- HAHA!!!!
- Après la qualification MIRACULEUSE du CH pour les séries..
- Antoine Roussel traite le CH d'équipe DOUTEUSE!!!!!!
«Il y a eu plus d’opposition que je croyais. Pour les Canucks, nous participions aux séries, peu importe la formule. Avec 16 équipes, nous y étions en raison de notre 7e rang dans l’Ouest selon la moyenne de points par match. À 24 équipes, nous avons aussi notre place.»
«Il y a des joueurs qui trouvaient que ça dénaturait le hockey avec des séries à 24 équipes. Ça change aussi le parcours avec un tour supplémentaire. C’est vrai. Mais nous vivons une situation unique. Nous avons besoin de nous ajuster. La vie est dénaturée dans toutes les sphères.»
«Au final, je trouve que c’est une formule juste. Quand tu choisis de revenir au jeu, tu as besoin que ce soit viable économiquement. Avec plus d’équipes, il y a plus de marchés d’impliqués. Je trouve ça aussi excitant. Nous découvrirons une nouvelle formule pour les séries.»
«Il y a trois équipes qui posaient des problèmes pour le côté équitable, c’était Montréal, Chicago et l’Arizona. On parle de trois équipes qui se retrouvaient loin d’une place en séries à l’interruption de la saison."
«Les trois étaient pratiquement éliminées. Elles viennent de renaître avec la nouvelle formule et elles pourraient créer des surprises dès le premier tour où ce serait un trois de cinq.»
«Mais c’est la réalité. Il faut s’adapter. On vit un moment différent. La LNH cherche à faire de l’argent. Et c’est la même histoire pour les joueurs. Sur le plan financier, je salue l’initiative avec des séries à 24 équipes. Pour l’aspect équité, c’est discutable. Pour la qualité de vie en famille, c’est loin d’être l’idéal. Mais dans la vie, tu dois faire des sacrifices. Il n’y a rien de parfait.»
«Nous ne sommes pas dans une tranche d’âge à risque. Il y a un danger, mais ça ne me stresse pas trop. Je sais toutefois qu’il y a des joueurs qui sont plus nerveux. Quand tu lis ou tu regardes les nouvelles tous les jours sur la COVID-19, tu finis par devenir plus nerveux. Moi, je travaille sur mon érablière. Je suis dans le bois.»