La question qui brûle les réseaux sociaux: est-ce qu'Arber Xhekaj est capable de payer son loyer?
Cette question farfelue a récemment fait surface sur les réseaux sociaux, créant une réflexion sur la réalité financière des joueurs de hockey professionnel, même dans la LNH.
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— /r/Habs (@HabsOnReddit) January 23, 2024
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Bien que l'idée puisse sembler surprenante, elle soulève des considérations importantes sur les salaires des joueurs et les défis financiers auxquels ils pourraient être confrontés.
Le salaire de base d'Arber Xhekaj en tant que défenseur du Canadien de Montréal dans la LNH s'élève à 775 000 dollars. (sans compter les bonis de performance).
En décomposant ce montant sur une période de 180 jours, cela équivaut à environ 4 305 dollars par jour lorsqu'il est dans la LNH.
Recevant son salaire deux fois par mois, soit 64 575 dollars, il doit ensuite faire face à des déductions importantes, notamment les impôts, l'escrow et ses obligations envers l'Association des joueurs.
Après toutes ces déductions, il est estimé qu'Arber Xhekaj perçoit environ 32 000 dollars par mois dans son compte bancaire.
Cependant, cette somme ne reflète pas seulement sa réalité financière, car il doit également faire face à diverses dépenses personnelles et professionnelles.
Lorsqu'il joue dans la Ligue américaine (AHL), le salaire de Xhekaj diminue à 70 000 dollars, ce qui représente environ 388 dollars par jour. Recevant son salaire toutes les deux semaines, soit 5 833 dollars, il reçoit alors environ 3 500 dollars deux fois par mois après les déductions.
Ainsi, bien que Arber Xhekaj soit certainement capable de payer son loyer, ces chiffres mettent en lumière une réalité financière moins flamboyante que ce que l'on pourrait imaginer pour un joueur de hockey professionnel de la LNH.
Les dépenses, les impôts et les obligations contractuelles réduisent considérablement le montant net que le joueur peut réellement conserver.
Cette réflexion sur la stabilité financière des joueurs professionnels met en lumière des questions plus larges sur la gestion prudente des finances personnelles et la nécessité de prendre en compte tous les aspects du salaire avant de faire des suppositions sur la richesse des athlètes de haut niveau.