- Mavrik Bourque à Montréal...
- C'EST PARTOUT sur LA TOILE!!!!
«Honnêtement, pendant que ça jouait, je ne pensais pas tant à ça. Je pensais plus au fait que, si les Canadiens gagnaient, les Penguins auraient leur boule dans la loterie pour avoir le premier choix [et Alexis Lafrenière]. C’est en tant que fan que je voyais cette série-là.»
«Je te dirais que, pas mal chaque soir qu’il y en a (du hockey), je l’écoute.»
«C’est sûr que si tu ne regardes pas de matchs, que tu ne les analyses pas et que tu as un bon sens du hockey, ça se peut que ce soit [entièrement] naturel. Mais de mon côté, je pense que c’est une combinaison des deux. Je dois sûrement l’avoir en moi, mais j’analyse aussi beaucoup le jeu, j’analyse beaucoup mes anciens matchs. Alors, quand j’arrive sur la glace, je n’ai pas besoin de penser, a illustré le fin passeur. J’ai déjà vu la même séquence dans ma tête. Ce côté-là m’aide beaucoup.»
«C’est un gars qui est extrêmement brillant, son sens du hockey est excellent affirme le directeur général des Cataractes, Martin Mondou. Il a un bon niveau d’engagement. C’est un très bon passeur, mais c’est aussi un très bon marqueur. Il a des outils, son jeu est complet. Il faut qu’il continue de travailler fort. Il veut améliorer encore son patin un petit peu pour le futur, mais regarde, c’est certain qu’il a des outils très intéressants.»
«On va parler de points, points, points, mais c’est un gars qui est assez brillant pour être capable de jouer la game des deux côtés».
"Je suis un MIX entre Suzuki et Brayden Point" affirme Bourque.
«Suzuki, c’est un joueur que je me mets de plus en plus à observer avec ce qu’il a montré durant le tournoi. Il est très intelligent, très bon offensivement et il commence à avoir des minutes en désavantage numérique. C’est un autre joueur auquel je peux me comparer. Ce n’est pas le plus rapide, mais il se démarque par sa vision du jeu.»
«J’ai eu une discussion avec les Canadiens par Zoom ce matin [mardi]. Ç’a été une bonne entrevue. Ça s’est bien passé, et je peux en dire autant de la majorité de ceux que j’ai faites.»
«Qu’ils me demandent de jouer à gauche ou à droite, l’important, c’est de gagner la confiance de l’organisation qui va me repêcher. S’il faut que je sois à l’aile droite, je vais le faire. Je me sens à l’aise de jouer à cette position.»
«À Shawinigan, j’ai joué à l’aile cette saison avec Vasiliy Ponomarev. Pendant peut-être maximum 10 parties, même pas. Au final, ça reste une game de hockey. J’ai été utilisé à l’aile pendant la série Subway, sur un quatrième trio. J’ai montré que j’avais une utilité au-delà de mon talent offensif.»
«Drouin, beaucoup de monde le critiquait. mais tu dois en prendre et en laisser. Regarde Phillip Danault, c’est un Québécois et il n’y a pas nécessairement beaucoup de monde qui le critique, car c’est un joueur qui se présente chaque soir. Je pense que c’est une question d’engagement. Que tu sois un Québécois, un Américain ou un Russe, ça va t’aider si tu travailles chaque soir. Des distractions, il va y en avoir n’importe où.»
- Son DG est d'accord.
«La pression ne l’effraie pas beaucoup. On voit les performances qu’il a eues à un très jeune âge dans la Ligue. Il a été capable de répéter ça, de continuer à grandir et d'être encore plus performant même s’il avait eu une super année à 16 ans... Non, ce n’est pas quelque chose qui m’inquiète du tout.»