- Bon bon bon....
- Même le coach des Sénateurs, DJ Smith, prend André Tourigny en PITIÉ...
«Les situations sont très, très similaires. (avec la reconstruction qui s'est passé à Ottawa). Il (Tourigny) est un gars vraiment ‘sharp’ qui adore le hockey et qui travaille fort. C’est intéressant, nous avons suivi des parcours similaires en passant par le hockey junior pour arriver chez les pros."
"Tout le monde a sa façon de manipuler son message un peu, mais il est un gars de la nouvelle école qui communique bien avec ses gars et il a de vraiment bonnes idées. Il va faire du bon travail là-bas».
- André Tourigny apprécie...qu'on le prenne en PITIÉ...
«On en a parlé beaucoup. D.J., c’est un gars que j’ai beaucoup apprécié et j’ai gardé contact avec lui. C’est un très bon ‘coach’ et nous avons une façon de voir les choses similaires à bien des points de vue au niveau du style de jeu, on a eu bien du ‘fun’ ensemble. Comme lui, je me considère un ‘players’ coach’, mais il faut que tu sois un miroir de l’équipe. Si tes joueurs travaillent et ‘performent’, tu n’as aucune raison de ne pas être un bon gars avec eux. À l’inverse, s’ils te rendent la vie difficile, c’est un miroir, ça va être la même chose, mais de l’autre bord», souligne-t-il.
«Ces situations-là (au lendemain d’un revers), c’est un beau défi pour un ‘coach’. Tu veux être sur la glace pour un septième match, c’est ça jouer au hockey. Comme gardien, tu veux être dans le ‘net’ quand tu mènes par un but et que l’autre équipe a un ‘power play’ à la fin du match. C’est la même chose comme entraîneur, quand il y une vallée, une léthargie, pour nous, c’est ‘Game On’. Il faut repartir la machine et une fois qu’elle va être repartie, ça va être de les laisser jouer».