La malédiction d'Ivan Demidov continue de faire des ravages, et les conséquences se font sentir de manière tragique pour plusieurs des meilleurs espoirs du repêchage 2024 de la Ligue nationale de hockey.
Ce qui semblait être un phénomène isolé est en train de se transformer en véritable fléau, menaçant de briser des carrières avant même qu'elles ne commencent.
Tout a commencé avec la blessure de Cayden Lindstrom, quatrième choix du repêchage, qui souffre d’une hernie discale sérieuse.
Ce jeune colosse, choisi pour son potentiel physique et sa domination sur la glace, a vu son avenir s’assombrir du jour au lendemain.
Son absence indéfinie est un coup dur pour les Blue Jackets de Columbus, qui misaient gros sur lui pour renforcer leur ligne offensive.
Mais Lindstrom n’est pas le seul à être tombé sous cette malédiction. Beckett Sennecke, le troisième choix du repêchage, a lui aussi vu ses ambitions freinées par une fracture au pied qui l’éloignera de la glace pour une période de 6 à 8 semaines.
Les Ducks d’Anaheim, qui avaient pris un pari en le sélectionnant aussi haut, doivent désormais revoir leurs plans, car cette blessure compromet sérieusement son développement et sa participation au début de la saison.
Mercredi, deux autres noms se sont ajoutés à cette longue liste de blessés : Artyom Levshunov, repêché deuxième par les Blackhawks de Chicago, et Tij Iginla, sélectionné au sixième rang par l’Utah.
Levshunov est forcé de rester sur le banc à cause d’une blessure au pied, tandis qu'Iginla, gêné par des problèmes récurrents aux hanches, voit son état de santé réévalué quotidiennement.
Les espoirs de ces jeunes talents de se démarquer dès le début de leur carrière dans la LNH semblent s’évaporer.
Pendant ce temps, Ivan Demidov, ignoré par plusieurs équipes malgré un potentiel largement reconnu, semble échapper à cette malédiction.
Cinquième choix des Canadiens de Montréal, Demidov poursuit son ascension, épargné par les blessures qui frappent ses rivaux.
Beaucoup commencent à se demander si la malédiction n'est pas à l'œuvre, punissant ceux qui ont sous-estimé le prodige russe lors du repêchage.
La malédiction d'Ivan Demidov ne montre aucun signe de répit, et les équipes qui ont fait l'impasse sur lui pourraient bien payer un prix élevé.
Les blessures de Lindstrom, Sennecke, Levshunov et Iginla ne sont-elles que des accidents de parcours ou les premiers signes d’un destin cruel réservé à ceux qui ont ignoré l'évidence?
Une chose est certaine : les doutes grandissent, et l’avenir de ces jeunes joueurs est désormais incertain.
Pour les Ducks d'Anaheim, les Blue Jackets de Columbus, les Blackhawks de Chicago et l’Utah, cette situation est non seulement un cauchemar sur le plan sportif, mais aussi un désastre en termes de gestion des attentes et des espoirs.
La malédiction qui se joue devant nos yeux pourrait bien laisser des cicatrices infinies sur les équipes qui ont snobé Ivan Demidov.
Macklin Celebrini semble pour l’instant, passer à travers cette malédiction " sain et sauf ".
Cette situation fait désormais partie de la légende du repêchage de 2024, et les équipes qui ont tourné le dos à Ivan Demidov pourraient bien regretter leur choix pour des années à venir.
En attendant, Demidov est hanté par sa propre malédiction: celle de la KHL pour un jeune prodige.
La malédiction d'Ivan Demidov ne se limite pas seulement aux équipes qui l'ont ignoré au repêchage de la LNH. Il semble que ce jeune prodige du hockey soit lui-même victime d'une situation délicate qui pourrait freiner son développement.
Actuellement en KHL avec le SKA de Saint-Pétersbourg, l'espoir du Canadien de Montréal voit son temps de jeu chuter de manière inquiétante, soulevant de nombreuses questions quant à son avenir immédiat.
Lors de son dernier match, Demidov n'a eu droit qu'à 10 minutes et 2 secondes sur la glace, une régression pour un joueur dont le potentiel fait saliver tant de recruteurs.
Désormais relégué au quatrième trio à l'entraînement, aux côtés de Marat Khairulin, Demidov semble payer le prix de la défaite du SKA face au Lokomotiv de Iaroslavl.
L'entraîneur-chef Roman Rotenberg a fait des ajustements notables, notamment en retirant Demidov de son poste habituel aux côtés du vétéran Evgeny Kuznetsov. Un signe clair de rétrogradation.
Mais pourquoi un tel traitement pour un espoir considéré comme l’un des plus prometteurs de sa génération, derrière seulement Macklin Celebrini selon certains experts?
La réponse réside peut-être dans la dure réalité de la KHL. Les équipes russes ne sont pas tendres avec les jeunes talents qui ont été repêchés par des formations de la LNH.
Demidov, dont le contrat avec le SKA se termine bientôt, est clairement victime de cette injustice. Les équipes de la KHL n’ont aucun intérêt à développer des joueurs qui partiront sous peu pour l'Amérique du Nord, laissant ainsi la priorité aux vétérans ou à ceux qui prolongeront leur carrière en Russie.
Même si Roman Rotenberg affirme que le temps de jeu de Demidov suit un plan de développement bien précis, cette gestion restrictive pourrait limiter son impact cette saison. Et nous sommes persuadés que Kent Hughes n'est pas d'accord avec son plan.
À seulement 18 ans, Demidov doit non seulement composer avec la pression d'un système qui freine souvent les jeunes, mais aussi avec la malchance qui s’acharne sur lui.
Lors des trois premiers matchs de la saison, il a montré des éclairs de son talent en obtenant plusieurs chances de marquer, notamment en frappant le poteau à quelques reprises.
Mais malgré ses efforts, il reste bloqué à une simple mention d'aide.
La frustration grandit parmi les partisans du Canadien de Montréal, qui suivent de près la progression de leur premier choix au repêchage.
Si la situation ne s'améliore pas, la crainte est que cette malédiction, qui semble le suivre depuis son arrivée en KHL, ne finisse par briser son moral et son développement à long terme. Il faudra voir si Rotenberg reviendra sur sa décision pour le match contre le Traktor de Tcheliabinsk, ou si la situation de Demidov continuera de se dégrader.
Pour l’instant, Ivan Demidov est coincé dans une position difficile. Son talent est indéniable, mais la malédiction de son temps de jeu réduit et de ses occasions manquées semble peser lourd sur ses épaules.
Pour le jeune joueur, il s’agira de surmonter cette adversité, en espérant que la patience portera ses fruits. Mais une chose est certaine : si le SKA continue de restreindre son temps de jeu, il va falloir que Kent Hughes mette ses culottes.
En fait, Kent Hughes DOIT déjà porter ses culottes. Assez, c'est assez....