Il est difficile de comprendre la motivation derrière les récents articles de Sophie Durocher, qui semblent s’acharner sur une Céline Galipeau déjà mise à mal par des critiques acerbes.
La journaliste du Journal de Montréal s'est permis de ridiculiser Galipeau une fois de plus aujourd'hui, après l'avoir enfoncé à plusieurs reprises en quelques journée pour une cérémonie d'ouverture des jeux olympiques ratée.
"Parlant de réaction enfantine, Céline Galipeau a réagi aux mauvaises critiques sur son animation de la cérémonie en disant en gros à La Presse:
«C’est pas ma faute, bouhouhou.» Ce serait la faute du directeur artistique, qui aurait fourni trop peu d’infos sur son spectacle. Mais dans le même texte, on apprend que les animateurs ont reçu «un document contenant le déroulement de la cérémonie (le nom des 12 tableaux, leur signification, les lieux, les créateurs, etc.)».
Le manque d’enthousiasme, le manque d’émerveillement, le manque de culture générale des deux animateurs, on l’explique comment à Radio-Canada?"
Ce n'est plus de la critique constructive, c'est de l'acharnement.
La journaliste de Radio-Canada a déjà traversé une période horrible après la couverture des Jeux Olympiques de Paris, marquée par des commentaires désobligeants et des attaques verbales en règle sur les réseaux sociaux.
Elle est devenue le bouc-émissaire du Québec. Durocher l'avait déjà détruire avec des propos cinglants, voire méchants.
"Il faut absolument revenir sur la piètre performance de Radio-Canada qui nous a servi des commentaires fades, insipides et franchement insignifiants.
Ni Martin Labrosse ni Céline Galipeau ne m’ont impressionnée: on avait l’impression qu’ils décrivaient des funérailles!
Personne ne leur a fourni d’informations sur les artistes qui se produisaient devant nos yeux? Pas de références historiques replacées dans leur contexte, ou d’anecdotes sur les lieux mis en valeur?"
Céline Galipeau traverse actuellement une période extrêmement difficile, marquée par une avalanche de critiques sévères et une tempête médiatique qui l'ont profondément affectée.
On dirait que Madame Durocher prend plaisir a frapper quelqu'un qui est déjà à terre. Céline Galipeau a fait face à une vague de commentaires tellement négatifs et de mécontentement du public, pourquoi vouloir enfoncer le clou?
En revenant de Paris, Galipeau a été accueillie à l'aéroport Pierre-Elliott Trudeau par une presse prête à l'attaquer, augmentant encore son sentiment de vulnérabilité.
Durocher a senti l'odeur du sang et a voulu amplifier sa destruction en règle. Céline Galipeau a montré à quel point elle était ébranlée.
Elle a décrit son état émotionnel comme étant profondément attristé par les critiques, soulignant qu'elle avait lu des commentaires particulièrement durs qui l'avaient blessée.
Galipeau, reconnue pour son professionnalisme et son sérieux, n'est pas habituée à être la cible d'un tel niveau de désapprobation.
Cette situation la met dans une position délicate, remettant en question son travail et son image publique. Le fait qu'elle ait tenté d'expliquer les défis rencontrés, tels que le format inédit de l'événement et les conditions météorologiques défavorables, n'a pas suffi à apaiser les critiques.
La journaliste se trouve actuellement dans une position précaire et Durocher veut simplement l'achever publiquement, avec le style sans pitié de Quebecor quand vient le temps de botter le derrière à Radio-Canada.
Durocher ne voulait pas laisser Galipeau gérer cette crise tout en préservant sa dignité professionnelle. La pression est immense, non seulement de la part du public, mais aussi des médias et Durocher veut en profiter pour jouer à la "bully".
Elle ne veut pas pas lâcher prise. Au final, Sophie Durocher a réussi son objectif. Céline Galipeau est à terre, submergée par les critiques, et se retrouve dans une situation où elle doit non seulement faire face aux répercussions immédiates de cette crise, mais aussi reconstruire sa réputation et retrouver la confiance du public.
Au lieu de comprendre ces difficultés et d'encourager un débat constructif, Durocher choisit de piétiner Galipeau, amplifiant les voix critiques au lieu de chercher à comprendre les défis auxquels elle a été confrontée.
Ce comportement frôle l'intimidation, et il est difficile de ne pas y voir un certain plaisir malsain à enfoncer une professionnelle respectée dans un moment de vulnérabilité.
La question se pose : jusqu'où Durocher ira-t-elle dans cette vendetta personnelle contre Galipeau ? Il est temps qu'elle passe à autre chose et arrête de frapper sur une personne qui est déjà à terre.
Mais elle ne veut pas lâcher le morceau. Elle veut détruire la carrière de Madame Galipeau...jusqu'à la fin...