Ça va mal finir entre Filip Mesar et le Canadien de Montréal.
Le malaise est évident au camp du Rocket de Laval, où Mesar s'entraîne à l'aile droite comme s'il était un réserviste.
Il alterne les répétitions à l'aile droite. Pas beaucoup de répétitions. Comme s'il était un moins que rien.
Certains conseillers dans le clan de Mesar lui disent de retourner en Europe si on le rétrograde dans la ligue américaine.
Ça pourrait tourner au vinaigre. Mesar est outré que la direction du CH n'ait pas tenu sa promesse. On dirait que c'est l'argent qui aveugle Mesar.
Il ne veut pas se retrouver dans le junior à n'avoir aucun revenu quand il peut empocher 82 500 $ dans la ligue américaine.
Il pourrait empocher sensiblement le même salaire en Europe.
Mesar ne voit que les billers verts, mais ne réalise pas que le plus important est son développement.
Il ne réalise pas qu'il a connu un camp horrible et qu'il n'est pas de calibre pour du hockey professionnel.
Jean-François Houle n'avait pas à l'humilier publiquement, mais disons que l'organisation du CH n'accepte pas les capricse du choix de 1ère ronde au moment où l'on se parle.
Il faudrait que son chum Slafkovsky lui parle dans le casque.
Mesar agit comme une vedette...alors qu'il est un FLOP.
Qu'il retourne dans le junior et qu'il travaille sur ses lacunes.
Ce n'est pas lui le BOSS.
Qu'il arrête de faire sa diva et qu'il travaille.