- Brendan Gallagher a NARGUÉ Matt Niskanen...quand ce dernier a pris sa RETRAITE...
- Par l'entremise de compte TikTok, l’attaquant du Canadien diffusant un montage mêlant le double échec que Niskanen lui a infligé, ses visites chez le dentiste et son commentaire CINGLANT : « J’espère que Matt profite bien de la retraite. »
"Quand je m’ennuie, j’aime bien déconner un peu. C’était juste pour m’amuser ! »
« Quand Zdeno Chara m’a donné le double échec [à la trachée], il m’a contacté. Pas lui. C’est correct, c’est son choix.
« J’aurais aimé l’affronter de nouveau. Régler ça, ce n’est pas le bon terme. Mais il m’a sorti des séries. Il m’a privé de cette chance de jouer. J’aurais aimé compétitionner une nouvelle fois contre lui. »
"Ma mâchoire est guérie, mais je devrai me rendre chez le dentiste à mon retour à Montréal. Le coup de Niskanen m'a déjà fait perdre une dent, « mais c’est possible qu’il y en ait quelques-unes qui suivent ».
« J’ai quand même terminé le match. Je me suis levé le lendemain et j’étais persuadé que je jouerais. Je passais la journée à l’hôtel, on avait congé, donc je récupérais. Mais j’ai dû passer des radiographies et en soirée, les médecins m’ont annoncé que je ne pourrais pas jouer. »
« J’ai vu la première moitié du match avant d’entrer en salle d’opération. Si on avait gagné ce match, je serais immédiatement retourné à ma chambre pour commencer ma quarantaine. J’en aurais peut-être eu pour une semaine avant de pouvoir revenir au jeu. »
Le Dr Dan Deckelbaum, adjoint au médecin en chef du Tricolore, n'en revient toujours pas.
« Son seuil de tolérance à la douleur, tu pouvais le voir dans sa face ! ».
« Gally est le premier à vouloir retourner sur la glace, pas seulement pour lui-même, mais pour l’équipe. Il veut juste être là pour l’équipe et c’est un vrai meneur. Mais de notre côté, on doit faire une évaluation complète du patient, afin de ne pas mettre sa santé à risque à son retour au jeu. »
- Gally en rit..
« Certains joueurs ont un seuil de tolérance plus élevé tout en restant efficaces. De mon côté, je dis toujours qu’il y a une différence entre être blessé et en douleur. Quand tu es blessé [injured], tu ne joues pas. Quand tu es en douleur [hurt], tu peux quand même jouer. »
"Peu importe le sport, les joueurs ne sont jamais à 100 %. De mon côté, j’évalue le risque. Peux-tu aggraver la blessure ? Peux-tu la gérer ? S’il y a un risque de subir une plus grosse blessure ensuite, tu ne dois pas jouer.
« Je ne pense pas que mon degré de tolérance soit spécial ! Tu t’y habitues. Au cours d’une saison, il y a certains jours où tu te sens moins bien. Souvent, c’est pire le matin, mais t’espères aller de mieux en mieux au fil de la journée."
« Pour ma part, si l’entraînement du matin d’un match est optionnel, et que je suis allé sur la glace récemment, je vais sauter mon tour. La meilleure façon de me préparer est de me reposer le matin et d’avoir une bonne activation avant le match. D’autres joueurs préfèrent sauter sur la glace et toucher un peu à des rondelles. »