Geoff Molson, propriétaire des Canadiens de Montréal, a sans aucun doute marqué son passage à la tête de l'équipe, mais malheureusement, pas toujours de la manière que les fervents partisans auraient souhaitée.
L'ambiance électrique du Centre Bell, autrefois réputé pour être l'un des lieux les plus bruyants et passionnés de la Ligue nationale de hockey (LNH), a subi une transformation regrettable sous l'influence de choix discutables de Molson.
La décision de fixer des prix exorbitants pour les billets de match a créé une fracture entre les vrais fans et l'expérience inestimable qu'ils cherchent à vivre et les hommes d'affaires disposés à débourser des sommes astronomiques sans se soucier véritablement du jeu.
Les sièges laissés vacants par des corporations ont transformé le temple du hockey en un lieu parfois dénudé d'émotions, ce qui contraste douloureusement avec la passion débridée des partisans européens qui peuvent s'offrir des billets plus accessibles.
One of the worst things about US sports leagues continuously maximizing profit over passion is that the world’s best players don’t get to compete in environments like this. Real fans get priced out and the atmosphere at games becomes much less fun.pic.twitter.com/V1netgjcGr
— Joe Pompliano (@JoePompliano) January 6, 2024
Alors que la valeur de l'équipe frôle les 2,5 milliards de dollars, on peut légitimement se demander si Molson devrait reconsidérer ses priorités.
La quête effrénée des billets verts peut-elle vraiment surpasser l'importance de maintenir une atmosphère enflammée dans le Centre Bell, nourrie par le dévouement des vrais amateurs de hockey?
L'équilibre entre le succès financier et la satisfaction des partisans n'est pas une tâche facile, mais il est indéniable que les choix de Molson ont contribué à faire pencher la balance du mauvais côté.
Les partisans fidèles du Canadien de Montréal, qui sont le cœur et l'âme de toute franchise sportive, méritent mieux que des gradins clairsemés et une ambiance étouffée.
Peut-être est-il temps pour Geoff Molson de réfléchir sérieusement à l'impact de ses décisions sur l'expérience des fans.
En optant pour des politiques tarifaires plus équitables et en favorisant une atmosphère authentique de passion pour le hockey, il pourrait non seulement renforcer le lien entre l'équipe et ses partisans, mais aussi restaurer la réputation du Centre Bell en tant que forteresse impénétrable de la fièvre hockey.
Il est grand temps de rétablir l'équilibre entre la quête de profits et la véritable essence du sport.
De grâce Monsieur Molson...