Nos pensées accompagnent Angélie Bourgeois-Pelletier, la copine de Juraj Slafkovsky, au cœur de la tempête
Juraj Slafkovsky n’a jamais été autant sous les projecteurs, et malheureusement, sa copine Angélie Bourgeois-Pelletier se retrouve bien malgré elle au centre d’une controverse qui prend des proportions inquiétantes.
Depuis plusieurs semaines, le jeune attaquant du Canadien est scruté à la loupe, et pas seulement pour ses performances sur la glace.
Ses sorties fréquentes au Flyjin, un bar huppé du Vieux-Montréal, ont alimenté les spéculations sur sa discipline et son engagement envers son métier.
D’autant plus que ce n’est un secret pour personne : Slafkovsky, de nature jalouse, passait parfois ses soirées entières au Flyjin uniquement pour “surveiller” sa copine lorsqu’elle y travaillait comme barmaid.
Et si cette situation soulevait déjà des questions sur son niveau de concentration, elle a pris un tout autre tournant aujourd’hui.
Chantal Machabée monte au front pour défendre le couple
En réponse à cette tempête médiatique, Chantal Machabée, vice-présidente aux communications du Canadien de Montréal, nous a personnellement contacté pour clarifier la situation.
Selon elle, Angélie Bourgeois-Pelletier ne travaille plus au Flyjin depuis mars dernier.
Une déclaration qui vise à dissiper les doutes et surtout, à calmer les critiques qui pleuvent sur la copine de Slafkovsky.
Mais si cette information apporte un éclairage nouveau, elle ne règle pas tout.
Car même si Angélie ne serait plus officiellement barmaid, des témoins affirment qu’elle est toujours très présente dans le bar.
Pire encore, Slafkovsky lui-même y serait toujours un habitué.
Alors, que se passe-t-il réellement? L’affaire a tellement pris d’ampleur que les animateurs de BPM Sports ont décidé de monter au créneau.
Le message est clair : laissez la vie privée de Slafkovsky tranquille!
Selon eux, les spéculations sur sa relation amoureuse ne font qu’ajouter une pression inutile sur un joueur déjà fragilisé par ses performances en dents de scie.
Mais la réalité est que le lien entre sa vie personnelle et son hockey ne peut plus être ignoré.
Si Slafkovsky a du mal à se concentrer, si son jeu manque de mordant, si sa saison est en deçà des attentes, il est normal que l’on se pose des questions sur ce qui l’affecte en dehors de la glace.
Et malheureusement, Angélie Bourgeois-Pelletier est désormais au centre de ce débat. Une jeune femme prise dans un tourbillon qu’elle n’a pas demandé
À travers toute cette polémique, une chose est claire : Angélie n’a rien demandé.
Elle est devenue une cible malgré elle, accusée d’être une mauvaise influence sur son copain simplement parce qu’elle a travaillé dans un bar de Montréal.
Certains lui reprochent son style de vie, ses sorties, son influence sur Slafkovsky, mais au final, est-ce réellement sa faute?
Est-ce elle qui oblige Slafkovsky à veiller tard au Flyjin? Est-ce elle qui lui dit de mal jouer sur la glace? Ou est-ce plutôt Slafkovsky lui-même qui gère mal sa carrière et ses priorités?
Les médias slovaques s’en mêlent, et la pression monte. Pendant que les médias québécois s’emballent sur cette histoire, les médias slovaques ne sont pas en reste.
Dans son pays natal, Slafkovsky est une icône nationale. Sa famille est régulièrement exposée, et la moindre rumeur prend une ampleur démesurée.
Cette histoire avec Angélie Bourgeois-Pelletier a même été reprise par certains médias slovaques, ajoutant encore plus de pression sur le jeune joueur.
La rumeur veut même que ses proches soient inquiets de ses choix de vie depuis qu’il est à Montréal.
On commence à se demander si Slafkovsky n’est pas en train de perdre le contrôle et si son entourage, au lieu de l’aider à s’épanouir, ne contribue pas à ses difficultés.
Un joueur complètement déconcentré… et une situation incontrôlable
Le problème, c’est que pendant que tout cela se déroule, Juraj Slafkovsky semble totalement absent sur la glace. Hier encore, il a été l’un des pires joueurs du match.
Même Pierre Houde, d’habitude mesuré, a laissé entendre que son jeu de passes était catastrophique. Sur les réseaux sociaux, la frustration monte, et l’image de Slafkovsky se détériore.
Son manque d’implication sur la glace, ses sorties tardives, et maintenant cette saga avec sa copine font de lui une cible facile.
Et malheureusement, c’est Angélie qui en paie aussi le prix. Une conclusion troublante : le Canadien a-t-il laissé cette controverse éclater volontairement?
Et si le plus troublant dans tout ça, c’était que le Canadien de Montréal n’a rien fait pour éviter cette situation?
D’habitude, l’organisation protège ses joueurs avec une vigilance extrême.
Elle contrôle ce qui sort dans les médias, elle s’assure que les controverses ne prennent pas d’ampleur inutilement.
Mais cette fois-ci? La séquence du documentaire “La Reconstruction” où Slafkovsky refuse de payer une facture n’a pas été coupée.
Les rumeurs sur ses sorties nocturnes n’ont pas été étouffées. Et maintenant, même Chantal Machabée doit intervenir pour essayer d’éteindre l’incendie.
Est-ce une simple négligence? Ou est-ce que le Canadien commence à être exaspéré par l’attitude de son jeune joueur?
Une situation qui devient insoutenable
Ce qui est certain, c’est que cette saga n’est pas terminée.
Angélie Bourgeois-Pelletier, qu’elle le veuille ou non, est maintenant impliquée dans la spirale infernale qui entoure son copain. Elle devient un symbole, un prétexte, une distraction.
Elle doit maintenant composer avec les critiques, les jugements, et l’attention indésirable que son simple lien avec Slafkovsky lui attire.
Nos pensées vont vers elle, parce qu’elle traverse malgré elle une tempête dont elle ne voulait pas faire partie. Pendant ce temps, Slafkovsky, lui, doit prendre une décision.
S’il veut éviter que sa carrière ne soit complètement éclipsée par ces histoires, il doit recentrer ses priorités.
Parce qu’à Montréal, les joueurs qui se laissent distraire par des controverses extra-sportives ne survivent pas longtemps.
Et s’il n’y prend pas garde, Slafkovsky risque de voir sa réputation se détériorer encore plus vite que ses performances sur la glace.
Slafkovsky croyait avoir trouvé la paix… mais Montréal est pire que la Slovaquie. Le Slovaque pensait enfin pouvoir respirer à Montréal.
Il croyait, naïvement, que l’attention médiatique au Québec ne serait rien comparée à ce qu’il vivait en Slovaquie.
Il l’a dit lui-même : « Hey, Montréal, c’est rien comparé à la Slovaquie! »
Mais aujourd’hui, il réalise que c’est pire que jamais. Là-bas, il était une icône nationale, un prodige que tout le pays voulait voir triompher.
Les attentes étaient élevées, mais elles étaient teintées de fierté, de soutien. À Montréal, c’est une toute autre dynamique.
Ici, il n’y a pas de place pour les états d’âme. Tu performes, ou tu es broyé par la machine. Et Slafkovsky est en train de goûter à la vraie pression montréalaise.
Déjà, gérer un début de carrière en dents de scie n’est pas simple. Mais être en amour avec une femme comme Angélie Bourgeois-Pelletier ajoute une autre couche de complexité.
Mannequin, barmaid (ou ex-barmaid) du Flyjin, femme convoitée par les hommes et scrutée par les médias. Ce n’est pas exactement la définition d’une relation discrète.
Slafkovsky, qui tente encore de s’adapter à la LNH, se retrouve avec un fardeau émotionnel supplémentaire. Il n’a pas juste à gérer les critiques sur son jeu,
Il doit aussi surveiller sa blonde, protéger son image, et affronter les jugements qui pleuvent de partout. La pression du contrat, la pression de la ville, la pression des fans, la pression des médias…
Et maintenant, la pression d’une relation qui attire encore plus d’attention.
Une conclusion brutale : Montréal n’épargne personne. Slafkovsky avait peut-être sous-estimé ce que signifie être un joueur du Canadien.
À ses débuts, il pensait que la Slovaquie était plus intense, plus invasive. Aujourd’hui, il se rend compte que Montréal est un véritable cirque médiatique, où chaque faux pas devient une controverse.
Il n’aura jamais la paix, tant qu’il ne livrera pas des performances dignes de son statut.
À Montréal, il n’y a pas de demi-mesure. Soit tu es un héros, soit tu es une cible. Et en ce moment, Slafkovsky est la cible parfaite.
La question est maintenant de savoir s’il a la carapace pour encaisser tout ça…
Ou s’il sera englouti par la machine médiatique montréalaise.