- Pendant que son fils Pierre-Luc Dubois se fait traiter de MENTEUR par le DG des Blue Jackets...
- Éric Dubois ATTAQUE John Tortorella..
«Une journée ou deux avant le camp, pouf, ça devient public. Et l’entraîneur en parle en même temps dans les médias. Là, woah, Pierre-Luc devait jongler avec une patate chaude. Ce n’est jamais évident pour un jeune de dealer avec ces situations-là. Premier meeting dans la chambre, il est obligé d’en parler avec ses coéquipiers.»
«Si je regarde les deux organisations, Laine a aussi demandé un échange, mais les Jets n’en ont jamais parlé. On n’a jamais amené le sujet sur la place publique. On a décidé de garder ça à l’interne et d’y aller un jour à la fois.
«L’objectif avec Jarmo, c’était ça. Bon, je ne suis pas sûr que le DG et l’entraîneur se sont consultés sur la stratégie à utiliser. C’est sûr que ça n’a pas aidé la cause.»
«Lors de ses deux premières présences, il avait créé deux belles chances de marquer. Et durant cette présence-là, il ne s’est pas passé grand-chose. Je commençais à voir sa frustration dans son langage corporel. C’est la première chose dont on a parlé après le match.
«Mais on a souvent des mauvaises présences au cours d’un match et, ce qui compte, c’est souvent comment tu te reprends. Lui, il n’a pas eu l’occasion de se reprendre du tout. Ça avait l’air planifié aussi. On le voyait de plus en plus dans les médias que ça s’en venait.»
Rappel des propos de Jarmo Kekalainen, DG de Columbus:
«C’était un processus. J’y ai réfléchi longtemps, ce n’était pas du jour au lendemain, je ne me suis pas juste réveillé un matin et j’ai pris cette décision. C’était une chose à laquelle j’avais pensé, et au fur et à mesure que les négociations avançaient, je ne prenais rien de personnel, mais au fur et à mesure, j’ai commencé à penser à des choses et à des situations.»
«À un moment donné, j’ai pensé que s’il s’agissait d’un long contrat, j’aurais éventuellement voulu qu'un échange ait lieu.»
«Ce n’est tout simplement pas vrai du tout et il le sait. Je ne sais pas pourquoi il dirait ça ou même insinuerait quelque chose comme ça».
«Je pense qu’au total, cela a duré 10 minutes pour rédiger son contrat lorsque nous avons finalement convenu de la durée de l’accord. Nous avions plusieurs propositions sur la table, soit deux ans ou de trois à huit ans.»
«Il n’y a jamais eu de problème avec la négociation de ce contrat, il s’est conclu très rapidement et je pense que ce que nous avons signé est un accord équitable pour les deux parties».
«Il n’y avait rien dans ces négociations et j’aimerais que Pierre-Luc dise la vérité sur les raisons pour lesquelles il voulait partir. Il ne me l’a même pas dit. Il ne l’a pas dit à ses coéquipiers ni à personne d’autre. Il ne s’agissait certainement pas des négociations contractuelles, je peux vous en assurer.»