Les Maple Leafs de Toronto ont trouvé en Simon Benoit une véritable fierté québécoise au sein de leur équipe.
En tant que seul francophone de l'équipe et avec un contrat d'un an, Benoit a réussi à s'imposer et à se sentir chez lui au sein de la prestigieuse équipe de la LNH.
Malgré la barrière linguistique, Benoit a su tisser des liens en conversant en français avec les entraîneurs adjoints Guy Boucher, Mike Van Ryn et Manny Malhotra.
Certains coéquipiers ont également fait l'effort de comprendre la langue de Molière, même si, selon Benoit, certains d'entre eux se limitent aux "gros mots".
Le Québécois a gagné la confiance de l'entraîneur-chef Sheldon Keefe et a trouvé une synergie avec Jake McCabe, formant un duo aussi robuste qu'efficace sur la glace.
Simon Benoit has been a workhorse for the @MapleLeafs 🐎@lukegazdic breaks down his game tonight on Monday Night Hockey. pic.twitter.com/nVPPoN6KMj
— Sportsnet (@Sportsnet) February 6, 2024
Malgré le défi d'être le seul représentant de la francophonie, Benoit a su prouver sa valeur et s'est intégré harmonieusement à l'équipe.
Vivant à Toronto, Benoit envisage un avenir prometteur dans la ville pour lui, sa compagne Alice, et leurs fidèles compagnons à quatre pattes : Molson, Bourbon, et Brandy.
Alors que la date limite des échanges approche, Benoit se concentre sur l'essentiel : son jeu sur la glace.
À 25 ans, non repêché, il reste déterminé à s'améliorer continuellement.
En analysant chaque jeu sur son iPad après chaque match, Benoit met en lumière son professionnalisme et son engagement envers son développement personnel.
Bien que souvent appelé à jouer contre les meilleurs joueurs en tant que membre de la troisième paire, Benoit se nourrit des défis les plus difficiles.
Affronter des noms tels que McDavid, Crosby et Ovechkin constitue sa plus grande source de fierté, soulignant sa contribution précieuse dans des moments cruciaux du jeu.
Simon Benoit incarne ainsi l'esprit combatif et la détermination qui font de lui un atout précieux pour les Maple Leafs de Toronto.
Let's go mon Benoit!