L'histoire est marquée...à vie..
Vendredi soir, au Little Caesars Arena de Detroit, Patrik Laine a encore fait parler de lui, inscrivant le but vainqueur en avantage numérique pour sceller une victoire de 4-3 des Canadiens contre les Red Wings.
Avec ce septième but en huit matchs, Laine continue d’éblouir les partisans montréalais, tandis que Don Waddell, directeur général des Blue Jackets de Columbus, voit son erreur monumentale devenir de plus en plus évidente.
La transaction qui a envoyé Patrik Laine et un choix de 2e ronde à Montréal en retour de Jordan Harris est maintenant considérée comme l’une des pires de l’histoire de la LNH.
Et nous la considérons aujourd'hui...comme la pire...
Waddell, dans sa quête désespérée de se libérer du contrat de Laine, a offert un des meilleurs tireurs d’élite de la ligue pour un défenseur qui peine à justifier sa place dans l’alignement des Blue Jackets.
Pendant que Laine enflamme le jeu de puissance du Canadien, Harris reste confiné à la 3e paire et bientôt les gradins.
Waddell, ridiculisé par les partisans et les analystes, semble incapable de justifier cet échange autrement que par des excuses boiteuses sur la gestion du plafond salarial.
Depuis son arrivée à Montréal, Laine est tout simplement spectaculaire. Son lancer sur réception dévastateur, qui a fracassé le bâton de Moritz Seider avant de battre Cam Talbot, est l’exemple parfait de l’impact qu’il peut avoir sur un match.
En seulement huit rencontres, le Finlandais a prouvé qu’il est non seulement un marqueur d’élite, mais aussi une pièce maîtresse pour une équipe du Canadien en reconstruction.
Chaque match de Laine est un rappel cruel pour Columbus de ce qu’ils ont perdu. Et chaque but qu’il marque fait grimper la colère des partisans des Blue Jackets, qui ne digèrent toujours pas cet échange.
L’impact de Laine ne se limite pas à ses buts. Il a revitalisé un jeu de puissance montréalais qui en avait bien besoin. Grâce à sa présence sur la glace, le Tricolore est maintenant une menace constante avec l’avantage numérique.
Ajoutez à cela la solidité défensive d’un autre nouveau venu, Alexandre Carrier, et l’échange de Laine devient encore plus désastreux pour Columbus.
Carrier, acquis dans une transaction impliquant Justin Barron, a brillé lors de son premier match avec Montréal.
Avec un différentiel de +1 et près de 19 minutes de temps de glace, il a prouvé qu’il était prêt à assumer un rôle important au sein de la défense du Canadien.
Pour les partisans de Columbus, la colère est dirigée vers une seule personne : Don Waddell. Les forums de discussion et les réseaux sociaux regorgent de commentaires cinglants à son égard :
« Échanger Laine pour un défenseur de profondeur et perdre un choix de 2e ronde? Inexcusable. »
« Si Waddell n’est pas congédié après ça, c’est qu’il y a un problème dans cette organisation. »
« Chaque but de Laine est une gifle de plus pour nous, les partisans. »
Waddell, conscient de l’erreur gigantesque qu’il a commise, semble tenter de détourner l’attention en blâmant Harris pour son incapacité à s’imposer.
Mais cette stratégie ne fonctionne pas. Les partisans voient clair dans son jeu, et les appels pour son congédiement se multiplient.
L’échange de Patrik Laine à Montréal est déjà gravé dans l’histoire comme l’une des pires décisions jamais prises par un directeur général.
Pendant que Laine propulse les Canadiens à des victoires spectaculaires, Columbus s’enfonce dans la frustration et l’humiliation.
Don Waddell, en sacrifiant Laine pour Jordan Harris, a non seulement affaibli son équipe, mais il a aussi terni sa propre réputation.
Pour les Blue Jackets, cet échange est une erreur qui continuera de hanter l’organisation pour des années. Et pour Montréal, c’est une bénédiction qui pourrait transformer leur reconstruction en succès rapide.
Dans ce drame à Columbus et ce paradis à Montréal, une chose est claire : Patrik Laine brille, et Don Waddell sombre.
Pendant que Patrik Laine enflamme Montréal avec des performances spectaculaires, Jordan Harris est devenu la cible des médias et des partisans des Blue Jackets de Columbus.
Le jeune défenseur, déjà en difficulté sur la glace, subit un torrent de critiques qui dépasse largement ses performances individuelles. Mais au final, est-ce vraiment sa faute?
Depuis son arrivée à Columbus, Harris est enfoncé comme jamais par les journalistes locaux. Chaque article, chaque analyse semble insister sur son incapacité à s’imposer dans l’alignement :
« Harris n’est pas offensif, pas défensif, et encore moins physique. Il est invisible. »
« Ce défenseur n’a aucune identité sur la glace. Il est tout simplement dépassé. »
Ces commentaires cinglants, souvent exagérés, placent Harris dans une position horrible.
Le jeune joueur, qui tente simplement de trouver sa place dans une nouvelle organisation, se voit attribuer la responsabilité d’un échange qu’il n’a jamais demandé.
Les partisans des Blue Jackets ne sont pas plus tendres. Déçus par l’échange de Laine, ils reportent leur colère sur Harris, devenu le symbole de ce qu’ils considèrent comme une des pires décisions de l’histoire de leur équipe.
Sur les forums et les réseaux sociaux, les messages sont brutaux :
« Harris n’a rien à faire dans la LNH. Pourquoi avons-nous échangé Laine pour lui? »
« C’est embarrassant. Laine marque à Montréal pendant que Harris regarde les matchs des gradins. »
« Ce gars-là est une blague. Donnez-moi un défenseur junior, ce serait pareil. »
Ces critiques, bien qu’alimentées par la frustration des fans, sont incroyablement injustes envers Harris. Il est clair que le problème dépasse de loin ses performances individuelles.
Au final, Jordan Harris est plus victime que coupable. Il n’a jamais demandé à être au centre d’une transaction aussi controversée, et encore moins à être échangé contre un joueur de la trempe de Patrik Laine.
Les attentes placées sur lui étaient démesurées dès le départ.
De plus, l’environnement à Columbus n’a rien pour aider un jeune joueur en transition. Loin de le soutenir, les dirigeants de l’équipe, à commencer par Don Waddell, l’ont placé dans une position impossible.
Non seulement Waddell ne l’a pas défendu publiquement, mais il a aussi amplifié les attentes en affirmant que Harris devait immédiatement prouver sa valeur.
Le vrai coupable dans cette affaire, c’est Don Waddell. En échangeant Laine pour des raisons strictement financières, il a condamné Harris à porter le poids d’une transaction catastrophique.
Harris, de son côté, n’a fait que jouer son rôle : celui d’un défenseur prometteur mais encore en développement, qui ne peut pas compenser à lui seul la perte d’un marqueur de 50 buts.
Pauvre Jordan Harris. Critiqué sans relâche dans les médias, pris pour cible par les fans et abandonné par son propre directeur général, il est devenu un bouc émissaire dans une situation qui le dépasse complètement.
Ce jeune défenseur, pourtant intelligent et travaillant, est victime d’une organisation qui cherche désespérément à détourner l’attention de ses propres erreurs.
Alors que Patrik Laine continue de briller à Montréal, Harris se bat non seulement pour sa place sur la glace, mais aussi pour sa dignité.
Mais soyons clairs : au final, ce n’est pas sa faute. Harris est le dommage collatéral d’une transaction qui n’aurait jamais dû arriver.
Et à Columbus, personne ne semble prêt à le reconnaître. Ils préfèrent envoyer Harris sous l'autobus.
Triste...