Au cœur du Québec, un mouvement passionné émerge et de devient de plus en plus insistant, embrasant la population québécoise avec une ferveur sportive qu'on peut de plus en plus sentir sur les réseaux sociaux.
Les échos vibrant sur les réseaux sociaux et les débats enflammés à travers la province témoignent d'un désir unanime : voir Bob Hartley rejoindre les rangs du Canadien de Montréal en tant qu'entraîneur adjoint auprès de Martin St-Louis.
Certains veulent même le voir remplacer St-Louis en tant que coach en chef. Mais cela n'arrivera pas. St-Louis va bel et bien signer une prolongation de contrat à l'été 2025.
Cette proposition n'est pas simplement le fruit d'une impulsion soudaine, mais plutôt le résultat d'une réflexion mûrie au fil des saisons.
Bob Hartley, avec son expertise éprouvée et son palmarès impressionnant, incarne l'essence même du leadership dans le monde du hockey. Sa capacité à inspirer et à guider les joueurs vers l'excellence est largement reconnue, et c'est cette qualité qui attire tant les partisans du hockey au Québec.
Pourtant, le mouvement ne se limite pas à une simple demande de renfort. Il reflète également une profonde compréhension des dynamiques internes de l'équipe.
En plaidant pour l'arrivée de Hartley comme entraîneur adjoint, les partisans reconnaissent l'importance de maintenir l'harmonie et la cohésion au sein du personnel d'entraîneurs. Hartley est assez intelligent et subitl pour ne pas remettre l'autorité de St-Louis en jeu.
Ils sont conscients que l'introduction d'un nouvel élément pourrait potentiellement perturber l'équilibre délicat qui existe déjà.
C'est pourquoi l'accent est mis sur la complémentarité entre Hartley et St-Louis. Alors que St-Louis a cette crainte de voir son autorité perdre de la crédibilité aux yeux du vestiare, d'où la raison qu'il refuse toujours d'avoir un coach d'expérience avec lui, Hartley est le candidat parfait.
La coach qui a gagné la Coupe Stanley au Colorado apporterait une expertise tactique et une sagesse acquise au fil des années. L'objectif est clair : renforcer l'équipe d'entraîneurs sans compromettre l'autorité et la direction de St-Louis.
Le momentum derrière cette campagne ne cesse de croître, alimenté par l'enthousiasme des partisans et l'adhésion de plus en plus large à cette idée.
Toutefois, la décision ultime repose entre les mains de Martin St-Louis lui-même. En acceptant l'aide offerte par Hartley, St-Louis démontrerait non seulement sa confiance en ses propres capacités, mais aussi sa volonté de mettre l'équipe et ses performances au premier plan.
Alors que la balle (ou la rondelle) est désormais dans le camp de St-Louis, les partisans observent avec anticipation, espérant que leur demande sera entendue et que cette collaboration potentiellement fructueuse verra bientôt le jour sur la glace.
Dans tous les cas, Hartley est averti: s'il sort de sa retraite, il devra payer des impôts, foi de Pierre-Yves McSween.
«Au Canada, plus on gagne de revenus, plus on paye d’impôt. C’est notre équité fiscale, qu’on ait 72 ou 28 ans. C’est la base de notre système. De manière ponctuelle, peut-on extrapoler un régime pour permettre à des gens de travailler une ou deux années de plus après la retraite? Pourtant, toutes ces personnes connaissaient les règles du jeu. Elles se plaignent quand même de l'impôt à la retraite...» (crédit: 98,5 FM).
Mais disons que Bob Hartley n'est pas cette dame qui va réduire son horaire de travail dans un dépanneur parce qu’elle va payer plus d’impôt. Elle a atteint l’âge où elle doit commencer à décaisser une partie de son Régime d’épargne Régime enregistré d'épargne-retraite (REER) obligatoirement à cause du transfert obligatoire en Fonds enregistré de revenu de retraite (FERR). (crédit: Le Journal de Montréal, (98,5 FM).
Impôts ou non, Hartley est prêt à venir aider St-Louis. Croisons les doigts pour que St-Louis accepte de marcher sur son ego...