Rien n’a fonctionné pour Martin St-Louis ce soir, alors que le CH se fait humilier 5-1 contre le Kraken de Seattle.
Son manque de réaction et des décisions douteuses ont créé une avalanche de critiques cinglantes sur les réseaux sociaux.
Les partisans et observateurs ne lui ont rien épargné, dénonçant des choix stratégiques qui ont précipité l’effondrement du Canadien.
La colère s’est amplifiée lorsque St-Louis a décidé d’attendre que le score atteigne 4-0 avant de demander un temps d’arrêt.
Beaucoup ont souligné le manque de réactivité de l’entraîneur, reprochant à St-Louis d’avoir laissé le match lui échapper. Un internaute a résumé la situation avec sarcasme :
« J'espère que le temps d'arrêt à 4-0 était pour organiser le party de Noël… parce que c’est la seule chose qui reste à planifier ce soir. »
L’autre décision controversée concerne Juraj Slafkovsky. St-Louis l’a retiré du premier avantage numérique au profit d’Alex Newhook, une manœuvre incomprise par plusieurs.
Les partisans, déjà frustrés par l’utilisation irrégulière du jeune Slovaque, ont réagi vivement :
« Si tu veux briser la confiance d’un joueur, regarde Martin St-Louis en action. Un cours magistral. #Slafkovsky »
L’entêtement de St-Louis à laisser Samuel Montembeault subir cinq buts sur seulement 15 tirs avant de le retirer n’a fait qu’alimenter la frustration générale.
« Cinq buts sur 15 tirs… Martin attendait peut-être que Montembeault demande lui-même son remplacement? »
D'autres ont souligné l’absence de gestion émotionnelle de l’équipe :
« Mettre Monty dans cette position, c’est du sabotage pur. Le vestiaire mérite mieux que ça. »
L’expression favorite de St-Louis, « Emmène ta game dans la game », est devenue un outil de moquerie sur X et Facebook. Certains internautes ont détourné cette phrase devenue une moquerie.
« Martin, ramène ta game sur le banc. Parce que sur la glace, c’est la catastrophe. »
« Ce soir, on a vu que même St-Louis a oublié d’emmener sa game dans la game. »
Avec cette autre dégelée du mardi soir, la tension autour de St-Louis atteint de nouveaux sommets sur la toile.
La promesse d’une reconstruction patiente ne suffit plus à calmer les critiques, et l’impatience gagne du terrain. Un fan a résumé le sentiment général :
« On ne demande pas la Coupe Stanley cette année, juste un coach capable de savoir quand appeler un temps d’arrêt et protéger ses joueurs. »
Le mauvais usage de Slafkovsky, le traitement de Montembeault, et le manque d’ajustements tactiques placent St-Louis dans l'eau chaude.
Avec cette 2e dégelées en deux semaines, l’entraîneur semble perdre non seulement des matchs, mais aussi le soutien des partisans, autrefois indulgents envers lui.
Le problème de St-Louis est qu'il joue au grand sage devant les journalistes. Mais agit comme un apprenti-coach sur le banc.
En attendant, les critiques continuent de fuser sur les réseaux sociaux, et l’entraîneur se retrouve sous une pression qu’il n’a encore jamais connue depuis son arrivée derrière le banc du Tricolore.
Son ennemi Jean-Charles Lajoie a sorti la bouteille de champagne.