Martin St-Louis, l'entraîneur en chef des Canadiens de Montréal, continue de faire des choix surprenants qui suscitent des interrogations parmi les partisans de l'équipe.

Parmi ses décisions les plus déconcertantes, on retrouve son insistance à placer Brendan Gallagher sur la deuxième unité d'avantage numérique, ainsi que la préférence de faire commenver Samuel Montembeault sur la patinoire B, comme s'il occupait le rôle de troisième gardien de l'équipe.

Malgré les critiques et les sceptiques qui le qualifient parfois de "coach pee-wee", St-Louis semble indifférent aux opinions extérieures. Il persiste dans son approche, semblant accorder moins d'importance aux performances passées des joueurs et aux conventions habituelles de la formation d'une équipe.

La décision de placer Brendan Gallagher, un attaquant au bout du rouleau, sur la deuxième unité d'avantage numérique, est perçue comme contre-intuitive. St-Louis ne semble pas ajuster cette configuration malgré les résultats mitigés.

De plus, le choix de Samuel Montembeault comme gardien de la patinoire B en début d'entraînement soulève des interrogations. Il est le premier gardien de cette équipe, pas le troisième gardien.

Certains s'interrogent sur la logique derrière cette décision, particulièrement si cela peut potentiellement influencer la stabilité de l'équipe devant le filet.

Certains observateurs estiment que St-Louis agit comme s'il y avait des "badges de participation" en jeu, ne privilégiant pas les performances immédiates.

Cependant, la réalité de la LNH est impitoyable, et les attentes des partisans et des dirigeants de l'équipe sont souvent axées sur les résultats à court terme.

Il est indéniable que Martin St-Louis doit répondre aux attentes élevées qui entourent l'une des équipes les plus prestigieuses de la Ligue nationale de hockey.

Alors que les partisans souhaitent la victoire, St-Louis devra peut-être ajuster sa philosophie et ses choix de formation pour atteindre les objectifs de succès immédiat que la LNH exige.

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