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- Après son opération à COEUR OUVERT....
«Je ne peux pas dire que je me sens à 100 % tous les jours».
«C’est quand même dans la normalité des choses quand on approche 85 ans (il les aura le 12 mai). Je ne peux plus faire les choses que je faisais il y a 25 ans.»
«Après que j’aie été opéré au cœur, les médecins m’ont suggéré de continuer à marcher avec une canne. Je ne l’utilise pas toujours, mais souvent quand même. Je m’y habitue.»
"Je m'ennuie d'aller à la pêche avec Guy (Pagé, défunt chroniqueur de pêche pour le Journal de Montréal).
«Nous étions de très bons amis».
«Il est malheureusement décédé, mais c’est la vie. Nous allons tous mourir un jour.»
«J’ai gardé contact avec plusieurs joueurs des Giants qui jouaient avec moi, mais il n’en reste plus que quatre ou cinq aujourd’hui».
«Plusieurs personnes me parlent de 1994 par les temps qui courent».
«Je suis content de ne plus porter l’uniforme. Le baseball est un métier pour les joueurs et les entraîneurs. Au moment où on se parle, ils ignorent s’ils vont travailler cette année. Il n’y a aucune certitude qu’ils pourront le faire l’an prochain non plus.»
«Le contexte n’a rien à voir avec celui qu’on a vécu en 1994. On ne connaît pas l’ennemi contre qui on se bat. La solution n’est pas entre les mains du baseball, mais entre celles de Dieu, de la nature et des scientifiques qui cherchent un antidote pour contrer cette maladie.»
«Notre fille Valérie, une avocate de formation qui œuvre dans le secteur des opérations baseball chez les Giants, est à la maison avec nous».
"Mon fils Luis Rojas été promu gérant des Mets de New York dans des circonstances particulières en janvier dernier"
(Il a succédé à Carlos Beltran, imploiqué dans le scandale des vols de signaux par les Astros de Houston, en 2017.
"Le baseball était PLUS DUR à l'époque.."
«Je glissais au deuxième but pour briser des doubles jeux et je fonçais sur le receveur dans le but de marquer des points».
«On subissait toutes sortes de blessures, mais le baseball était joué ainsi. Les gens disaient que ça provoquait des bagarres, mais si je n’avais pas fait ça, je n’aurais pas été fidèle à mon style de jeu. On jouait de cette manière dès qu’on nous apprenait à jouer.»
«J’étais habitué aussi à jouer tous les jours. Ça a été le cas durant presque la totalité de mes 17 saisons dans les majeures.»
«Le style de jeu pratiqué autrefois n’était pas approprié, mais c’était accepté. Ça faisait partie du jeu».
«De nos jours, les joueurs sont plus conciliants. Je comprends les mesures qui ont été adoptées pour empêcher les contacts sur les buts et au marbre.»
«Les équipes versent de gros salaires aux joueurs et elles ne veulent pas les perdre en raison de contacts qui sont évitables.»