La station de radio BPM Sports n'a pas le choix : elle doit engager le célèbre journaliste Tony Marinaro.
Son nom circule de plus en plus pour remplacer Max Van Houtte, tout juste congédié, faisant de lui le premier choix pour occuper le créneau de 10h à midi.
Mais Tony Marinaro est l'un des journalistes les plus occupés au Canada. Au cours des quatre dernières semaines, Tony a passé 6 jours à Las Vegas pour son "Sick Podcast" au repêchage, 7 jours en République dominicaine pour des vacances familiales, et actuellement, il est en Espagne avec son fils Marco Marinaro.
Ce dernier est un joueur de soccer qui vise un poste avec une équipe professionnelle de première division à Gibraltar.
La saison dernière, Marco jouait au Portugal, et Tony, qui a toujours suivi son fils depuis l'âge de 4 ans, sera difficile à convaincre sans une offre conséquente.
Tony Marinaro a récemment fait sensation en remplaçant Stéphane Gonzalez de manière temporaire. Désormais, avec la colère de plusieurs auditeurs à propos du congédiement de Max Van Houtte, BPM Sports n'a pas le choix de lui offrir un créneau permanent de 10h à 12h, un horaire stratégique pour la station, afin de se réconcillier avec la population.
Maxime Van Houtte n'a pas réussi à faire monter les cotes d'écoute dans cette tranche horaire, et BPM Sports a besoin d'une vedette qui va changer la donne.
La popularité de Tony Marinaro est indéniable. Ses segments à TVA Sports dans l'émission de Jean-Charles Lajoie sont les plus écoutés, et il a le pouvoir d'attirer une large audience partout où il va.
Sa capacité à augmenter les cotes d'écoute est un "MUST" pour BPM Sports, qui cherche à améliorer son audience et ses revenus publicitaires.
Pour attirer Marinaro, BPM Sports devra mettre l'argent sur la table. Son balado "The Sick Podcast" attire de nombreux commanditaires grâce à sa large diffusion et son influence considérable.
Certains dans le milieu parlent de Marinaro comme d'une véritable machine à imprimer de l'argent. L'engager pourrait non seulement augmenter les cotes d'écoute de la station, mais aussi améliorer son image de marque et sa visibilité.
Les discussions autour de son salaire potentiel et de ses conditions de travail sont cruciales. BPM Sports doit est prêt à investir de manière significative pour s'assurer les services de Tony Marinaro, et l'investissement en vaudra la peine.
Si Marinaro signe de manière permanente, ce sera non seulement un coup médiatique, mais aussi une stratégie marketing gagnante.
L'avenir nous dira combien BPM Sports est prêt à investir pour s'offrir les services de Tony Marinaro, mais une chose est certaine : ce journaliste pourrait bien être la clé de la croissance future de la station.
Sa popularité, son influence et son pouvoir de diffusion en font un atout précieux que BPM Sports ne peut échapper.
Marinaro est un "stud". BPM Sports se doit de l'engager. Le Québec en entier le veut. Imaginez Marinaro à 10h, suivi de Laraque et Gonzalez à midi.
BPM Sports jouera alors dans les ligue majeures.
À suivre...