dobson, c'est plus qu'un joueur… c'est un virage.
Et le CH vient de tourner en dérapage contrôlé vers les sommets.
À suivre ...