Angela Price, la femme du célèbre gardien de but Carey Price, a longtemps lutté contre les rumeurs et les fausses allégations entourant sa famille.
Claude Poirier, figure incontournable du journalisme d'enquête au Québec, est aujourd'hui pointé du doigt comme l'initiateur de la rumeur ayant entouré Carey Price et sa famille.
Selon plusieurs sources, c'est lui qui aurait soufflé à l'oreille des médias et de l'industrie du divertissement l'idée d'un scandale impliquant le célèbre gardien des Canadiens de Montréal.
Une histoire qui a pris une ampleur démesurée, notamment avec son inclusion dans la série à succès District 31.
C'est dans les coulisses du monde médiatique que cette rumeur a vu le jour. Claude Poirier, reconnu pour son flair journalistique et son sens de l'investigation, aurait évoqué pour la première fois cette histoire lors d'une discussion informelle.
Il aurait affirmé avoir entendu parler d'une relation extraconjugale impliquant un joueur étoile de la LNH qui avait mis une autre femme enceinte, elle dont le silence avait été achetée par le Canadien de Montréal, sans jamais nommer explicitement Carey Price.
Cependant, l'affaire a rapidement pris de l'ampleur lorsque Paul Arcand, l'un des animateurs les plus influents du Québec, en a fait mention à l'antenne du 98,5 FM.
Arcand, toujours prudent, a laissé entendre qu'il existait "une rumeur persistante concernant un joueur bien connu" sans en révéler davantage.
David Ettedgui, l’ancien agent de Carey Price, a effectivement évoqué la présence de nombreux « feux à éteindre » dans son rôle d’agent de joueurs de la LNH, notamment en lien avec plusieurs joueurs ayant mis des femmes enceintes.
Voici l'extrait vidéo:
Toutefois, Ettedgui a toujours été catégorique : bien qu'il ait été confronté à de telles situations dans sa carrière, jamais il n’a incriminé Carey Price et a toujours défendu l'ancien gardien contre les bruits qui circulaient.
Malgré l'ampleur de la controverse, Poirier a choisi de ne pas aborder cette rumeur dans son documentaire avec Paul Arcand.
Intitulé Claude Poirier: L'homme de la situation, ce documentaire retraçait les grands moments de sa carrière, explorant ses enquêtes les plus marquantes et son influence sur le paysage médiatique québécois.
Pourtant, l'affaire Price a été totalement passée sous silence.
Selon des sources bien informées, cette omission n'est pas anodine. Les Price, exaspérés par la tournure des événements et déterminés à défendre leur réputation, auraient menacé d'intenter une poursuite judiciaire contre Poirier s'il osait évoquer l'affaire publiquement.
Cette menace aurait suffi à dissuader le journaliste chevronné d'inclure la rumeur dans son documentaire, préférant éviter une bataille juridique coûteuse et médiatiquement nuisible.
Pour Angela Price, cette affaire a été une véritable épreuve. Elle s'est insurgée contre ces rumeurs qu'elle qualifie de "mensonges absurdes", dénonçant la facilité avec laquelle certains médias propagent des informations non vérifiées.
Elle a rappelé publiquement que leur famille avait déjà dû faire face à de nombreuses spéculations infondées et que cette nouvelle controverse ne faisait qu'alimenter un climat toxique.
De son côté, Claude Poirier continue de nier toute implication directe dans la propagation de la rumeur, affirmant qu'il n'a fait que "relayer ce que tout le monde savait déjà dans le milieu".
Toutefois, les soupçons persistent, et nombreux sont ceux qui estiment qu'il a joué un rôle clé dans cette affaire.
Si Arcand a brièvement abordé le sujet à la radio, il a toujours pris soin de rester dans les limites de la prudence journalistique.
Lorsqu'il s'agit de traiter des sujets sensibles, Paul Arcand est reconnu pour sa rigueur et sa prudence journalistique. Pourtant, lors de son émission matinale sur les ondes du 98,5 FM, il n'avait pas hésité à aborder la rumeur entourant Carey Price, déclenchée par Claude Poirier.
Sans jamais mentionner directement le nom du gardien du Canadien de Montréal, Arcand a laissé entendre qu'un joueur vedette de la LNH aurait été impliqué dans une situation compromettante, une allusion que de nombreux auditeurs ont immédiatement associé à Price.
Angela Price a décidé de prendre la parole pour répondre aux rumeurs persistantes concernant sa famille et la série télévisée District 31 qui continue de faire jaser, même si le dernier épisode a été diffusé il y a plus de deux ans (en avril 2022). Exaspérée par les fausses accusations, elle a déclaré :
"Toutes ces rumeurs étaient toujours tellement loin de la vérité que ça me faisait rire." "Comprends-moi bien! Il y a eu des histoires croustillantes dans notre passé, mais aucune d'entre elles ne sont sorties publiquement."
"Je me souviens, je crois que c'était à ma deuxième année à vivre à Montréal, et Carey et moi avions eu une énorme dispute et je suis carrément retourné vivre à la maison dans l'Ouest pour quelques mois."
"Je me souviens que des amies à Montréal m'envoyaient des couvertures de magazine avec moi et Carey dessus, avec des titres comme « Carey Price est en amour »! Ça me faisait bien rire."
"Ils ne savaient pas que nous étions finalement séparés. Nous avions rompu depuis des mois."
"Les rumeurs ne sont jamais vraies, on dirait bien." (crédit: Instagram, Angela Price)
Tout ce qu'Angela avait gardé au plus profond d'elle, toute la frustration liée aux spéculations sur sa famille, elle l'a sorti d'un coup. Angela ne pardonnera jamais à Luc Dionne, l'homme qui a écrit District 31.
L'origine de ces rumeurs remonte à une déclaration ambiguë de la journaliste Élizabeth Rancourt, qui avait laissé entendre qu'elle détenait un scoop sur Carey Price sans pouvoir le révéler.
Les médias locaux se sont emparés de cette déclaration, multipliant les rumeurs qui auraient pu détruire la famille Price en mille morceaux.
Des figures médiatiques influentes comme Claude Poirier et Paul Arcand ont contribué à entretenir le mystère, évoquant un possible scandale à venir...qui n'est jamais venu...ou qui n'a tout simplement jamais existé.
La situation a pris une tournure des plus dramatiques lorsque District 31 a intégré ces rumeurs dans son scénario.
Dans la série, le personnage de Noélie St-Hilaire, interprété par Catherine St-Laurent, se retrouvait enceinte d'un joueur de hockey vedette, Vincent Bossé, un personnage rappelant fortement Carey Price.
Les scénaristes ont imaginé...ou se sont inspirés...d'une intrigue où Noélie recevait une somme d'argent importante et une pension alimentaire pour garder le silence sur l'identité du père de son enfant.
Face à cette avalanche de spéculations et de fausses informations, Angela Price a choisi de riposter des années plus tard.
En prenant la parole publiquement, elle a non seulement défendu l'honneur de sa famille, mais a également critiqué la manière dont les médias et la fiction télévisée peuvent influencer la perception publique.
Sa déclaration ferme et déterminée visait à mettre fin aux rumeurs et à rappeler l'importance de respecter la vie privée des individus, malgré leur célébrité...et ce, une bonne fois pour toutes.
En prenant position, Angela Price a montré qu'elle et sa famille ne se laisseraient pas intimider par des histoires fictives et des rumeurs infondées.
Elle a insisté sur le fait que leur vie privée doit être respectée, soulignant que les histoires sensationnelles ne méritent pas leur attention.
Vérité ou mensonge? Angela persiste et signe.
Dans l'ensemble, cette affaire illustre les dangers d'une rumeur non vérifiée qui, une fois relayée par des figures médiatiques influentes, peut prendre des proportions incontrôlables.
Les Price ont vu leur réputation mise à rude épreuve, et malgré leurs efforts pour éteindre le feu, l'ombre du doute plane toujours.
Claude Poirier, en tant qu'initiateur présumé de cette rumeur, se retrouve aujourd'hui sous le feu des critiques. Même s'il a choisi de ne pas aborder le sujet dans son documentaire avec Paul Arcand, la simple mention de cette histoire continue de hanter sa carrière et de soulever des questions sur l'éthique journalistique et la responsabilité des médias dans la diffusion d'informations non vérifiées.
Quant aux Price, ils demeurent vigilants et prêts à se défendre contre toute nouvelle tentative de les salir. Le couple a clairement fait savoir qu'il ne tolérera plus aucune attaque injustifiée, et la menace de poursuites judiciaires plane toujours, dissuadant ainsi les plus audacieux de raviver cette histoire.
Mais aujourd'hui, un nouveau développement vient ajouter de l'huile sur le feu d'une saga qui semblait à jamais endormie : selon nos sources, c'est nul autre que Martin Brodeur, l'ancienne légende des Devils du New Jersey, qui aurait inspiré Luc Dionne, créateur de la série District 31et l'un de ses meilleurs amis, à intégrer une intrigue troublante à son célèbre feuilleton.
Les relations entre la famille Price et le monde du hockey professionnel ont toujours été scrutées à la loupe.
Toutefois, personne n'aurait imaginé qu'un ancien confrère de Carey Price, une figure respectée comme Martin Brodeur, puisse se retrouver impliqué dans la propagation d'une histoire si compromettante.
Selon nos informations, Brodeur aurait partagé avec Luc Dionne une anecdote à propos d'un joueur de la LNH qu'il connaissait bien, sans mentionner explicitement Price.
Cependant, Dionne, inspiré par les confidences de l'ancien gardien, aurait décidé de l'incorporer dans District 31 sous forme d'un scénario dramatique qui fit grand bruit.
Cette intrigue fictive relatant une tentative d'achat de silence par l'équipe de la LNH n'a fait qu'attiser les flammes des rumeurs déjà persistantes autour du gardien du Canadien.
Les détails de cette intrigue faisaient état d'une somme de 500 000 $ versée à Noélie en échange de son silence, accompagnée d'une pension alimentaire mensuelle de 1500 $.
Ces révélations fictives ont eu un effet dévastateur sur la famille Price, qui s'est sentie piégée par la sphère publique et médiatique de Montréal.
Pour Angela, qui s'est toujours battue pour protéger sa famille des critiques infondées, cette situation a été un coup dur.
Angela Price a également exprimé son ressentiment face à la manière dont certaines personnes du monde du hockey continuent de relayer des histoires qui n'ont rien à voir avec la réalité.
"Les rumeurs sont toujours si loin de la vérité, c'est comme si les gens ne pouvaient s'empêcher de les croire," a-t-elle ajouté.
De son côté, Martin Brodeur n'a pas réagi publiquement à ces allégations. Connu pour être discret sur sa vie privée et professionnelle, il semblerait qu'il ait choisi de ne pas envenimer la situation.
Toutefois, certains analystes pensent que Brodeur pourrait avoir simplement partagé une histoire sans se douter de l'ampleur qu'elle prendrait.
Cette absence de réaction de la part de Brodeur n'a fait qu'intensifier les tensions.
Des sources proches de l'ancien gardien affirment qu'il n'avait pas l'intention de nuire à Carey Price et qu'il aurait partagé cette anecdote dans un contexte totalement anodin. Néanmoins, le mal est fait.
Depuis la diffusion de cette intrigue dans District 31, la famille Price s'est progressivement retirée de la vie publique montréalaise.
Ils ont vendu leur maison à Candiac et se sont installés à Kelowna, loin des projecteurs québécois. Angela Price a déclaré :
"Nous avons toujours aimé Montréal, mais certaines choses sont devenues trop pesantes pour notre famille."
Certains experts en relations publiques estiment que cette controverse a affecté l'image de Carey Price au Québec. Bien qu'il reste une figure adorée par les partisans du CH, l'ombre des rumeurs a laissé une empreinte durable sur sa carrière.
Cette saga entre Angela Price, Martin Brodeur et District 31 rappelle à quel point les personnalités publiques sont vulnérables face aux rumeurs et aux malentendus.
La ligne entre la fiction et la réalité est mince, et les conséquences peuvent être profondes.
Angela Price, malgré la controverse, reste déterminée à protéger l'image de sa famille et à tourner la page sur ces événements.
"Je ne laisserai jamais les rumeurs définir qui nous sommes," a-t-elle affirmé.
Elle peut maintenant respirer. Car Claude Poirier n'en parlera plus jamais.