RDS ne pardonnera jamais à Valérie Plante pour l'énorme fiasco causé par l'inondation du 16 août dernier, une catastrophe qui a littéralement submergé leur siège social au centre-ville de Montréal.
Les conséquences sont désastreuses : des centaines de milliers de dollars envolés en raison des émissions annulées, des publicités non diffusées, et surtout, les coûts faramineux pour la construction de nouveaux studios à L’Île-des-Sœurs.
La frustration chez Bell Média gronde, d’autant plus que la situation ne semble pas près de s’améliorer.
L’éclatement d’une conduite d’eau sous le pont Jacques-Cartier a provoqué un véritable désastre dans l’arrondissement de Ville-Marie, rendant les installations de Bell Média inutilisables pour une période indéterminée.
Face à l’ampleur des dégâts, Bell Média a dû réagir en urgence. Trois nouveaux studios sont actuellement en chantier à L’Île-des-Sœurs pour RDS et Noovo, ajoutés aux quatre plateaux déjà bâtis dans l’urgence le week-end suivant l’inondation.
Malgré les efforts colossaux déployés pour rétablir une programmation normale, le coup est rude.
Les critiques envers Valérie Plante se multiplient. Les dirigeants de Bell Média ne décolèrent pas face à l’absence de réaction rapide de la part de la mairesse de Montréal.
Alors que l’eau envahissait les sous-sols du siège social, causant des dommages matériels majeurs, Valérie Plante semblait plus préoccupée par ses apparitions publiques que par la gestion de la crise.
Ce manque de leadership a laissé un goût amer non seulement chez les habitants de Montréal, mais aussi chez les entreprises gravement touchées par cet incident.
Bell Média, avec ses chaînes comme RDS et Noovo, a subi des pertes financières considérables. Les studios, les régies, et les équipements essentiels ont été gravement endommagés, forçant l’entreprise à déménager ses activités à L’Île-des-Sœurs, sans perspective de retour immédiat au 1755, boulevard René-Lévesque Est.
Pendant ce temps, les critiques envers la gestion municipale montent, et la patience des citoyens et des entreprises s’amenuise.
La catastrophe du bris d’aqueduc représente bien plus qu’un simple incident matériel. Elle souligne l’importance d’une gestion proactive et d’une présence réactive des autorités municipales lors de crises majeures.
RDS et Bell Média, quant à eux, devront redoubler d’efforts pour surmonter cette crise sans précédent, en rétablissant non seulement leurs infrastructures, mais aussi la confiance de leurs téléspectateurs et annonceurs.
Une chose est certaine, la relation entre RDS et la mairesse Valérie Plante est désormais entachée d’une méfiance qui risque de durer longtemps.
L’inondation du 16 août a été un véritable cauchemar logistique pour Bell Média et RDS. En seulement deux heures, l’eau a submergé le sous-sol du siège social de Bell Média, atteignant une hauteur de 20 pieds, et causant des dommages matériels considérables.
Le garage intérieur, où étaient stationnés plusieurs véhicules de production, a été complètement inondé, tout comme les serveurs et le système électrique de l’immeuble, paralysant ainsi les opérations.
Deux génératrices, essentielles pour alimenter un bâtiment de cette envergure, étaient également entreposées dans le sous-sol.
Ces génératrices, de la taille d’un autobus scolaire, n’ont malheureusement pas pu être sauvées. Leur emplacement, imposé par les contraintes logistiques, s’est avéré être une décision fatale dans le contexte de cette catastrophe.
Le signal de diffusion des chaînes de Bell Média a été coupé dès 7h40, perturbant la programmation habituelle de Noovo, RDS, Canal Vie, et CTV Montreal. Ce n’est qu’à 9h, après des efforts herculéens, que Bell Média a pu rétablir un signal en utilisant des infrastructures de Toronto.
Cependant, les dommages étaient tels que seules des programmations de contingence ont pu être diffusées pendant une grande partie de la journée, un coup dur pour les annonceurs qui avaient réservé des créneaux publicitaires.
Face à l’ampleur de la catastrophe, Bell Média a pris la décision radicale de déménager temporairement ses opérations au Campus Bell, à Verdun.
Durant tout le week-end suivant l’inondation, les équipes de Bell ont travaillé sans relâche pour construire quatre nouveaux plateaux de tournage, trois régies, et trois nouvelles salles de nouvelles à L’Île-des-Sœurs.
Ce déploiement logistique, réalisé en un temps record, a permis à Noovo de reprendre sa programmation normale dès lundi 16h, tandis que les autres chaînes spécialisées ont suivi le mouvement le mercredi.
Malgré ces efforts, la perspective d’un retour au siège social du 1755, boulevard René-Lévesque Est, reste lointaine.
De nombreux travaux sont encore nécessaires pour assécher et sécuriser les installations, et il faudra encore du temps avant que l’édifice puisse de nouveau accueillir les équipes de Bell Média.
Pendant ce temps, les studios temporaires à L’Île-des-Sœurs continueront de fonctionner, permettant à Bell de maintenir ses opérations malgré les défis imposés par la situation.
Cette crise a mis en lumière la vulnérabilité des infrastructures de Bell Média face à des catastrophes inattendues...et surtout face à l'incompétente de Valérie Plante.
Le choix d’entreposer des équipements cruciaux dans un sous-sol, bien que justifié par des contraintes physiques, a eu des conséquences désastreuses.
La gestion de cette crise par les autorités municipales, notamment l’absence de mesures préventives et de soutien immédiat, a exacerbé les tensions entre Bell Média et la Ville de Montréal.
Les répercussions financières sont également énormes. Bell Média doit non seulement faire face aux coûts de reconstruction et de réparation, mais aussi à la nécessité de compenser les annonceurs pour les publicités non diffusées.
De plus, l’annulation et le report de plusieurs émissions ont eu un impact direct sur les audiences et les revenus de la chaîne.
Cette situation met également en lumière les défis auxquels Bell Média doit faire face pour maintenir sa programmation malgré des circonstances exceptionnelles.
La résilience et l’ingéniosité dont ont fait preuve les équipes de Bell dans la gestion de cette crise sont indéniables, mais les conséquences à long terme sur l’entreprise restent à déterminer.
Les coûts humains, logistiques, et financiers de cette catastrophe continueront de se faire sentir bien après que les eaux se soient retirées.
Valérie Plante...c'est de votre faute à cent pour cent...