Cet été, Kent Hughes a radicalement changé la dynamique de l’équipe.
Alors que de nombreux fans pensaient que l’acquisition de Patrik Laine marquait la fin de ses mouvements audacieux, Hughes a prouvé qu’il était loin d’avoir terminé.
Avec des décisions stratégiques qui ont transformé l’équipe, il a tiré la plug sur le statu quo, laissant les partisans du CH et le Québec en entier sous le choc.
L'été a commencé en force avec la sélection d'Ivan Demidov à la cinquième position au repêchage.
Ce choix n'était pas seulement nécessaire pour combler un trou à l'aile, mais il a aussi montré l'engagement de Hughes à construire une équipe capable de rivaliser avec les meilleures de la LNH.
Ensuite, au 21e rang, Hughes a frappé un coup de maître en sélectionnant Michael Hage, un joueur dont le potentiel a été salué par les experts.
Ces deux jeunes talents viennent ajouter une profondeur précieuse à l’équipe, renforçant ainsi la compétitivité du CH pour les années à venir.
Mais les décisions de Hughes ne se sont pas arrêtées là.
Il a sécurisé l’avenir de l’équipe en signant Juraj Slafkovsky pour huit ans à 7,6 millions de dollars par saison.
Cette entente à long terme reflète la confiance de l’organisation envers le jeune Slovaque, considéré comme un pilier de l'attaque du CH.
De plus, la prolongation de contrat de six ans de Kaiden Guhle, à raison de 5,55 millions par année, assure la présence d'un défenseur élite qui deviendra un leader de la brigade défensive.
Le coup de théâtre est venu avec l’acquisition de Patrik Laine.
Ce marqueur naturel, capable de changer l’issue d’un match à lui seul, représente un ajout de poids à l’attaque montréalaise.
Hughes a non seulement renforcé son équipe, mais il a aussi réussi à libérer de l’espace salarial en ajustant la structure défensive, autrefois congestionnée.
C’est un geste audacieux qui a clairement marqué un tournant pour l’organisation.
Toutefois, malgré ces acquisitions impressionnantes, c’est la rumeur selon laquelle le Canadien de Montréal était intéressé par Yaroslav Askarov qui a véritablement secoué le Québec.
Elliotte Friedman a révélé que le CH faisait partie des équipes qui ont tenté d’acquérir le jeune gardien prodige des Predators de Nashville.
Hughes, semble-t-il, était prêt à mettre sur la table un package incluant un choix de première ronde et Filip Mesar pour obtenir Askarov.
Cette démarche montre que Hughes ne se contente pas de bâtir une équipe pour aujourd’hui, mais qu’il envisage aussi l’avenir avec une ambition démesurée.
L’ajout d’un talent comme Askarov aurait envoyé un message fort : Montréal veut s’assurer d’avoir un filet bien gardé pour la prochaine décennie.
Même si la transaction n’a pas abouti, le simple fait que Hughes ait été dans la course jusqu’à la fin en dit long sur son approche.
Pour un directeur général qui a déjà accompli tant en si peu de temps, cela prouve qu’il est toujours à l’affût de nouvelles opportunités pour rendre l’équipe encore plus compétitive.
Avec tout ce que Hughes a réalisé cet été, il est clair qu'il ne suit pas la voie traditionnelle.
Il n’a pas hésité à bousculer les conventions et à prendre des décisions qui choquent, mais qui, à long terme, pourraient propulser le Canadien vers de nouveaux sommets.
Le Québec est sous le choc, non seulement à cause de la rapidité et de la magnitude de ces mouvements, mais aussi parce que Hughes a montré qu’il n’a pas peur de prendre des risques pour ramener la gloire à Montréal.
L’été 2024 restera gravé dans les mémoires comme celui où Kent Hughes a véritablement pris les rênes du Canadien de Montréal pour en faire une équipe redoutable.
Le Québec est en ébullition, et si l’avenir du CH est aussi prometteur que le laissent entrevoir ces changements, Hughes pourrait bien entrer dans l’histoire comme l’un des plus grands architectes du renouveau de cette équipe légendaire.
Amen !!!