- Patrick Roy n'est pas MALHEUREUX...
- Mais à voir sa face...
- Il est en TABARN...
« Je suis content que les gens soient gentils de même à mon endroit et qu’ils souhaiteraient me voir là, a-t-il assuré jeudi matin, quelques heures avant le départ de ses Remparts vers Gatineau."
"En même temps, je ne suis pas un gars malheureux. Je dirige dans la LHJMQ, les Remparts de Québec, dans ma ville. J’ai la chance de travailler avec les jeunes et faire une différence dans leur vie. J’ai l’impression que je suis capable de les aider à atteindre leur objectif."
"Quand je regarde la feuille de route qu’on a depuis que les Remparts sont de retour dans la LHJMQ, on a une très belle brochette de joueurs qui ont évolué dans la LNH. Pour moi, c’est une belle passion. »
«De ce que j’ai lu ce matin, il a l’air d’une personne très passionnée et engagé à vouloir faire un bon travail. Je ne peux faire autre chose que lui souhaiter le meilleur succès possible.»
«De l’extérieur, tu peux arriver une journée et c’est facile de passer un message. Par contre, à tous les jours, de continuer à maintenir le message, motiver les troupes et arriver avec de nouvelles stratégies, c’est le défi."
"Tu n’as pas une semaine pour y réfléchir, tu dois être prêt le lendemain. Tu dois encaisser les victoires comme les défaites. C’est un côté que j’ai dû apprendre à gérer puisqu’il y a une fatigue mentale qui s’installe et tu dois aussi travailler avec chaque joueur, individuellement. Ça été une belle réalisation pour moi et je suis convaincu que ce sera la même chose pour lui (St-Louis).»