Le pauvre Jordan Harris vit des moments douloureux depuis son arrivée à Columbus.
Placé sous une pression écrasante après l'échange qui a envoyé Patrik Laine à Montréal, Harris est désormais le bouc émissaire parfait pour le directeur général des Blue Jackets, Don Waddell.
Ce dernier, ridiculisé par les partisans et les analystes pour avoir échangé un marqueur de 50 buts contre un défenseur jugé sans identité de bas-étage, semble prêt à tout pour détourner l’attention de son incompétence.
Dès l’annonce de la transaction, Waddell a clamé que Harris devait prouver qu’il méritait sa place. Mais ses récentes déclarations, d’une froideur cinglante, sont allés plus loin :
« Ce sera à lui de montrer ce qu’il vaut, et nous le saurons très rapidement. »
Dàs le début, Waddell n’a pas hésité pas à jeter Harris aux loups pour sauver sa propre réputation. Dans une ligue où les DG cherchent souvent à protéger leurs acquisitions, le traitement infligé à Harris est particulièrement cruel.
Don Waddell, conscient de l’énorme bourde qu’il a commise en envoyant Patrik Laine et un choix de 2e ronde à Montréal en retour de Jordan Harris, semble avoir trouvé une stratégie bien cruelle pour détourner les critiques : enfoncer le jeune défenseur à chaque occasion.
À travers des déclarations publiques répétées, il ne cesse de rejeter la faute sur Harris, espérant ainsi faire oublier aux partisans de Columbus que cette transaction est entièrement de sa responsabilité.
Dans une entrevue récente, Waddell a une fois de plus mis la pression sur Harris :
« Nous avons beaucoup de jeunes joueurs affamés ici, qui veulent vraiment prouver qu’ils méritent une place. Ce sera à lui de se démarquer. Nous ne pouvons pas attendre indéfiniment. »
Cette déclaration cache une intention bien plus sournoise : faire croire que l’échec de Harris à Columbus est uniquement de sa faute, et non celui de l’organisation qui l’a placé dans une situation intenable.
En sacrifiant publiquement Harris, Waddell cherche désespérément à sauver sa propre réputation.
Le problème, c’est que les partisans des Blue Jackets ne sont pas naïfs. Reste qu'au final, autant Waddell qu'Harris mangent une volée.
Sur les réseaux sociaux et dans les tribunes, les commentaires sont féroces :
« Waddell a échangé un marqueur de 50 buts contre un gars qui chauffe le banc. Quelle blague! »
« Si Harris est si mauvais, pourquoi l’avoir acquis en premier lieu? Waddell essaie juste de couvrir son incompétence. »
« Ce DG ne dormira plus de la nuit. Il sait qu’il a ruiné cette équipe avec cet échange ridicule. »
Depuis l’arrivée de Harris, Waddell n’a cessé de multiplier les critiques indirectes, comme s’il tentait de réécrire l’histoire. Lors d’une conférence de presse, il a déclaré :
« Nous avons échangé Laine pour nous libérer de son contrat, mais nous attendions aussi que Jordan Harris apporte une contribution immédiate. Jusqu’ici, ce n’est pas ce que nous avons vu. »
Un commentaire qui a suscité une vague d’indignation parmi les journalistes et les partisans. Certains ont accusé Waddell de manquer de classe en blâmant un jeune joueur pour une décision de gestion catastrophique.
D'autres ont accusé Harris d'être un défenseur pourri.
Les partisans des Blue Jackets, déjà frustrés par les mauvais résultats de l’équipe, n’hésitent pas à manifester leur colère envers Waddell et Harris en même temps.
« On a perdu Laine pour rien. C’est humiliant. »
« Waddell est en train de sacrifier Harris pour cacher son incompétence. Quel DG digne de ce nom ferait ça? »
« Chaque fois que Waddell ouvre la bouche, c’est pour accuser Harris. On voit clairement qui est le vrai coupable ici. »
Pour Jordan Harris, cette situation est un véritable cauchemar. Non seulement il doit gérer la pression de s’imposer dans une équipe qui ne lui fait pas confiance, mais il devient aussi le bouc émissaire d’une organisation en pleine crise.
Harris n’a jamais demandé à être placé au centre de cette controverse, et pourtant, il porte désormais le poids de l’échec de son DG.
Les attentes irréalistes de Waddell, combinées à des critiques sans pitié rendent presque impossible pour Harris de s’épanouir.
Pire encore, chaque défaite des Blue Jackets devient une nouvelle occasion pour Waddell de détourner l’attention de ses propres erreurs en pointant du doigt Harris.
Jordan Harris vit un enfer à Columbus. En plus de subir la pression imposée par son directeur général Don Waddell, qui le pointe du doigt à chaque occasion, Harris doit également faire face à une avalanche de critiques publiques et médiatiques.
Mentalement, le jeune homme est en train de s’effondrer, incapable de répondre à des attentes qui semblent chaque jour plus démesurées.
Habitué à évoluer dans un environnement relativement protecteur à Montréal, où Martin St-Louis et ses coéquipiers valorisaient son intelligence de jeu et son attitude irréprochable, il découvre maintenant un contexte hostile où chaque erreur est amplifiée.
« Harris n’a aucune identité. Il n’est ni offensif, ni robuste, ni solide en défense. Pourquoi est-il dans cet alignement? »
Ces attaques répétées brisent sa confiance. À chaque commentaire négatif, à chaque commentaire cinglant, Harris s’enfonce un peu plus dans une spirale où il doute de lui-même.
Le traitement réservé par Don Waddell ne fait qu’aggraver la situation. En blâmant publiquement Harris pour ses performances, le DG le place sous une lumière cruelle, le transformant en cible facile pour les fans frustrés.
Waddell, cherchant à détourner l’attention de son propre échec monumental dans l’échange de Patrik Laine, n’hésite pas à sacrifier Harris pour sauver sa peau :
« Nous attendions plus de lui. Jusqu’ici, il n’a pas répondu à nos attentes. »
Ce n'est pas seulement le DG qui est sans pitié envers Harris. C'est toute la ville de Columbus.
« Ce gars n’a rien à faire dans la LNH. Waddell aurait dû le laisser à Montréal. »
« Harris est un échec total. Il nous coûte Laine ET un choix de 2e ronde. »
« Comment peut-on échanger un joueur comme Laine pour un défenseur aussi insignifiant? »
Pour un jeune joueur comme Harris, ces critiques publiques sont une véritable épreuve. Elles ne touchent pas seulement son image, mais aussi son moral.
Comment continuer à se battre quand tout le monde semble attendre votre chute?
Des sources proches de l’organisation rapportent que Harris, habituellement calme et réfléchi, semble déstabilisé par cette situation.
Lors des entraînements, son langage corporel révèle une nervosité inhabituelle. Même en dehors de la glace, il est décrit comme renfermé, évitant les interactions prolongées avec ses coéquipiers.
Jordan Harris est un joueur pris dans un tourbillon qu’il ne maîtrise pas. Entre un directeur général qui le pointe du doigt à chaque occasion, des partisans furieux qui cherchent un coupable, et des médias sans pitié, Harris est en train de vivre l’épreuve la plus difficile de sa carrière.
Mentalement, il mange une volée qui risque de laisser des cicatrices profondes. Si Don Waddell croit pouvoir sauver sa réputation en sacrifiant Harris publiquement, il détruit également un jeune joueur qui, dans un environnement plus sain, aurait peut-être pu s’épanouir.
Pour Harris, chaque jour à Columbus est un combat pour sa survie, non seulement en tant que joueur de hockey, mais aussi en tant qu’individu. Et malheureusement, la bataille semble de plus en plus perdue d’avance.
Don Waddell a peut-être réussi, pour un temps, à détourner les projecteurs de son incompétence, mais à quel prix?
En sacrifiant publiquement Jordan Harris, il a non seulement détruit la confiance du jeune défenseur, mais il a aussi frustré une grande partie des partisans des Blue Jackets.
La vérité, c’est que cette transaction restera dans les mémoires comme l’une des pires décisions de l’histoire récente de Columbus.
Et si Waddell croit pouvoir se sauver en piétinant Harris, il se trompe lourdement. Les fans, eux, n’oublieront jamais qui est le véritable responsable de ce fiasco.
Waddell s’est empressé de rappeler que cet échange était avant tout motivé par le désir de se libérer du contrat coûteux de Laine.
Harris, lui, n’était qu’un « bonus », une pièce interchangeable dans un casse-tête financier.
Cette pression, Harris n’y répond pas. En dépit de ses 131 matchs avec le Canadien, il est aujourd’hui relégué au rang de 6e défenseur, sur le bord d'être un 7e ou 8e défenseur.
Une maigre masse en 20 matchs... un différentiel de -6...
Le tour du chapeau de Patrick Laine et ses 5 buts en 8 matchs viennent enfoncer Harris jusqu'au cou.
Profond profond dans le trou...de plus en plus profond...
Avec un différentiel salarial de 1,4 million garanti, Harris ne devrait pas être rétrogradé dans la AHL, mais cette sécurité financière ne masque pas la réalité : il n’a pas convaincu.
Son camp d’entraînement a été jugé médiocre, sa saison est horrible et les médias locaux peinent à définir son style de jeu. Ni offensif, ni robuste, ni dominant défensivement, Harris donne l’impression d’être un joueur sans spécialité.
Pendant ce temps, Patrik Laine fait des vagues à Montréal. Son tour du chapeau et son tir – qualifié de « tir du poignet de l’année » – fait mal paraître Waddell et jette un éclairage encore plus cruel sur la situation de Harris.
Les partisans de Columbus n’ont pas tardé à exprimer leur colère :
« On a donné Laine pour un défenseur qui n'a aucun swag. Comment peut-on être aussi naïf? »
Alors que la tempête médiatique enfle, Harris se retrouve seul, piégé entre des attentes irréalistes et une réalité impitoyable.
Il est désormais clair que Waddell ne le voit pas comme une pièce maîtresse de l’avenir des Blue Jackets, mais plutôt comme une caution temporaire pour justifier un échange controversé.
Dans ce contexte, Harris semble condamné à échouer en raison d’un environnement hostile où chaque faux pas est amplifié.
La vérité crue est que les Blue Jackets n’ont jamais vraiment voulu de lui – ils voulaient simplement se débarrasser de Laine.
Don Waddell peut bien tenter de détourner l’attention en pointant du doigt Harris, mais les faits sont sans pitié: il a échangé un marqueur d’élite contre un défenseur de profondeur.
Et le traitement cruel réservé à Harris ne fait que mettre en lumière son propre échec.
Pour Harris, la situation frôle l’insupportable. Il est le symbole involontaire d’un mauvais pari, un joueur sacrifié au nom de la gestion douteuse.
Et pendant que Don Waddell cherche à sauver les meubles, Harris, lui, lutte simplement pour sauver sa carrière.