Martin St-Louis pourrait tirer une précieuse leçon de l'approche innovante de Mikel Arteta, l'entraîneur de Arsenal, le prestigieux club de soccer anglais.
Lors d'un dîner avec ses joueurs, Arteta a secrètement engagé une équipe de "pickpockets" professionnels pour subtiliser les portefeuilles et téléphones des membres de l'équipe, sans qu'ils s'en aperçoivent.
À la fin du repas, il leur a demandé de vider leurs poches, révélant ainsi que plusieurs d'entre eux avaient perdu des objets de valeur.
Cette expérience avait pour but d'enseigner à ses joueurs l'importance d'être prêts, alertes et préparés à tout moment.
Cette forme de pensée novatrice est typique d'Arteta, qui voit chaque situation comme une opportunité d'apprentissage et de développement. De quoi inspirer St-Louis qui adore penser en-dehors de la boîte.
Sous sa direction, Arsenal est devenu une équipe moderne, qui a comme priorité de jouer du beau soccer permettant d'éblouir les fans.
Il a réussi à construire une identité selon sa mentalité, et un club façonné par son esprit compétitif et artistique: Arteta veut jouer du beau soccer et gagner.
Son obsession pour l'amélioration a été contagieuse, créant une mentalité de progression constante au sein de toute l'organisation qui a fait des pas de géant depuis son arrivée.
Martin St-Louis, avec sa propre vision du hockey, pourrait s'inspirer de cette méthode pour inculquer à ses joueurs une vigilance et une préparation constantes, non seulement sur la glace, mais dans tous les aspects de leur vie professionnelle.
En empruntant à Arteta cette idée audacieuse, St-Louis pourrait améliorer l'engagement de ses joueurs à toujours être sur le qui-vive, une qualité essentielle pour réussir dans un sport où la moindre erreur peut coûter cher.
Comme Arteta, St-Louis a le potentiel de transformer l'état d'esprit de son équipe, en faisant de chaque instant une occasion d'apprentissage.
En volant symboliquement les portefeuilles et les téléphones de ses joueurs lors d'un premier repas d'équipe, il pourrait non seulement surprendre ses joueurs, mais aussi leur inculquer une leçon précieuse : dans le monde sans pitié de la LNH, il faut toujours être prêt, à tout moment et en toutes circonstances.
Pour Martin St-Louis, qui partage le même esprit de compétition et une passion pour le jeu, cette méthode pourrait être une source d'inspiration.
St-Louis, tout au long de sa carrière, a été un joueur qui défiait les attentes. Non repêché, il a gravi les échelons pour devenir l'un des meilleurs joueurs de sa génération, remportant un trophée Hart, deux Art Ross, et aidant le Lightning de Tampa Bay à remporter la Coupe Stanley en 2004.
Cette détermination acharnée et cette résilience sont des qualités qu'il cherche à inculquer à ses joueurs aujourd'hui.
En tant qu'entraîneur, St-Louis pourrait adapter l'approche d'Arteta pour enseigner à ses joueurs l'importance de la vigilance et de la préparation constante, non seulement sur la glace, mais dans tous les aspects de leur vie professionnelle.
Imaginons un scénario où, lors d'un premier repas d'équipe, St-Louis décide de surprendre ses joueurs en utilisant une tactique similaire à celle d’Arteta : voler symboliquement leurs portefeuilles et leurs téléphones.
Cet exercice, bien que surprenant, enverrait un message clair : dans le monde du hockey, la moindre distraction peut coûter cher. Il est impératif d'être toujours sur le qui-vive, prêt à réagir à n'importe quelle situation. Et vaut mieux être sobre, n'est-ce pas Cole Caufield?
Comme Arteta, St-Louis a le potentiel de transformer l'état d'esprit de son équipe en faisant de chaque instant une occasion d'apprentissage.
Il est temps de créer une culture d'excellence et de responsabilisation au sein du vestiaire des Canadiens, surtout après les frasques nocturnes de Caufield, Dvorak et compagnie.
Dans une ligue où la marge entre la victoire et la défaite est mince, cette vigilance pourrait faire toute la différence, surtout dans un processus de reconstruction.
L'idée d'adopter des méthodes aussi innovantes pourrait également aider à surmonter les défis actuels, notamment le remplacement d'Alex Burrows.
Alors que le poste d'entraîneur adjoint en charge de l'avantage numérique reste vacant, il est essentiel que St-Louis trouve des moyens de maximiser les ressources internes.
En intégrant des leçons tirées de l'approche d'Arteta, St-Louis pourrait insuffler une nouvelle dynamique à l'équipe, en mettant l'accent sur la préparation mentale et la capacité à s'adapter rapidement aux situations imprévues.
On paierait cher pour voir le visage d'Arber Xhekaj qui réalise qu'il s'est fait voler son portefeuille. Si on est le "pickpocket" engagé par St-Louis, disons qu'on fait attention quand vient le temps de fouiller dans la poche du défenseur "goon".
Ça pourrait mal se terminer...