Il y a des instants où l’histoire du hockey prend une tournure si inattendue qu’elle en devient carrément explosive.
Ce moment est arrivé avec l’annonce de l’arrivée d’Ivan Demidov au Canadien de Montréal. C’est une véritable bombe médiatique, un séisme qui secoue non seulement le marché du hockey, mais aussi tout l’équilibre de la Ligue nationale.
Le jeune prodige russe, que tout le monde pensait captif de la KHL et des manœuvres de Saint-Pétersbourg, débarque à Montréal, prêt à redéfinir le destin du Tricolore.
Et si pour certains, c’est une victoire éclatante de Kent Hughes, pour Pierre-Luc Dubois, c’est un véritable cauchemar.
Un scénario qu’il n’aurait jamais pu anticiper, mais qui fait basculer la situation du tout au tout, transformant son rêve de vengeance en un univers parallèle où les Capitals, autrefois si confiants, se retrouvent sous une pression inimaginable.
Pierre-Luc Dubois, avec son appétit sans limite de vengeance, avait enfin vu l’opportunité se présenter : une première ronde des séries éliminatoires contre le Canadien.
Enfin, l’occasion de prouver à Montréal, à cette ville qui l’avait rejeté et qualifié de “poison”, qu’il avait plus à offrir que ce qu’ils avaient vu.
“Je veux leur faire payer chaque instant de ce qu’ils ont dit et fait”, affirmait-il, avec la rage d’un homme déterminé à récupérer son honneur.
La revanche contre le Canadien devenait pour lui un moyen de clore un chapitre douloureux et de se venger des critiques incessantes qui l’avaient poursuivi dans les médias montréalais.
À Washington, les espoirs étaient élevés : les Capitals, avec lui, pouvaient enfin se confronter à l’équipe qu’il avait toujours rêvé d’affronter.
Mais voilà qu’un coup du destin, un bouleversement radical, change la donne : Ivan Demidov arrive à Montréal. La presse n’avait cessé de s’interroger sur son avenir, d’émettre des hypothèses sur son transfert, mais personne n’avait anticipé ce coup de maître de Kent Hughes.
L’arrivée de Demidov est un changement du tout au tout, et surtout une bouffée d’air frais pour une équipe en pleine renaissance.
Les Canadiens viennent de récupérer un talent pur, un joueur générationnel qui, aux côtés de Suzuki et Caufield, va redéfinir le visage du Tricolore pour la prochaine décennie.
Pour Dubois, la situation devient presque trop cocasse. Lui qui avait vu l’opportunité de battre le Canadien en première ronde se transformer en rêve imminent se retrouve maintenant à affronter un monstre qu’il n’avait pas vu venir : Ivan Demidov, le joyau des jeunes talents.
Ce n’est pas seulement un coup dur pour les Capitals, mais une véritable claque dans l’ego de Dubois. Au lieu de voir la série contre Montréal comme une simple confrontation sportive, il doit maintenant se préparer à affronter une équipe bien plus armée qu’il ne l’avait imaginé.
Dans la tête de Dubois, c’est un véritable tourbillon. “Comment diable ai-je pu en arriver là ?”, se demande-t-il. Alors qu’il pensait pouvoir régner sur les séries et mener Washington à la victoire, il se rend compte que tout a basculé.
Ivan Demidov n’est pas seulement une addition à l’alignement montréalais. C’est l’élément qui pourrait bien rendre cette équipe impossible à stopper.
Le Canadien, déjà vu comme un outsider redoutable, devient soudainement une équipe complète, solide, avec un arsenal offensif et défensif à faire pâlir les Capitals.
L’arrivée de Demidov à Montréal, un joueur dont la presse avait souvent souligné la mystérieuse situation et les manœuvres du SKA, crée une onde de choc.
Le Canadien n’a pas seulement récupéré un attaquant talentueux, mais un véritable phénomène. Ce n’est pas qu’un joueur qui arrive en renfort, c’est un message : Montréal est de retour.
Et son retour s’accompagne d’une nouvelle vision de l’avenir. Demidov, le “Kirill Kaprizov 2.0”, n’arrive pas pour faire de la figuration.
Il arrive pour dominer, pour transformer les rêves en réalité, et pour redonner au Tricolore une puissance offensive qu’ils n’avaient pas connue depuis des années.
Demidov est un “game changer”, et c’est précisément ce que Dubois craignait le plus. Il savait que le Canadien de Montréal, avec sa cohésion et sa jeunesse, pouvait jouer à fond dans les séries, mais avec Demidov, tout change.
Il est l'électrochoc d’une équipe prête à tout, avec des joueurs comme Suzuki, Hutson et Caufield qui n’ont plus rien à prouver...et qui n'ont rien à perdre...
Le rêve de Dubois de détruire le Canadien en première ronde devient un véritable cauchemar. La vérité est implacable : il n’y a plus de place pour l’outsider. Montréal n’est plus une équipe à battre en tant qu’"underdog". Ils sont désormais les favoris.
L’affrontement entre les Capitals et le Canadien en première ronde devient désormais l’un des plus attendus de l’histoire récente des séries éliminatoires.
D’un côté, les Capitals avec leur vétéran Ovechkin et leur renouveau avec Dubois. De l’autre, le jeune noyau montréalais, rajeuni et renforcé par l’arrivée fracassante d’Ivan Demidov.
Ce ne sera pas une série ordinaire, ce sera un choc des titans, une bataille où la tactique, le talent brut et la détermination seront poussés à leur paroxysme. Mais plus que tout, ce sera une guerre de fierté.
Du côté des Canadiens, les espoirs sont décuplés. L’arrivée de Demidov les propulse au sommet, et la presse, qui jadis le critiquait et le laissait de côté, commence à entrevoir le retour du grand Montréal.
Kent Hughes, souvent perçu comme un DG discret, est devenu un stratège qui a su frapper là où ça fait mal, redonnant au Tricolore une place de choix parmi les grandes puissances de la LNH.
L’histoire s’écrit aujourd’hui, et Pierre-Luc Dubois, qui pensait avoir le contrôle, se retrouve désormais à devoir naviguer dans un maelström de pressions, de doutes et de critiques.
Les Capitals, maintenant considérés comme les géants de cette série, ne le sont peut-être plus. Le feu sacré qui animait Dubois s’éteint lentement alors qu’il se rend compte que l’inconvénient n’est plus du côté de Montréal.
Le Canadien, porté par un Demidov en pleine ascension, pourrait bien être l’équipe qui bouscule les pronostics et renverse la vapeur.
L’alignement des Capitals n’a pas été éprouvé dans les grandes batailles, et si la pression de la quête de Gretzky a pesé sur Ovechkin, la fraîcheur et la détermination des Canadiens pourraient s’avérer être des armes fatales.
Dubois, qui avait voulu affronter le Canadien, pourrait bien se retrouver à regarder cette série comme un simple spectateur.
Montréal, avec Demidov et sa jeune garde, est prête à tout détruire sur son passage. Si ce n’est pas un cauchemar pour Dubois, alors il faut bien que quelqu’un lui fasse réaliser que les vrais démons du passé viennent de Montréal.
Cette série pourrait bien être une surprise… une surprise de l'année auquelle Pierre-Luc Dubois n’était pas préparé. Et ce qu’il a sous-estimé, c’est que le Canadien n’a jamais été aussi prêt.