Samuel Montembeault et son amoureuse, Daryanne Ayotte, n’auraient jamais imaginé se retrouver au cœur des rumeurs de transactions en ce début de septembre, surtout alors qu’ils viennent de se fiancer.
Les nouvelles du monde du hockey ont rapidement troublé la tranquillité du couple.
Malgré le fait que ces rumeurs ne les concernent pas directement, Montembeault se retrouve au centre des discussions sur l’avenir des gardiens de but du Canadien.
Éric Fichaud, ancien gardien et analyste à TVA Sports, n’a pas hésité à exprimer son opinion sur le dossier, suggérant que le CH pourrait avoir besoin d’un vétéran pour épauler Montembeault cette saison, même si ce dernier est devenu le gardien numéro un incontesté.
« Je pense que tu devrais avoir un gars beaucoup plus vieux pour épauler Samuel, si Samuel est ton homme de confiance. »
"Je suis convaincu que Primeau ne finit pas l'année à Montréal"
De son côté, Anthony Marcotte de BPM Sports soutient que Cayden Primeau a le potentiel pour devenir numéro un à Montréal, alimentant davantage les spéculations sur une possible compétition pour le poste de gardien titulaire.
Marcotte affirme même que Primeau a beaucoup plus de potentiel que Montembeault et qu'il ne serait pas étonné qu'au final, les deux gardiens jouent autant de matchs.
Et puis, il y a Pierre LeBrun, qui a révélé que le Canadien avait tenté d’acquérir Yaroslav Askarov, le prodige des Predators de Nashville, ce qui jette un doute sur la confiance de la direction envers Montembeault.
Ces discussions n’ont fait que s’intensifier lorsque Dany Dubé, analyste sur les ondes de 98,5 FM, a évoqué la possibilité d’une transaction qui est passé à deux doigts de survenir pour Askarov.
Ces rumeurs ont sans doute jeté une ombre sur la nouvelle des fiançailles de Samuel et Daryanne. Pourtant, malgré les spéculations, le couple reste soudé et cherche à se concentrer sur les moments de bonheur partagés, même si les murmures persistants du monde du hockey sont difficiles à ignorer.
L’avenir de Montembeault à Montréal reste incertain, malgré ses efforts remarquables la saison dernière. Alors que certains analystes, comme Éric Fichaud, plaident pour l'ajout d'un vétéran pour le soutenir, d’autres, comme Anthony Marcotte, voient en Primeau un successeur potentiel plus talentueux.
Ce qui est clair, c’est que les rumeurs d’une acquisition d’un autre gardien, comme Askarov, ou d’une transaction impliquant Montembeault, mettent ce dernier dans une situation inconfortable.
Mais pour l’instant, les rumeurs continuent de planer et Samuel Montembeault sait que la réalité du hockey l’attend au tournant.
Malgré cela, il tente, avec Daryanne, de savourer ces derniers instants avant d'entamer le vrai camp demain, en espérant que ces spéculations ne deviendront pas réalité.
Une chose est sûre, Montembeault devra continuer à prouver qu’il mérite son rôle de numéro un, surtout dans un environnement où chaque décision peut rapidement changer le cours d’une carrière.
Sans oublier que Jacob Fowler est vu comme le gardien qui va remporter la Coupe Stanley à Montréal.
Montembeault, fort de son professionnalisme et de sa résilience, saura naviguer à travers ces eaux troubles, que ce soit sur la glace ou en dehors.
Dans tous les cas, il respire la confiance.
« On n'a pas parlé du plan au niveau des gardiens encore. Si on regarde le calendrier, il y a beaucoup de matchs consécutifs et beaucoup de voyagement. Je vais être prêt quand on va faire appel à moi. Oui on m'a dit que j'étais le partant, mais je ne prends rien pour acquis. »
« Ce serait tout un honneur de participer à la Coupe des quatre nations. Surtout que l'équipe qui va aller à ce tournoi va probablement être la même équipe qui va jouer aux Jeux olympiques l'année d'après. »
Imaginez le paradoxe. Le médias ne le voient même pas comme un vrai numéro un à Montréal. Et Sam, lui, pense aux Jeux olympiques avec le Canada.
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