- AYOYE...
- Selon Jean-Charles Lajoie...
- Carey Price va être....HANDICAPÉ...
- Autant physiquement...que mentalement...
- TRISTE...si TRISTE...
Carey Price a 34 ans. Il n’a plus de genoux. Il n’a plus de hanches. Il aura besoin d’un minimum de quatre opérations la retraite venue. Juste pour être capable de sortir du lit et se faire un café sans douleur au petit matin.
Voilà 13 ans qu’on demande à Price de gagner une coupe Stanley presque à lui seul. 13 ans qu’il est sous la loupe quotidiennement. Qu’il reçoit une pluie de critiques beaucoup trop intense pour la contrepartie d’amour. 13 ans à subir les humeurs de plus d’un million de personnes sur les médias sociaux.
Price est magané. Qui ne le serait pas à sa place ? Il est humain. En soi, c’est émouvant. Carey est victime de son époque. Ça va prendre quelques décennies avant que les historiens se risquent à reconnaître son apport à cette équipe.
À réaliser qu’il fut un immense privilège. Le plus beau prototype de gardien de but à ce jour dans le hockey. D’ici là, Carey demeurera, hélas, un grand incompris.