Louis Morissette, connu pour ses critiques acerbes à l’égard du Canadien de Montréal, a frappé un nouveau coup médiatique en s’attaquant une fois de plus à Nick Suzuki, le capitaine du Tricolore.
Cette fois, lors de son balado La Poire et le Fromage, l’humoriste-producteur a carrément suggéré qu’on arrache le "C" du chandail de Suzuki pour le donner à Kaiden Guhle, qu’il estime plus apte à incarner le leadership dont le CH a cruellement besoin.
Comme si la suggestion d’arracher le "C" du chandail de Nick Suzuki ne suffisait pas, Louis Morissette a continué sur sa lancée en déclarant qu’il trouverait ça drôle qu’on le fasse réellement.
Cet extrait vidéo n'a pas fini de faire jaser:
Une déclaration qui, sans surprise, a fait exploser la colère des partisans sur les réseaux sociaux. Cette attitude, perçue comme moqueuse et irrespectueuse, a amplifié une frustration déjà granidssante envers les propos récents de Morissette.
Les fans ont dénoncé l’insensibilité de cette remarque, soulignant qu’elle ne relève plus de la critique constructive, mais bien d’une provocation gratuite.
Pour beaucoup, ce commentaire révèle un mépris apparent pour Suzuki, qui, malgré ses faiblesses, a toujours fait preuve de professionnalisme et de dévouement envers son équipe.
Certains commentaires résument bien l’état d’esprit général :
« Morissette dépasse les bornes. Critiquer, c’est une chose, mais vouloir humilier Suzuki et dénigrer Hutson, c’est inacceptable. »
« Il ne s’agit plus de donner son opinion, il s’agit de détruire. Et ça, les partisans ne le toléreront pas. »
Si une minorité défend le droit de Morissette à exprimer ses opinions, la majorité voit ses propos comme une provocation gratuite qui alimente inutilement les tensions autour de l’équipe.
Les critiques de Louis Morissette envers Nick Suzuki ne datent pas d’hier. Depuis des semaines, il multiplie les commentaires dévalorisants, remettant en question son talent, son leadership et même sa légitimité comme premier centre.
Voici un rappel de ses propos les plus marquants :
« Après 312 matchs, Nick Suzuki a un point de plus que Maurice Richard. Là, on est en train de nous dire que Suzuki et Maurice vont dans la même phrase. Ça, ça me rend dingue. »
Une comparaison qu’il juge absurde, soulignant que les partisans surévaluent Suzuki et le placent sur un piédestal qu’il ne mérite pas.
« Nick Suzuki n’est pas un premier centre. Si le Canadien veut gagner un jour, il devra trouver un 1A. Suzuki peut être un bon 1B ou un deuxième centre, mais il n’est pas l’homme de la situation. »
Selon Morissette, Suzuki, c’est le pire capitaine de la LNH. Il n’a pas l’étoffe d’un leader. Il est invisible dans les moments cruciaux et ne dégage pas cette aura de capitaine qui pousse une équipe à se surpasser.
Ces propos, déjà très controversés, ont souvent valu à Morissette une avalanche de critiques sur les réseaux sociaux. Mais cette fois, en réclamant que Suzuki perde son rôle de capitaine, il a franchi une ligne que beaucoup jugent inacceptable.
Selon Morissette, Kaiden Guhle, défenseur de 21 ans, possède toutes les qualités pour devenir le nouveau visage du leadership au sein du Canadien.
Morisette n'a pas tort. Mais c'est dans la manière de dire qu'il faut arracher le C à Suzuki qui a vraiment frustré les gens.
Selon l'humoriste-acteur-producteur, Guhle, c’est un gars qui joue avec intensité, qui montre l’exemple sur la glace et qui a le respect de ses coéquipiers. Il a cette maturité naturelle qu’on ne voit pas chez Suzuki.
Morissette a également laissé entendre que l’équipe aurait besoin d’un capitaine capable d’inspirer...capable de parler dans la chambre...
Kaiden Guhle représente l’avenir. Il joue avec son cœur et n’a pas peur des responsabilités. Mais de là à donner le "C" de Suzuki à Guhle dès demain matin, disons que c'est vraiment une chose agressive à dire.
Les propos de Morissette ont déclenché une véritable tempête sur les réseaux sociaux. De nombreux partisans du Canadien se sont insurgés contre cette attaque frontale, qualifiant ses commentaires de destructeurs et irrespectueux envers le capitaine.
Certains fans ont accusé Morissette de chercher à attirer l’attention en jouant la carte du « baveux professionnel ». D’autres ont souligné que ses critiques constantes envers Suzuki sont injustes pour un joueur encore jeune et en pleine progression.
Suzuki n’est peut-être pas le capitaine idéal pour le Tricolore. Guhle pourrait effectivement incarner un leadership plus robuste et intense.
Mais de là à trouver drôle le fait d'arracher le CH à Suzuki...il y a une limite à ne pas franchir...
Avec cette nouvelle sortie, Louis Morissette semble s’installer définitivement comme l’un des critiques les plus polarisants de l’univers médiatique montréalais.
Si certains applaudissent son franc-parler, d’autres dénoncent une démarche sensationnaliste et cinglante...voire méchante...
En s’attaquant à Nick Suzuki, un capitaine respecté par ses coéquipiers et soutenu par l’organisation, Morissette prend un risque énorme.
Il ne s’agit plus simplement de critiquer un joueur, mais de remettre en question le choix stratégique d’un symbole de l’équipe.
À force de multiplier les attaques contre Suzuki et Lane Hutson, Morissette s’est imposé comme l’un des plus grands détracteurs du Tricolore.
Oui, comme à son habitude, il ne s’est pas contenté de s’en prendre à Suzuki. Il a également ajouté une couche à ses critiques contre Lane Hutson, que l’humoriste semble avoir pris en grippe depuis plusieurs semaines.
Encore une fois, c’est le tir de Hutson qui a été la cible de ses commentaires acides, alors que Morissette affirme qu'il est ridicule d'avoir un défenseur avec un tir de "Bantam A" sur l'avantage numérique.
Morissette a aussi réitéré ses propos antérieurs sur le physique de Hutson, affirmant qu’il n’a pas les outils nécessaires pour évoluer sur une première paire en NHL.
Ces remarques, combinées à ses précédentes attaques contre Hutson, ont intensifié les débats sur les réseaux sociaux.
Les partisans, déjà irrités par les critiques incessantes sur Suzuki, ont vivement défendu Hutson, qualifiant Morissette de « détracteur professionnel » incapable de reconnaître le talent et le potentiel des jeunes joueurs.
Mais cette stratégie a ses limites. Si elle lui permet de faire parler de lui, elle risque également de l’isoler d’une base de fans passionnés et fidèles qui ne tolèrent pas qu’on salisse l’image de leurs joueurs préférés.
En déclarant vouloir retirer le "C" de Nick Suzuki au profit de Kaiden Guhle, Louis Morissette a peut-être voulu provoquer, mais il a surtout rappelé que, pour lui, le Canadien de Montréal reste une cible facile pour ses critiques acerbes.
La question est maintenant de savoir jusqu’où il ira pour faire réagir… et jusqu’à quel point les partisans du CH continueront de tolérer ses sorties fracassantes.
Ces sorties répétées posent une question fondamentale : Morissette cherche-t-il à provoquer un débat ou simplement à attirer l’attention sur lui-même ?
Poser la question, c'est y répondre.