Justin Barron se fait étamper dans la bande.

 

 

Zach Bogosian se permet d'attaquer Brendan Gallagher même s'il fait 4 pouces de plus que lui.

 

 

Message à Martin St-Louis et Kent Hughes: C'est pour ça qu'on a besoin d'Arber Xhekaj à Montréal.  

On ne peut nier que la présence du policier au sein de l'équipe du Canadien de Montréal est cruciale, notamment lors de matchs tendus où les esprits s'échauffent.

Ce soir, la tension est à son comble. Le besoin d'un justicier sur la glace se fait sentir plus que jamais. Arber Xhekaj aurait instaurer l'ordre dans ce chaos immédiatement.

Il est facile d'imaginer Xhekaj, probablement animé par l'adrénaline, ressentir des fourmis dans les jambes à chaque instant décisif du match devant sa télévision.

Ses poings doivent le démanger, surtout quand il voit son coéquipier Justin Barron se faire violemment étamper contre la bande.

En tant que protecteur naturel, Xhekaj aurait probablement été prêt à prendre les devants pour défendre l'intégrité physique de ses coéquipiers.

La scène où Brendan Gallagher se retrouve sous l'assaut du colosse Bogosian aurait sans aucun doute été un moment où Xhekaj aurait eu envie de tout casser.

L'instinct protecteur et la loyauté envers ses coéquipiers auraient pu pousser Xhekaj à réagir avec détermination, que ce soit en intervenant directement sur la glace ou en établissant une présence imposante pour dissuader toute forme d'agression.

Le rôle de policier sur la glace ne se limite pas seulement à la réaction physique, mais aussi à la création d'un climat de respect et de discipline. Arber Xhekaj, avec sa présence imposante, aurait pu instaurer un sentiment de sécurité pour ses coéquipiers.

L'absence d'Arber Xhekaj dans ces moments critiques se fait sentir ce soir. Son énergie combative et son désir de protéger ses coéquipiers font de lui un élément essentiel pour cette équipe lors de ces matchs physique.

C'est indéniable.

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