Ferraris, Audi et voiture de luxe: Kent Hughes suit le chemin de Jonathan Huberdeau

Ferraris, Audi et voiture de luxe: Kent Hughes suit le chemin de Jonathan Huberdeau

Par Marc-André Dubois le 2024-08-05

Kent Hughes a suivi le chemin de Jonathan Huberdeau.

Inspiré par les conseils de Jonathan Huberdeau, qui avait troqué sa collection de voitures de luxe pour un pick-up plus modeste après son échange à Calgary, Hughes a décidé de suivre une voie similaire.

Huberdeau avait expliqué son choix en soulignant les différences culturelles entre Miami et Calgary. À Miami, posséder des voitures de luxe comme des Ferrari est courant et bien accepté, tandis qu'à Calgary, les habitants sont plus terre-à-terre et privilégient des véhicules pratiques, surtout en raison des rigueurs de l'hiver canadien.

"À Miami, ça passe mieux quand tu as une collection d'autos de luxe. Ce n'est pas rare en Floride de voir des Ferraris."

"Mais les gens à Calgary sont plus terre-à-terre. Et avec l'hiver, c'est pourquoi j'ai pris la décision de vendre mes quatre autos et de m'acheter un pick-up," avait déclaré Huberdeau.

On se demande si Kent Hughes a décidé de vendre son Audi RS6, une voiture haut de gamme qui, bien que performante, n'était pas nécessairement adaptée aux conditions hivernales de Montréal avec des pneus d'été.

Conscient de l'importance de s'intégrer dans le mode de vie plus pragmatique de sa ville natale, Hughes a opté pour un véhicule moins "flashy" mais plus fonctionnel.

Mais on ne sait pas s'il a toujours cette fameuse Audi qui avait fait tant jaser lors de sa première conférence de presse en tant que directeur général des Canadiens de Montréal.

Un détail intriguant qui a fait parler les médias présents était l'arrivée de Hughes à la conférence de presse. Il s'était présenté au Complexe sportif Bell de Brossard dans une Audi RS6 arborant des plaques d'immatriculation du Massachusetts.

Ce détail n'a pas échappé aux journalistes, qui ont noté que la voiture n'était pas équipée de pneus d'hiver, un élément crucial pour affronter les conditions hivernales souvent rigoureuses de Montréal.

Ce choix de véhicule, bien que luxueux et performant, a semblé peu adapté au climat québécois, avec des pneus d'été, marquant un contraste avec la nature terre à terre de la population québécoise.

Au cours de la conférence, Hughes a d'ailleurs plaisanté sur le sujet, mentionnant que l'absence de pneus d'hiver serait rapidement corrigée.

Il a reconnu avec humour la nécessité de s'adapter aux réalités climatiques de la région et a même laissé entendre qu'il envisageait d'opter pour un véhicule plus approprié pour les hivers montréalais et moins "flashy".

Cette remarque a été bien accueillie par les journalistes et le public, qui ont apprécié cette touche d'humilité et de bon sens.

Sa décision ultérieure de se tourner vers un véhicule plus modeste et fonctionnel, a-t-elle été inspirée par les conseils de Jonathan Huberdeau?

Dans tous les cas, cela lui a porté chance, vu à quel point il est aimé au Québec. On ne peut pas en dire autant de Huberdeau qui n'a pas seulement "vendu" ses autos de luxe.

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