Juraj Slafkovsky humilie le propriétaire d’un hôtel

Juraj Slafkovsky humilie le propriétaire d’un hôtel

Par Nicolas Pérusse le 2024-05-11

Juraj Slafkovsky continue de jouer à la princesse au championnat du monde.

Son comportement de bébé gâté commence à déranger énormément de gens.. Il n'est rare de voir une vedette adopter une attitude de diva, mais on ne s'attendait pas à ce que Slafkovsky soit cet enfant roi difficile à supporter.

L'incident qui a attiré l'attention sur lui est sa réaction sans pitié envers les arbitres, qu'il a traités de tous les noms. Un comportement qui contraste nettement avec le Slafkovsky de Montréal, discipliné et respectueux des règles.

Mais ce n'est pas tout. Slafkovsky s'est également plaint du lit de l'hôtel, affirmant qu'il lui avait donné mal au dos. Ce genre de plainte peut sembler anodin, mais dans le contexte d'un championnat du monde où les joueurs sont censés se concentrer sur leur performance sur la glace, cela peut sembler un peu déplacé, pour ne pas dire ridicule.

« J’ai mal au dos en raison du lit de l’hôtel. J’aurais préféré qu’on loge quelque part plus loin de l’aréna dans quelque chose de mieux. Malheureusement, ce n’est pas ma décision. »

Les partisans de Slafkovsky ont pointé du doigt le traitement différent entre les équipes comme le Canadien de Montréal et l'équipe nationale de la Slovaquie, soulignant que le CH bénéficie d'un traitement de faveur, notamment en ce qui concerne les hôtels.

En comparaison, l'équipe slovaque semble être moins choyée. Cette différence financière pourrait expliquer en partie les frustrations de Slafkovsky.

Cependant, il est important de noter que ce comportement ne correspond pas à l'image généralement positive que l'on associe à Slafkovsky. I

l est largement reconnu pour son talent sur la glace et sa personnalité professionnelle à Montréal. Il est donc possible que ces incidents soient le résultat d'une pression accrue ou de circonstances particulières liées à son statut de méga-vedette en Slovaquie.

Mais ce n'est pas une excuse. Il est essentiel pour Slafkovsky de faire preuve de maturité et de se concentrer sur ce qu'il fait de mieux : jouer au hockey.

Peut-être qu'un appel à Geoff Molson pour obtenir une chambre d'hôtel plus confortable serait une solution temporaire. Mais si on ne fait pas de blague à ce sujet, il doit trouver des moyens de gérer le stress et les défis qui accompagnent la compétition internationale.

En ce moment, il joue vraiment au bébé gâté.