- Lukas Reichel à Montréal?
- C'est le souhait de Maxim Lapierre...
«Le premier mot qui me vient en tête, c'est l'intelligence sur la patinoire»
«Ce n'est pas le gars avec le lancer le plus foudroyant, ou tous les autres petits atouts comme ça qui font qu'un joueur est spectaculaire, mais l'intelligence, la discipline, la maturité de ce joueur-là feront automatiquement de lui un choix de première ronde. Il apprenait tellement rapidement la saison passée, on a joué sur le même trio toute l'année. On patine ensemble depuis quelques semaines et juste dans les cinq-six derniers mois, il y a une énorme différence.»
«C'est un bon contrat et je suis content d'entendre ça parce que ça prouve que le gars veut être ici, qu'il aime le marché, qu'il veut gagner. Il ne faut pas oublier non plus l'impact des jeunes comme (Jesperi) Kotkaniemi et (Nick) Suzuki, qui donnent espoir aux vétérans.»