- Marc Berrgevin veut MOURIR pour Carey Price...

- Et CLAME que Cole Caufield et Nick Suzuki...

- Vont apprendre le français..

«Je suis heureux qu’on puisse donner un peu de plaisir à notre ville, à notre province, surtout que les six derniers mois, avec les couvre-feu, les gens se sont sacrifiés pour la cause».

«Pour moi, ça redonne à notre peuple».

«L’euphorie d’hier est déjà partie. Pour moi-même et pour les joueurs que j'ai vus ce matin, le "focus" est encore sur le grand prix. Le Saint-Graal, la coupe Stanley. On se donne une chance de jouer pour les grands honneurs.»

«Il nous reste quatre victoires. On est en mode "business". Toute la saison, on a fait face à de l'adversité, que ce soit les blessures ou le calendrier, le changement d'instructeur, la COVID à Dominique Ducharme. Les joueurs se sont toujours levés et ont toujours fait face au défi et je suis vraiment fier d'eux.»

«C'est difficile à expliquer comment je suis heureux pour Carey Price. Au Québec, on a des partisans qui sont passionnés, et souvent la passion amène des émotions. Tu peux être fâché, t'en prendre à des joueurs. Ils vont souvent s'en prendre au DG, au coach et à Carey. Et voir où on est rendus, ça me fait chaud au coeur pour lui, parce qu'il a souvent été critiqué. Je vais mourir avec Carey Price. Aujourd'hui, je pense que le Québec au complet a compris c'est quoi Carey Price.»

«Je me sens un peu son protecteur».

«Cole Caufield, moi, personnellement, je savais qu’il était bon, qu’il aurait du succès, mais tôt comme ça, un tel impact, non. Je serais menteur de dire ça. Je croyais au jeune, mais aussi vite, dans des moments aussi cruciaux?»

«Une chose que je savais en discutant avec l’agent Pat Brisson, c’est que durant toute sa carrière, il s’est levé dans les moments les plus importants. Ça l’a suivi et ça le suit encore aujourd’hui. Même chose pour Nick Suzuki.»

"En passant, les deux veulent apprendre le français. D'ici deux ans, ils pourront vous parler dans votre langue.."

   

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