- Jonathan Huberdeau vit un véritable DRAME INTÉRIEUR.

- Il en pleure la nuit selon ses proches..

- Il a beau commencer un contrat de 8 ans et 10,5 M$ par année la saison prochaine...

- Il se dit ATTRISTÉ...à vie...

Et le supplice continue. On n’ose pas trop imaginer ce qui se passe entre les deux oreilles de Jonathan Huberdeau. Quelle débarque ! Il complétait une dixième année au sein des Panthers et dans la belle Floride lorsque le téléphone a sonné, le 22 juillet dernier. Il venait de terminer au deuxième rang des pointeurs de la LNH à 115 points, seulement 6 de moins que Connor McDavid. (Michel Beaudry)

Il venait aussi d’acheter une magnifique résidence à Las Olas, un des splendides quartiers de Fort Lauderdale. Une vie de rêve. Mais ce 22 juillet 2022, il a eu la surprise de sa vie. On l’a échangé dans une des villes les plus froides du circuit, Calgary.

Qui plus est, il tombait sous les ordres, sous la férule, sous l’autorité de Darryl Sutter, un des plus durs et intransigeants instructeurs de la Ligue nationale. Jonathan a réagi en professionnel.

Ça fait partie du hockey, mais la suite allait être déchirante. Sous Sutter et dans cette équipe de laquelle Johnny Gaudreau a levé les pattes, Huberdeau a vécu l’enfer. Ballotté d’un trio à l’autre, peu respecté par le coach, Jo allait connaître la plus importante baisse de production jamais vue en une saison dans la LNH. De 115 points à 55.

Son club, les Flames, n’a pas fait les séries. Et, à compter de demain, il suivra son ancienne équipe, les étonnants Panthers, passer en finale et peut-être soulever la coupe Stanley dans deux semaines. Même dans le Sud, le vent peut tourner.

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