La situation chez TVA Sports est à un point critique, marquée par une atmosphère de peur et de désespoir.
L'affaire judiciaire visant Pierre-Karl Péladeau, président de Quebecor, qui est poursuivi par l'Assemblée nationale pour des dettes de plus de 61 000 dollars, a semé la panique dans les bureaux.
Le refus de payer le loyer mensuel de 8 448 dollars pour les journalistes à l'Assemblée nationale révèle une crise financière profonde, amplifiée par une gestion controversée des ressources.
Depuis dix mois, Quebecor ne paie plus le loyer pour ses journalistes membres de la Tribune de la presse, accumulant une dette qui atteignait 61 594 dollars en février dernier. Elle atteindrait plus de 90 00 dollars aujourd'hui.
Selon une mise en demeure obtenue par La Presse, l’administration du parlement tente désespérément de récupérer cette somme.
Une douzaine de journalistes travailant pour le Journal de Québec, le Journal de Montréal et le réseau de télévision TVA sont à l'assemble nationale "gratuitement" et ce illégalement.
La cessation de paiement en août 2023 a été justifiée par Quebecor par la « grave crise » due aux géants du web, qui ont capté « plus de 80 % des revenus publicitaires ».
Cette situation crée une injustice flagrante par rapport aux autres médias occupant des locaux à l'Assemblée nationale. Péladeau est le seul qui refuse de payer ce qu'il doit.
L'Assemblée nationale, dans un communiqué récent, souligne que Quebecor n'a pas respecté un accord visant à réduire l'espace occupé et à rembourser les sommes dues.
Depuis, (Quebecor Media Inc) occupe les locaux sans droit, négligeant de payer les arriérés et de conclure un bail. Bref, du vol, un point c'est tout.
Les employés de TVA Sports, ainsi que ceux des autres médias de Quebecor, voient cette crise comme une conséquence directe des erreurs de gestion de TVA Sports.
Tout le monde sait que TVA Sports est la vache maigre qui croule sous les dettes et Péladeau tente de couper les coins ronds pour faire survivre son plus grand échez à vie.
La frustration est palpable dans les bureaux de TVA Sports, et les rumeurs de licenciements massifs et de fermetures de services accentuent le sentiment de désespoir.
Si Péladeau est poursuivi en justice parce qu'il ne veut pas payer son loyer, imaginez à quel point ça va mal chez Quebecor.
TVA Sports a mis toute la compagnie dans le trouble. Au point de se faire poursuivre et devoir près de 100 000 dollars en loyer aujpurd"hui.
La poursuite de l’Assemblée nationale contre Péladeau, accusé de « voler de l’argent », ajoute une couche de scandale à une situation déjà désastreuse.
L'Assemblée nationale a précisé que ce litige n'empêche pas l'accès des journalistes aux travaux parlementaires, mais la pression pour résoudre cette crise financière est intense.
La réputation de TVA et de Quebecor est en jeu, et les employés craignent pour leur avenir dans une entreprise autrefois prestigieuse mais maintenant prise dans une crise de confiance et de gestion, tout ça à cause de l'échec de TVA Sports.
La peur et le désespoir dominent chez TVA Sports, alors que l'ombre d'une crise financière et d'une poursuite judiciaire plane lourdement.
La nécessité de transparence et de restructuration est plus urgente que jamais pour espérer redonner espoir aux employés et restaurer la crédibilité de l'entreprise.
Avant toute chose, Péladeau doit absolument payer ses dettes. C'est de la petite monnaie pour lui. 8448 dollars par mois. Il n'a pas payé depuis plus de 10 mois.
À moins de 100 000 dollars d'amende, il n'est pas normal que le patron des patrons refuse de payer cette somme. Absolument honreux et ridicule...