Refuser 128 millions de dollars, c’est pas juste un choix de carrière. C’est une déclaration de guerre.
C’est dire à toute la LNH : « Je vaux plus que ça, pis je le sais. » Et ce que ça implique, c’est peut-être encore plus explosif.
Parce que quand Elliotte Friedman t’annonce que si Kaprizov a dit non à 8 ans à 16 M$, c’est qu’il y a une offre ailleurs, une offre plus grosse, une offre presque obscène… là, on commence à jaser.
Friedman, c’est pas le genre à balancer des hypothèses dans le vide. S’il prend le micro de 32 Thoughts et dit que le clan Kaprizov « sait qu’il y a quelque chose d’autre de plus gros », que quelqu’un a probablement déjà mis sur la table un contrat de 7 ans à 19 ou 20 millions par année… c’est qu’il a entendu quelque chose.
C’est qu’un DG, quelque part, est déjà allé là. Et quand on regarde la carte des équipes qui ont l’audace, l’espace sous le cap, et l’appétit pour frapper un coup de circuit générationnel, il y a un nom qui revient : Kent Hughes.
Et si on était en train d’assister en direct au plus gros pari de l’ère Hughes-Gorton?
Kaprizov, c’est pas juste un bon joueur. C’est un phénomène. Un joueur capable de transformer l’identité d’une équipe à lui seul.
Depuis qu’il est arrivé dans la LNH, il fait tout. Il marque, il crée, il élève le jeu de ceux autour de lui. C’est pas un joueur de complément. C’est une locomotive. Un MVP potentiel année après année.
Alors pourquoi ce gars-là, dans son prime, dans un marché effacé comme le Minnesota, dirait non à 128 millions garantis?
La réponse est simple : parce que ce qu’on lui offre ailleurs est encore plus grandiose. Plus payant. Plus excitant.
Imagine un instant. Tu te fais offrir 8 ans à 16 M$ ... déjà un contrat qui t’assure la paix pour trois générations ... et tu dis non?
C’est que tu sais qu’il y a une autre enveloppe, ailleurs, prête à exploser tous les barèmes.
Et c’est exactement ce qu’Elliotte Friedman te confirme. Il dit, texto : « Qu’il dise non me convainc… ils savent qu’il y a quelque chose d’autre de plus gros ; il doit y avoir quelqu’un avec un contrat de 7 fois 19 millions de dollars ou 20 millions de dollars. »
En d’autres mots : si tu veux Kaprizov aujourd’hui, oublie les 11 M$, les 12 M$, même les 13 M$.
T’es dans la stratosphère. T’es dans les chiffres de McDavid, de Matthews, de Crosby dans ses meilleures années… mais avec le facteur cap salarial 2025. Et le nouveau cap, il est là pour ça. Il est monté à 95,5 M$. Le moment est parfait pour envoyer un message.
Tu veux un marqueur d’élite pour encadrer Suzuki, Slafkovsky, Demidov? Voilà.
Tu veux faire exploser tes revenus, vendre des chandails à 300$ et remplir le Centre Bell au maximum 41 fois par année? C’est lui. Tu veux passer de projet de reconstruction à véritable menace dans l’Est? C’est Kaprizov ou rien.
Et c’est là que Kent Hughes entre en scène. Le gars est avocat, fin négociateur, mais aussi un stratège. Il sait qu’il doit profiter de cette fenêtre avant que Suzuki et Slaf commencent à coûter trop cher.
Il a déjà préparé le terrain en faisant de l’espace sous la masse. Il a sécurisé Slaf à long terme.
Il sait que Price, c’est fini. Et il a envoyé Logan Mailloux à Saint-Louis, il a échangé Heineman, Pezzetta, il a nettoyé les fonds de tiroir. C’est pas un hasard. C’est une manœuvre de préparation.
Gorton et Hughes n’ont pas bâti pour rester en reconstruction 7 ans. Ils veulent frapper quand la valeur est là. Kaprizov, c’est l’opportunité qu’on ne voit qu’une fois par décennie.
Et soyons clairs : s’il refuse 128 millions, c’est pas juste parce qu’il veut faire monter les enchères. C’est parce que quelqu’un a déjà mis plus sur la table.
Friedman a choisi ses mots. Il ne dit pas que Kaprizov cherche plus. Il dit qu’il sait que ça existe déjà.
Ce qui veut dire qu’une équipe est déjà prête à aller là. À se rendre dans des eaux jamais vues. Et si c’était le Canadien?
On a vu des rumeurs circuler. Des gens connectés dans les coulisses dire que Montréal veut un coup d’éclat. Que Gorton a dit à ses proches que l’équipe est « prête à gagner plus vite qu’on pense ».
Frustrés aussi que le nom du CH sorte jamais dans les grosses signatures.
Et si cette fois, tout avait été fait en cachette?
C’est là où le silence est significatif. Depuis la fin du repêchage, Hughes et Gorton n’ont rien dit de gros. Aucune promesse. Aucune fuite. Juste des regards. Des silences. Et les insiders, eux, cherchent.
Si tu regardes ce que l’ajout de Kaprizov représenterait, c’est monumental. T’as Slafkovsky qui commence à s’épanouir.
Demidov qui arrive. Suzuki qui est enfin entouré. Lane Hutson prêt à jouer sa première saison complète.
Noah Dobson qui ancre ta défensive. Le décor est en place. Il manque un tueur. Un gars qui fait basculer une série à lui seul. Un gars qui marque 45 buts sans forcer.
Et Kaprizov, il le sait. Il a joué dans un marché plate. Il a goûté aux séries. Il a vu les limites. Il sait que son talent mérite mieux. Il veut gagner. Il veut une ville de hockey. Il veut la pression, le feu, la grandeur. Il veut la gloire.
Tu veux la gloire? Viens à Montréal. Tu vas avoir des caméras dans la face 24/7. Tu vas avoir TVA Sports qui hurle ton nom même quand t’as un match sans but. Tu vas avoir 3 millions de personnes qui respirent à ton rythme.
Mais tu vas aussi avoir les moyens. Le marché. Le prestige.
Et l’argent? T’en fais pas. Kent Hughes va l’avoir. Il peut structurer un contrat à 7 ans, 133 M$, avec bonus de signature, clauses de non-échange, protection de lock-out. Il peut bâtir l’offre la plus séduisante de toute la LNH.
Parce qu’en 2025, la game a changé. T’attires pas un joueur comme Kaprizov avec des promesses vides. Tu le fais avec une vision. Une structure. Un plan. Un chèque. Et un vestiaire prêt à le recevoir.
Slafkovsky, Kaprizov, Suzuki, Demidov. C’est pas un fantasme. C’est une alerte rouge. Une opportunité.
Et si tu crois que Kent Hughes dort au gaz, t’as rien compris. Il est peut-être déjà là. Déjà à négocier. Déjà à convaincre.
Friedman t’a donné la clé. Il t’a dit : y’a quelqu’un qui a mis 7x19 ou 7x20 M$. Maintenant, fais 1 + 1.
Et commence à te demander : et si ce quelqu’un, c’était nous?
WOW...