L’effondrement de l’espoir pour les habitants de Québec de voir un jour le retour des Nordiques devient de plus en plus évident à mesure que Pierre-Karl Péladeau, autrefois perçu comme le sauveur potentiel, investit dans tout… sauf dans le hockey.
Dernier coup de massue pour ces partisans désillusionnés : Péladeau vient d’annoncer qu’il devient actionnaire minoritaire de Moment Factory, un studio immersif québécois reconnu à l’échelle internationale pour ses créations artistiques avant-gardistes.
Un investissement de plus qui s’ajoute à la longue liste d’acquisitions et de projets qui semblent détourner l’attention de son engagement initial pour ramener le hockey à Québec.
L’acquisition des Alouettes de Montréal en 2023 avait déjà éveillé des doutes chez certains. En quoi investir dans une équipe de la Ligue canadienne de football pouvait-il rapprocher Québec de la LNH?
Pour les partisans des Nordiques, chaque nouveau projet de Péladeau fait écho à cette question douloureuse : où est l’argent pour le retour des Nordiques?
Ce nouvel investissement dans Moment Factory, une entreprise certes florissante et porteuse de prestige, n’a aucun lien direct avec le rêve du hockey, ce qui accentue le sentiment de trahison.
Certains se demandent maintenant si Julie Snyder, l’ex-épouse de Péladeau, n’avait pas vu juste dès le début. Depuis des années, des rumeurs courent sur le fait que le projet des Nordiques était davantage son initiative que celle de Péladeau.
Pendant leur mariage, Julie Snyder, passionnée de hockey, aurait poussé son ex-conjoint à envisager sérieusement le retour de l’équipe.
Les Nordiques, à ce moment-là, étaient présentés comme un projet ambitieux et emblématique pour le couple. La série Montréal-Québec, diffusée sur TVA en 2010 durant le lock-out de la LNH, avait d’ailleurs capté l’imaginaire collectif, symbolisant cette rivalité historique entre les deux villes et galvanisant les espoirs de voir renaître la flamme des Nordiques.
Le divorce a tout changé. Péladeau, autrefois motivé par l’énergie et l’enthousiasme de Snyder, semble avoir perdu tout intérêt pour le hockey à Québec.
Certains "insiders" murmurent même qu’il aurait confié à Gary Bettman, commissaire de la LNH, qu’il n’était plus vraiment intéressé par le retour des Nordiques, laissant Bettman jouer le rôle du « méchant » en refusant officiellement la candidature de Québec en 2015.
Aujourd’hui, la ville de Québec, autrefois pleine d’espoir, voit ces rêves s’effriter un peu plus chaque jour. Péladeau, plutôt que de se consacrer à ramener le hockey, se tourne vers des investissements lucratifs mais éloignés de la glace.
Son engagement avec Moment Factory est la goutte de trop pour de nombreux partisans. Pourquoi brûler autant d’argent dans des secteurs aussi variés alors qu’il avait promis de faire tout son possible pour le retour des Nordiques?
Québec a l’impression d’être laissée de côté, trahie par celui qu’elle voyait comme un héros.
Et maintenant, une question cruciale reste en suspens : est-ce que Julie Snyder, malgré tout, aurait la stature et l’influence pour relancer ce rêve?
Elle, qui a toujours eu une passion profonde pour le hockey, pourrait-elle devenir celle qui redonnerait espoir aux partisans des Nordiques?
Son ancien conjoint a manifestement d’autres priorités, et pour l’instant, Québec se demande si son dernier véritable champion n’était pas la productrice télé elle-même.
Les habitants de Québec, déjà déçus par l’indifférence de Péladeau, pourraient bien en venir à croire que leur rêve s’est envolé le jour où Julie Snyder a quitté sa place à ses côtés.
Au final, les Nordiques n’étaient-ils qu’un jouet dans les mains de Snyder, comme l’a toujours suggéré Jeff Fillion?
Depuis toujours, Julie Snyder s’est distinguée par sa passion ardente pour le hockey, et particulièrement pour le retour des Nordiques à Québec.
Bien avant que Pierre-Karl Péladeau ne s’implique dans ce projet, il semblerait que ce soit Julie qui ait nourri cette idée, portée par son amour pour la ville et son enthousiasme à faire renaître la flamme des Nordiques.
Son rôle central dans cette ambition n’a jamais été officiellement confirmé, mais plusieurs sources bien informées, dont Jeff Fillion, ont laissé entendre que c’était elle, et non Péladeau, qui avait réellement initié cette démarche.
La série télévisée Montréal-Québec, diffusée durant le lock-out de la LNH, avait renforcé l’engouement pour ce projet, particulièrement aux yeux de Julie.
Son investissement émotionnel était clair pour tous ceux qui la connaissaient, et son influence sur Péladeau dans ce domaine semblait indéniable.
Elle voyait dans cette série une opportunité de raviver la rivalité entre les deux villes, mais aussi de rallumer la flamme du hockey dans la région de Québec.
Pour Julie, ce n’était pas seulement un projet commercial, mais une quête personnelle, profondément ancrée dans sa passion pour le sport et la ville de Québec.
Cependant, lorsque le couple s’est séparé, toute cette dynamique a basculé. Le divorce a marqué un tournant, non seulement dans leur vie personnelle, mais aussi dans le futur des Nordiques.
Il est de plus en plus clair que Péladeau, sans l'influence de Julie, a perdu tout intérêt réel pour ce projet. Certains affirment même qu’il n’avait jamais été véritablement motivé à faire revenir les Nordiques, mais qu’il avait accepté de soutenir cette idée pour faire plaisir à Julie.
Le divorce a révélé une fracture bien plus profonde dans leur partenariat professionnel et personnel. Lors de la séparation, de nombreux détails sur leurs désaccords ont émergé publiquement, exacerbant les tensions. Les rumeurs selon lesquelles Péladeau avait engagé une firme pour surveiller Julie, ainsi que les procès liés à des questions financières, ont souligné à quel point la relation s’était dégradée.
Ces révélations ont amplifié les conflits et ont détourné Péladeau de tout ce qui concernait de près ou de loin le retour des Nordiques.
Julie, de son côté, a dû naviguer dans ces eaux troubles, tout en continuant à porter le flambeau du hockey dans son cœur.
L'idée que Péladeau n’avait jamais vraiment voulu ramener les Nordiques, mais l’avait fait pour elle, a été répétée à maintes reprises.
Jeff Fillion, en particulier, a affirmé que Régis Labeaume lui-même avait révélé que ce projet était essentiellement "la bébelle de Julie". C’était une initiative qui, sans elle, n’aurait jamais vu le jour.
Aujourd’hui, avec les multiples investissements de Péladeau dans des secteurs aussi divers que les Alouettes ou Moment Factory, il est évident que le retour des Nordiques n’est plus une priorité pour lui.
La tension qui persiste entre les deux ex-conjoints semble avoir enterré définitivement le projet, d’autant plus que Péladeau se concentre désormais sur d’autres horizons.
Pour les partisans des Nordiques, c’est un coup dur, car la ville de Québec perd non seulement son espoir de voir revenir son équipe, mais aussi une vision qui avait été initialement portée par Julie Snyder.
Le divorce a donc eu un impact considérable sur la faisabilité du retour des Nordiques, transformant ce rêve en une bataille d’égo et de conflits personnels.
Le rêve des Nordiques, qui avait autrefois été au centre de leur relation, semble désormais enterré sous les décombres de leur divorce.
Une saga à suivre, certes, mais avec beaucoup moins d'espoir qu'autrefois.
Les Nordiques ont coulé le joueur de leur divorce....