Crise de relations publiques à RDS: Norman Flynn en eaux troubles

Crise de relations publiques à RDS: Norman Flynn en eaux troubles

Par Marc-André Dubois le 2024-05-26
canadiens

RDS et Norman Flynn se retrouvent en eaux troubles alors qu'une vague de critiques déferle sur les réseaux sociaux.

Des centaines d'internautes demandent son congédiement après que Flynn ait déclaré que Kent Hughes devait absolument échanger le 5e choix au total pour un attaquant de top 6.

Ce commentaire a suscité une vive réaction du public, amplifiée par les controverses passées de Flynn.

Flynn a en effet précédemment suggéré des échanges qui sont devenus la cible de moqueries incessantes, tels que Wayne Simmonds contre Nick Suzuki, Cole Caufield contre Kyle Palmieri, et Juraj Slafkovsky contre Pierre-Luc Dubois.

Cette fois-ci, bien que son idée ait peut-être un peu plus de sens, elle n'a pas trouvé "le pardon" aux yeux de la population. Voici quelques commentaires vus sur la toile :

Je me disais la même chose. Il dit n'importe quoi. On dirait un chien enragé."

"Il n'aime pas le jeunes joueurs. Il est un dinosaure. C'est le temps de prendre sa retraite".

D'autres internautes sont tout aussi virulents :

« Il est temps que RDS offre à ce clown son paquet de retraite. » « Comment RDS peut-il entendre ce type parler et penser que c’est une bonne idée de le garder ? » « C’est une idée ridicule après l’autre. » « Ce qui est hilarant, c’est qu’il pense vraiment être la personne la plus intelligente dans la pièce. »

Cette situation est devenue un véritable casse-tête pour RDS, qui doit maintenant gérer une crise de relations publiques tout en réfléchissant à l'avenir de Flynn au sein de leur équipe.

Flynn, quant à lui, doit faire face à une exécution publique sur les réseaux sociaux, où les appels à son départ se font de plus en plus pressants.

BPM Sports avait choisi de montrer la porte de sortie à Flynn en septembre dernier, lorsqu'il n'était même pas au courant que Jeff Petry avait été échangé à Détroit.

BPM Sports le gardait parce que Flynn était le clown de la station. Le public se moquait de lui et était au rendez-vous lors de son segment, juste pour rire de lui.

Mais au final, le ridicule de la situation a fini par convaincre la station sportive de lui montrer la porte de sortie pour sauver sa réputation.

RDS, de son côté, garde Flynn pour des raisons similaires : il est le clown de service et fait monter les cotes d'écoute. Les spectateurs se branchent pour entendre ses positions farfelues et absurdes, ajoutant une touche de divertissement involontaire.

Cependant, à un moment donné, il faut se demander à quel prix. La réputation de RDS est en train de se faire détruire par les déclarations controversées et souvent ridicules de Flynn.

La chaîne doit décider si elle veut continuer à sacrifier son intégrité journalistique pour quelques cotes d'écoute. Pendant ce temps, le Québec en entier demande son congédiement.

Le malaise est palpable. RDS doit réagir...mais comment?

Saga à suivre...

Crise de relations publiques à RDS: Norman Flynn en eaux troubles
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