Depuis plusieurs années, les Oilers d'Edmonton peuvent compter sur une paire d'attaquants exceptionnelle en Connor McDavid et Leon Draisaitl. Ces deux joueurs figurent parmi les meilleurs de la LNH et leur contribution au succès des Oilers est indéniable.
Certains parlent même des deux meilleurs joueurs au monde. Leur capacité à accumuler des points est impressionnante.
Cependant, même si McDavid semble être solidement ancré à Edmonton, l'avenir de Draisaitl paraît moins certain. Le contrat de l'attaquant allemand expire dans un an, et son départ devient de plus en plus probable.
Récemment, des rumeurs l'ont envoyé à Boston et à San Jose.
Néanmoins, dans le dernier épisode de "Tellement hockey" sur Radio-Canada, Marc Antoine Godin a soulevé une autre possibilité : pourquoi pas Montréal ?
Les blogues en ont parlé en long et en large. Mais voilà le premier média traditionnel qui aborde la question. En réalité, cela fait du sens pas à peu près.
Dans un an, le Canadien de Montréal sera un prétendant sérieux pour les séries éliminatoires et aura toute la place nécessaire sur sa masse salariale pour signer Draisaitl.
Comme le Godin le dit si bien, Draisaitl à Montréal équivaut à Artemi Panarin à New York. La cerise sur le sundae pour finir une reconstruction.
On va parler d'un contrat de 7 ans et près de 100 millions de dollars assurément. Cela peut paraître insensé. Mais le plafond salariale va augmenter et le 2e meilleur joueur de la planète, ça se paye "cash".
Il est clair que Draisaitl serait intéressé par Montréal. Dans un an, l'idée de jouer avec l'organisation la plus prestigieuse de la LNH, avec un coach offensif comme Martin St-Louis et rejoindre un jeune équipe remplie de talent sera tellement séduisant.
Martin St-Louis est vraiment la carte cachée. Draisaitl rêverait de joueur pour le coach. Et veut devenir la vedette numéro un de son équipe, lui qui est tanné de jouer dans l'ombre de Connor McDavid.
Cela fait tout simplement trop de sens...
Draisaitl à Montréal..il faut y croire. Même Radio-Canada y croit à cent pour cent.