Martin St-Louis vit sa première tempête à titre d'entraineur-chef du Canadien de Montréal

Marquée par une série de trois défaites consécutives, le jeu défensif du Canadien se retrouve au centre des discussions depuis quelques jours à Montréal.

Cette troisième dégelée d'affilée confirme les lacunes du CH qui ne peuvent plus être ignorés.

En effet, le Canadien est vulnérable défensivement et se trouve actuellement au 4e rang des équipes accordant le plus de buts depuis le début de la saison, derrière les Sharks, les Blackhawks et les Blue Jackets.

Les équipes adverses semblent avoir trouvé la faille dans les "concepts" défensifs de St-Louis, faisant mal paraitre la sainte flanelle depuis quelques temps.

 

 

 

 

 

 

 

 

Les critiques fusent, remettant en question la pertinence des approches tactiques de l'entraîneur-chef.

Même St-Louis lui-même a du mal à expliquer son jeu défensif, déclarant énigmatiquement : "Quand on est là, on est là".

 

 

Une réponse qui ne fait qu'alimenter les doutes quant à la clarté et à l'efficacité de sa stratégie défensive.

Le timing de cette glissade défensive n'est pas des plus opportuns, surtout alors que tous les yeux sont tournés vers Patrick Roy, considéré comme un vent de fraîcheur dans le monde des entraîneurs de la LNH.

St-Louis, pour sa part, en est à deux années complètes à la tête du Canadien, et la lune de miel semble bel et bien terminée.

Le défi qui se présente à St-Louis est de taille : comment fera-t-il face à cette tempête médiatique?

Son manque d'expérience comme entraîneur-chef dans la LNH devient de plus en plus apparent, et il doit rapidement trouver des réponses aux problèmes défensifs de son équipe.

En tant qu'ancien lauréat du trophée Hart, la pression est grande sur St-Louis pour qu'il démontre sa capacité à s'adapter et à ramener le Canadien sur la voie du succès.

Les prochaines semaines seront cruciales pour évaluer la résilience et la créativité de St-Louis face à cette tempête médiatique grandissante.

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