Pendant des années, les partisans du Canadien ont pleuré le départ de Phillip Danault. On nous a répété en boucle que son absence était la raison pour laquelle le CH n’avançait plus, que son départ était une tragédie, que jamais personne ne pourrait le remplacer.
Trois ans plus tard, la réalité frappe avec la force d’un uppercut.
Christian Dvorak a pris sa place. Non seulement il l’a remplacé, mais il a surpassé Danault dans le cœur des partisans.
Et aujourd’hui, l’homme que Montréal voulait tant garder est devenu un indésirable.
Danault a été éclipsé par Dvorak : la fin d’un mythe dans tous les sens du terme. Dvorak, plus jeune de trois ans, est en train de jouer exactement le rôle que l’on pensait irremplaçable.
Défensivement, il fait le travail. Offensivement, il est même plus efficace que Danault cette saison.
Dvorak a huit buts, Danault en a six. Dvorak joue dans une équipe inférieure aux Kings, qui baignent dans le talent.
Dvorak se positionne comme une pièce centrale du Canadien, alors que Danault, malgré tout son "talent défensif", n’a jamais réussi à passer la première ronde avec Los Angeles.
On nous avait dit que Danault était un élément indispensable à Montréal. Que son départ allait condamner l’équipe.
Que Marc Bergevin avait fait une erreur monumentale en le laissant partir.
Et pourtant, aujourd’hui, les fans du CH ne veulent plus rien savoir de Danault.
Ils préfèrent Dvorak. Ils veulent le garder. Ils sont prêts à ce que Kent Hughes le signe à rabais cet été pour qu’il reste.
Et Danault? Il est oublié. Mis de côté. Rétrogradé au rang de joueur surévalué qu’on n’échangerait même pas contre Dvorak aujourd’hui.
Le verdict est sans appel : Dvorak a tassé Danault dans le coeur des Montréalais et des Québécois.
Le rêve californien est devenu un cauchemar. Lorsque Danault a quitté Montréal, il croyait avoir trouvé l’eldorado à Los Angeles.
Loin de la pression montréalaise, avec un contrat en or et une équipe supposément plus compétitive, il était convaincu d’avoir pris la meilleure décision.
Phil Danault a quitté Montréal pour 500 000 dollars de plus par année. C’est tout. Marc Bergevin lui offrait un contrat de 30 millions sur 6 ans, une offre plus que respectable pour un joueur de son calibre.
Mais Danault a préféré signer pour 33 millions avec Los Angeles, croyant qu’il méritait plus et que le CH ne le respectait pas à sa juste valeur.
Trois ans plus tard, ce choix semble plus ridicule que jamais. Pour un demi-million de plus par saison, il a troqué un rôle clé à Montréal (un rôle de vedette) pour un poste secondaire d'inconnu en Californie.
Trois ans plus tard? C’est la désillusion totale.
Los Angeles stagne, incapable de franchir la première ronde des séries. Cette année sera-t-elle différente?
Danault n’a jamais su élever son jeu dans les moments critiques. Et pire encore, il voit Dvorak réussir là où lui a échoué.
Pendant que Dvorak devient un élément clé d’une équipe en pleine ascension, Danault est devenu un joueur de soutien chez les Kings.
Et maintenant, il doit vivre avec une vérité brutale : il n’est plus le bienvenu à Montréal.
Danault effacé...Dvorak célébré : l’ironie totale
Pendant des années, les médias et les partisans du CH se sont accrochés à l’idée que Danault était irremplaçable.
Aujourd’hui, plus personne n’en veut.
Si on demande aux fans du Canadien s’ils prendraient Danault avant Dvorak, la réponse est NON.
Personne ne veut de son contrat. Personne ne veut d’un joueur qui n’a jamais su faire la différence en séries.
Personne ne veut d’un gars qui joue sur une pente descendante.
Et c’est là que l’histoire devient cruelle pour Danault.
Il a cherché un avenir meilleur, il a cru avoir fait le bon choix, mais trois ans plus tard, il se rend compte que Montréal ne veut plus de lui.
Pendant ce temps, Christian Dvorak devient un joueur clé du Canadien, et les partisans l’accueillent à bras ouverts.
La réalité est sans pitié
Le joueur qui était censé être un échec est devenu une réussite. Le joueur qui était censé être irremplaçable est devenu une simple note de bas de page.
Marc Bergevin avait raison.
On lui a reproché d’avoir laissé partir Danault, mais trois ans plus tard, le Canadien n’est pas plus mal en point sans lui.
Dvorak est plus jeune. Dvorak est moins cher. Dvorak est tout aussi efficace, voire meilleur.
Si Bergevin l’a pris pour remplacer Danault, peut-être avait-il compris avant tout le monde que ce dernier n’était pas aussi indispensable qu’on voulait le croire.
Aujourd’hui, il n’y a plus de débat.
Dvorak est le centre défensif du Canadien. Danault est un fantôme du passé.
Pauvre Ti-Phil…
Ce n’est pas juste que Dvorak a pris sa place sur la glace. Ce n’est pas juste que Dvorak fait le même travail, pour moins cher. Ce n’est pas juste que Dvorak pourrait rester longtemps à Montréal, alors que Danault a fui dès qu’il a pu.
Le pire, c’est que les partisans du CH ne s’ennuient même plus de lui.
Son nom n’est plus mentionné. Ses exploits sont oubliés. Et plus personne ne rêve de son retour.
Si Phil Danault espérait encore un brin de nostalgie et d’affection de la part des partisans du Canadien, il n’a qu’à jeter un œil aux réseaux sociaux pour comprendre que la page est définitivement tournée.
Là où, il y a encore un an ou deux, les fans pleuraient son départ et réclamaient un remplaçant digne de ce nom, aujourd’hui, c’est un raz-de-marée en faveur de Christian Dvorak.
Dvorak a pris la place que Danault occupait autrefois. Et les réactions sont sans appel.
« Je me suis battu pendant 3 ans pour dire que Danault était irremplaçable… ben finalement, on a trouvé mieux. Dvorak fait tout ce que Danault faisait, avec une meilleure touche offensive. C’est réglé, plus besoin de regretter Ti-Phil! »
« J’espère que Danault va passer la première ronde cette année, sinon, ça va être la fin de sa hype. Trois ans, zéro série gagnée avec LA. Pendant ce temps, Dvorak est en train de ramener Montréal en séries. Qui a vraiment gagné dans cette histoire? »
« Faut être honnête… à l’époque, j’adorais Danault. Mais quand tu regardes bien, Dvorak est plus jeune, moins cher et il est déjà plus productif que Danault cette année. La discussion est terminée. »
« Danault nous a quittés comme si le CH était trop petit pour lui. Aujourd’hui, il est pris dans un rôle de soutien avec les Kings, pendant que Dvorak est un pilier du CH. La meilleure vengeance, c’est ça. »
« On a perdu Danault… et au final, on a trouvé quelqu’un de plus fiable. C’est cruel, mais c’est le sport. »
« Je ne pensais jamais dire ça il y a 3 ans, mais si j’ai le choix entre garder Dvorak ou ramener Danault, je garde Dvorak sans hésiter. »
« Les fans du CH qui ont pleuré Danault pendant 3 ans doivent avoir honte aujourd’hui. On a perdu quoi au juste? Un gars qui disparaît en séries? Je préfère un Dvorak qui marque des buts importants. »
« Si les Kings se font sortir en première ronde encore cette année, je ne veux plus jamais entendre parler de Danault à Montréal. »
Le message est brutal, clair, et irréversible : Danault n’est plus dans le cœur des partisans.
Ce qui était autrefois un crève-cœur est devenu un non-sujet.
Danault est juste un autre ancien joueur du CH qui a quitté et dont plus personne ne se soucie.
Et s’il ne passe pas enfin la première ronde avec Los Angeles, il pourrait bien disparaître complètement des discussions hockey à Montréal.
Les partisans ont choisi leur nouveau cheval de bataille.
Son nom est Christian Dvorak.
Et Phil Danault, lui, n’existe plus...