- Guillaume Latendresse a une CROTTE sur le COEUR..
- Quand il voit comment les FEFANS traitent Juraj Slafkovsky...
« Ça dépend du rôle (du joueur). Pour moi, Montréal c’est une des belles places pour jouer au hockey et évoluer dans la Ligue nationale, mais il reste que le marché est difficile parce qu’on a de la misère, certaines fois, avec les attentes.
« Je pense que les attentes sont le plus gros problème à Montréal comparativement à certaines autres places. C'est comme (Juraj) Slafkovsky, il ne faut pas s’attendre à ce qu’il fasse 125 points cette année. Ou qu’il en fasse 75… Je ne pense pas que c’est la réalité.
« À partir du moment où l’on met des attentes qui sont honnêtes, ça va être exceptionnel pour ce kid-là et ça va être beau à voir. La même chose pour l’équipe. Les gens vont tripper sur l’équipe quand ils seront conscients qu’on sera 21es ou 32es au classement général. »
« Je suis un très bel exemple des attentes vs la réalité. Les attentes étaient hyper grandes envers moi. Certains soirs, on voulait que je sois un marqueur de 30 buts, mais je jouais huit, neuf ou dix minutes dans un match. »
« Mes deux premières saisons, j’ai eu 16 buts sur un quatrième trio avec un 10, 12 minutes de jeu, ce qui était très, très bon pour un jeune de 19 ans. Mais les attentes étaient qu’on en voulait 25. Ce n’est pas la réalité que je pouvais offrir à cet âge-là. »