Les discussions vont bon train chez les Ducks d'Anaheim, une équipe qui ne manque pas de faire parler d'elle ces derniers temps à Montréal.
Au cœur de ces discussions se trouve un nom qui fait de plus en plus jaser dans le sud de la Californie : Joshua Roy. Ce jeune prodige québécois, avec son talent brut et sa capacité à prouver qu'il peut dominer sur la glace, est devenu la cible de fascination pour les Ducks.
L'idée de voir Roy porter le chandail des Ducks et potentiellement remplacer la position de Trevor Zegras en tant qu'attaquant gaucher est devenue une perspective alléchante pour l'équipe.
Zegras, bien qu'il ait un potentiel plus élevé que Roy, n'a pas encore réussi à atteindre les attentes démesurées placées sur ses épaules par les dirigeants à Anaheim. Pour les Ducks, cette opportunité d'avoir un attaquant gaucher afin de remplacer Zegras va leur permettre de se concentrer sur les autres éléments désirés dans la transaction,
Dans cette éventuelle transaction, les Ducks pourraient se concentrer sur des éléments tels que les choix de première ronde, notamment ceux des Jets et/ou des Flames en 2025, ainsi que sur un jeune talent prometteur comme Arber Xhekaj.
Mais l'élément crucial pour les Ducks est de pouvoir remplacer Zegras directement par un jeune attaquant gaucher, et Joshua Roy semble être le candidat idéal pour ce rôle.
Cependant, une question persiste dans l'esprit de nombreux observateurs : est-ce que Kent Hughes, le gestionnaire général des Ducks, aura le courage de sacrifier un joueur québécois prometteur au profit de Zegras, qui est largement décrié par les médias du Québec ? C'est un dilemme qui nécessite une réflexion profonde et une décision courageuse.
Pour les Ducks, l'objectif ultime est de renforcer l'équipe en terme d'éléments (Zegras pour plusieurs pièces) et de créer une dynamique gagnante gagnate dans le vestiaire. Si cela signifie faire des choix difficiles et défier les normes établies, alors ils pourraient être prêts à prendre ce risque.
L'avenir de cette transaction repose peut-être sur la capacité de Kent Hughes à prendre des décisions audacieuses et à naviguer avec succès dans les eaux tumultueuses du marché de Montréal, surtout quand il est question de sacrifier un Québécois.
Mais pour avoir Zegras, il faudra que Kent Hughes ait du courage de défier les journalistes nationalistes d'ici, pour qui un Québécois est intouchable.
Au DG du CH d'avoir du guts...