Montréal est en ébullition.
Le Canadien de Montréal s’est incliné de manière humiliante face aux Kings de Los Angeles, une équipe qui jouait son deuxième match en deux soirs.
La veille, les Kings s’étaient fait démolir 6-2 à Toronto, mais ils ont trouvé l’énergie nécessaire pour donner une leçon de hockey au Tricolore.
Pendant ce temps, Martin St-Louis, adepte des excuses faciles, est resté sans réponse. Ce soir, le coach n’a plus de discours inspirant ou de "game dans la game" pour justifier une nouvelle débandade.
Le public est à bout. Sur les réseaux sociaux, les critiques fusent de toutes parts.
Les fans ont perdu patience avec les belles paroles et les leçons de vie à deux sous de St-Louis.
Désormais, les résultats parlent, et les promesses du coach ne valent plus rien.
"Le mix", vraiment? Ouch.
Voici un échantillon des commentaires cinglants que l’on retrouve sur la toile :
« Les joueurs ont pas joué leur match dans le match »
« La fatigue, y sont à boute après 5 matchs dans la saison. »
« On vit avec un coach pee-wee. Résultat d’un coach sans expérience. »
"Aucune structure défensive. St-Louis improvise comme dans le bantam".
Pour St-Louis, qui adore répéter qu'il est difficile de performer avec deux matchs en deux soirs, cette défaite est un retour du karma magistral.
Les Kings ont prouvé que cette excuse ne tient plus la route. Comment justifier une performance aussi faible alors que l’adversaire a voyagé et joué la veille.
Et surtout, qu'il a joué 3 matchs en 4 soirs, eux qui ont perdu 8-7 à Ottawa lundi.
Les fans sont en furie, frustrés de ne pas voir leur coach hausser le ton.
Même après une performance honteuse, St-Louis a préféré adopter son ton doux habituel, refusant de secouer ses troupes. C’est comme si la peur de froisser les égos avait pris le dessus sur le besoin de redresser le navire.
À Montréal, on commence à réaliser que les promesses de St-Louis sont du vent.
« Être dans le mix », disait-il.
Mais le mix, c’est un mirage. La patience s’effondre, et les partisans réclament des résultats, pas des belles paroles. Ils attendent toujours le "hard coaching" promis, mais St-Louis continue de cajoler ses joueurs au lieu de les responsabiliser.
Si Martin St-Louis ne peut pas livrer autre chose que des excuses et des leçons de vie de bas-étage, le Canadien de Montréal risque de sombrer plus vite que prévu.
Les gens ne sont plus capables d'entendre qu'il faut jouer la game dans la game.
Ou qu'il y a des joueurs qui jouent au hockey...et des joueurs de hockey..
Ou qu'il faut se concentrer sur le processus.
Ou que le Canadien n'est plus un bébé.
"Il faut que tu prennes soin du bébé. Mais un enfant est plus autonome : il est capable de faire son lit ou de brosser ses dents."
Non seulement les enfants de St-Louis ne sont pas autonomes, mais ils mouillent encore leurs lits. Ils jouent avec la peur au ventre.
Sous les ordres d'un coach qui n'est pas prêt à entraîner dans la LNH. St-Louis parle toujours de voler la chaise en-avant de toi.
Mais la réalité est que Martin St-Louis a volé la chaise qu'il ne mérite pas: celle d'un coach en chef de la LNH.
À un moment donné, il faudra bien que St-Louis réalise que dans la meilleure ligue au monde, les mots doux de ses phrases pré-fabriquées ne suffisent pas.
Il est temps de passer à l’action, sinon le coach verra la colère de Montréal se retourner définitivement contre lui.
De plus en plus de voix s’élèvent à Montréal pour qualifier Martin St-Louis de coach pee-wee, une accusation cinglante mais lourde de sens.
Ce terme, souvent utilisé de façon moqueuse, désigne un entraîneur qui semble dépassé par la complexité et les exigences du haut niveau. Mais pourquoi ce surnom colle-t-il à St-Louis?
St-Louis aussi doit apprendre à faire son lit...et se brosser les dents...
Depuis son arrivée, St-Louis peine à établir une structure défensive digne de la LNH. Les erreurs de couverture se multiplient, les joueurs sont souvent désorganisés, et les chiffres sont alarmants.
Comment espérer performer quand ton équipe est dernière pour les tirs accordés dans l’enclave et les revirements?
Contrairement aux équipes bien drillées par des coaches expérimentés, les Canadiens de St-Louis semblent improviser à chaque match, incapables d'aligner deux performances défensives cohérentes.
C’est typique d’un entraîneur pee-wee qui compte plus sur l’énergie des joueurs que sur une stratégie bien définie.
Plutôt que de secouer ses troupes après des contre-performances, il choisit la douceur et les encouragements.
Les partisans en ont assez de cette approche : dans la LNH, les entraîneurs doivent exiger de la discipline et de la rigueur.
Imaginez Patrick Roy dans cette situation : les joueurs auraient été cloués au banc ou envoyés dans les gradins. Mais St-Louis préfère jouer au grand frère, un comportement plus proche d’un coach pee-wee que d’un leader de haut niveau.
St-Louis semble vouloir tout contrôler, une approche typique d’un coach débutant qui ne fait pas confiance à ses adjoints.
Depuis le départ d'Alex Burrows, il est le seul responsable de l’avantage numérique, une décision critiquée par son propre directeur général, Kent Hughes, qui a publiquement suggéré que St-Louis devait apprendre à déléguer.
Refuser de s’entourer de coaches expérimentés est une erreur fatale à ce niveau, et cela rappelle encore une fois l’attitude d’un coach pee-wee qui croit pouvoir tout gérer seul.
St-Louis a promis de faire progresser ses jeunes joueurs, mais les décisions restent incohérentes. Lane Hutson, exposé et à -7 en seulement deux matchs, continue d’être envoyé au front sans filet de sécurité.
Joshua Roy est rétrogradé après un camp décevant, mais St-Louis n’a pas eu le courage de faire de même avec des vétérans comme Christian Dvorak, qui enchaînent les mauvaises performances.
Cette gestion approximative nuit à l’équipe et reflète un manque de vision à long terme.
Lorsqu’un coach pee-wee est dépassé, il peine à s’adapter. C’est ce que l’on voit chez St-Louis, qui continue de faire surjouer Mike Matheson. Pas étonnat qu'il se soit blessé.
Il persiste avec des alignements inefficaces, refuse de s'adapter, et préfère maintenir des joueurs épuisés sur la glace trop longtemps.
Les résultats sont là : un jeu défensif décousu, une attaque massive fragile, et une équipe qui semble perdue sur la glace.
St-Louis, tout comme un coach pee-wee, n'a pas encore trouvé le moyen de hausser le niveau quand les choses se corsent.
Si Martin St-Louis veut survivre à Montréal, il devra prouver qu’il peut évoluer et adopter une approche plus adaptée aux exigences de la LNH.
Pour l’instant, son attitude bienveillante et son absence de rigueur le placent dans la catégorie des entraîneurs amateurs, et cela devient de plus en plus évident.
Le ciel est en train de lui tomber sur la tête, et s’il ne change pas rapidement, il risque de perdre le vestiaire — et la confiance de ses partisans.
Dans la LNH, les résultats priment. St-Louis peut continuer de jouer au philosophe avec ses "matchs dans le match", mais à un moment donné, il devra montrer qu’il est capable de diriger une équipe de manière professionnelle.
Sinon, il pourrait bien être la prochaine victime d’un marché impitoyable qui n’a aucune pitié pour les faibles.