Cole Caufield pourrait bien être sur le point de changer de colocataire, et pour une bonne raison.
Depuis un certain temps, il a accueilli Christian Dvorak comme colocataire, mais leur mode de vie a pris une tournure qui laisse beaucoup à désirer.
Ensemble, ils sont devenus ce que l'on pourrait qualifier de "party animals", passant leurs nuits à déambuler dans les restos, les bars et à profiter des excès de la vie nocturne.
Party endiablé dans leur penthouse: Cole Caufield et Christian Dvorak pris la main dans le sac 👇👀🥃🥂https://t.co/QFmYn19qmR
— hockey30.com (@HOCKEY30_com) February 6, 2024
Cependant, une lueur d'espoir se profile à l'horizon sous la forme de Juraj Slafkovsky, qui montre un comportement exemplaire hors-glace et que Caufield considère comme un petit frère.
Les mots "ami", "petit frère" et "j'ai un meilleur tir que lui" ont été utilisés.
— Anthony Martineau (@Antho_Martineau) February 8, 2024
Pas de doute: Slafkovsky et Caufield ont une relation solide comme le roc. C'est évident.
Slafkovsky est d'ailleurs convaincu que cette belle relation l'aide énormément sur la glace.
🤜❤️🤛 pic.twitter.com/TctkCsuPV1
Contrairement à Dvorak, Slafkovsky incarne les valeurs de discipline et de détermination pronées par Martin St-Louis, des qualités qui pourraient exercer une influence positive sur Caufield.
Il est clair que Caufield a besoin d'un changement dans sa vie, et Slafkovsky pourrait bien être la solution idéale. Avec son attitude exemplaire et son dévouement envers le jeu, Slafkovsky pourrait convaincre Caufield qu'il vaut mieux éviter les excès et se concentrer sur son développement en tant que joueur et en tant que personne.
"Il y a beaucoup de matchs cette année où Slaf a été extraordinaire"
— Anthony Martineau (@Antho_Martineau) February 8, 2024
J'ai demandé ce matin à Martin St-Louis quelle était la prochaine étape pour Juraj Slafkovsky.
Sa réponse, en deux volets, en dit long sur son évaluation de la progression du jeune no 20. pic.twitter.com/VEmWBHbOcN
Dvorak, quant à lui, est souvent perçu comme une mauvaise influence, un véritable démon ambulant qui entraîne Caufield dans une spirale descendante à l'extérieur de la patinoire.
C'est à se demander si la léathargie que Caufield a connue en début d'année n'était pas liée à la mauvaise influence de Dvorak.
Depuis que Caufield s'est tranquillisé, on voit la différence sur la glace. Il est plus allumé, plus vif et montre plus d'entrain.
Il est temps que Caufield se sépare de cette influence négative et qu'il donne à Slafkovsky la chance de devenir son nouveau colocataire.
En fin de compte, le choix revient à Caufield, mais il est évident que Slafkovsky représente une bien meilleure option pour lui.
Avec son attitude exemplaire et son influence positive, Slafkovsky pourrait aider Caufield à retrouver le droit chemin et à réaliser tout son potentiel sur et en dehors de la glace.
Un "no-brainer"...