- BEN LÀ...
- Louis Leblanc NOUS NIAISE????
- Guillaume Latendresse aussi...
- À un moment donné...
- Il faut accepter d'être des FLOPS...
« J’ai tellement vécu de beaux avec Montréal. Je ne regrette rien »,
« Je pense que le monde à Montréal ne sont pas patients. Je pense que ça va des deux bords. Les partisans à Montréal sont parmi les meilleurs au monde dans le sport professionnel, mais de l’autre côté, les gens veulent voir leur équipe gagner. Chaque nouveau choix au repêchage, on dirait qu’on pense qu’il va devenir le prochain sauveur qui va faire gagner la coupe. Une équipe, ce n’est pas qu’un seul joueur. On joue en équipe. »
« C’est sûr qu’arriver à Montréal jeune, c’est difficile. C’est une expérience qui est spéciale et que les jeunes dans d’autres marchés n’expérimentent peut-être pas. Oui tu es un joueur de hockey, mais tu es aussi un humain. Tu as des bonnes journées et des moins bonnes journées comme n’importe qui d’autre. Personne n’arrive sur la glace avec l’intention de mal jouer. »
- Guillaume Latendresse est d'accord avec Leblanc.
« Quand j’entends dire que je suis un flop, je deviens bleu. Pour un Québécois, de jouer dans la Ligue nationale, que ce soit un match, une minute ou une passe, pour moi tu as réussis. Tu es allé sur la glace avec les top guys de la ligue. Je trouve tellement qu’on est sévères. Même si tu as joué seulement 10 matchs, t’es pas un flop, t’es une réussite. On devrait te donner une tape dans le dos d’avoir réussi là où tant de jeunes ont échoué. »