Tremblement pour Isabelle Desjardins: l’avocat de David Desharnais intervient

Tremblement pour Isabelle Desjardins: l’avocat de David Desharnais intervient

Par David Garel le 2025-08-10

Le Québec entier avait encore les yeux rivés sur ses écrans lorsque, soudain, tout a disparu.

Les stories incendiaires d’Isabelle Desjardins, où elle accusait frontalement David Desharnais d’infidélité, de manipulation psychologique et de maltraitance émotionnelle, se sont volatilisées de son compte Instagram.

Plus de vidéo, plus de texte. Silence total. Mais il est déjà trop tard : les propos les plus explosifs de l’année sont entre nos mains, captés et enregistrés avant qu’ils ne soient effacés.

Cette vidéo est gravée à vie: 

Et à en juger par la gravité des accusations et la vitesse avec laquelle elles ont été supprimées, il ne faut pas être devin pour comprendre qu’une intervention légale s’est probablement produite.

Avec deux jeunes enfants au cœur de cette guerre médiatique, le clan Desharnais n’avait pas le luxe de laisser cette bombe continuer à exploser sur les réseaux sociaux.

Avant leur disparition, voici ce qu’Isabelle Desjardins avait écrit, mot pour mot :

 « Il m'a volé mon choix, de rester ou de partir, car ce n'est même pas lui qui me l'a avoué. J'ai reçu un mystérieux message. J'ai essayé de tout recoller en lui donnant un autre enfant.

J'étais éteinte, morte, vivante. Il m'a fait payer cher de partir. Il n'a pas tenu sa parole sur rien, puisque je ne suis pas mariée, c'est lui qui a décidé du reste.

Le cœur et ma vie en miettes depuis huit ans. Apprendre qu'il est en couple. Les prochains jours seront aussi brûlants que l'intérieur de mon âme. Vous pouvez dire que c'est privé, non.

Nous nous sommes connus alors des secrets comme ça. Ça doit sortir, sinon passez pour la méchante mère qui l'a quitté. Je ne laisserai plus faire.

Infidèle et narcissique David, si vous voulez savoir une seule seconde les blessures psychologiques, les phrases, les mots, les regards, je suis morte en 2018 et plus jamais je ne pourrai retrouver ma paix.

J'y travaille, à suivre, que Dieu me guide et me donne de la force. Tu n'as jamais appris à me connaître, tu n'aimais pas ma maman, tu n'as jamais aimé mes amis, tu as fait de la projection et tu avais peur que je me venge.

Ça fait des années que tu me laisses pleurer en me regardant sans même me réconforter. Je t'ai dit qu'un matin je n'allais pas ouvrir mes yeux, que mon cœur trop triste allait arrêter de brûler.

Mais ce n'est pas ce qui s'est passé, j'ai encore trouvé une dose de courage. La pire épreuve de ma vie, quitter ma maison, ne plus voir mes enfants, ma seule chose qui compte en ce monde et encore à ce jour tu me maltraites. J'ai pas fini. »

Isabelle Desjardins n'a pas pensé à ses deux jeunes garçons dans tout ça. La gravité des accusations est tellement intense. Elle y parle de trahison, de destruction psychologique et même de pensées suicidaires.

En parallèle, Isabelle avait publié une vidéo, dans le noir, où elle parlait avec une voix qui fait peur tellement elle semble en panique.

Son discours était décousu, émotionnel, presque à bout de souffle. Beaucoup y ont vu une détresse profonde, renforcée par l’annonce publique de la relation entre David Desharnais et sa nouvelle compagne, Andrée-Anne Veilleux, information relayée quelques jours plus tôt par Hockey30.

Cette vidéo, comme les textes, a été supprimée. Mais elle n’a pas disparu pour tout le monde : des captures et enregistrements circulent déjà. Et chaque fois qu’elles sont partagées, la tension monte d’un cran.

Il ne faut pas chercher loin pour deviner ce qui s’est passé. Les propos d’Isabelle sont extrêmement lourds sur le plan légal.

Accuser quelqu’un d’infidélité, de maltraitance et de manipulation publique ouvre la porte à des poursuites pour diffamation, surtout lorsqu’il y a deux enfants mineurs en jeu.

Le timing du retrait est trop parfait pour être une simple décision personnelle. On imagine sans peine le téléphone sonner chez Isabelle, avec l'avocat de Desharnais au bout du fil.

Message : supprimer immédiatement ou se faire poursuivre.

Pourquoi c’est déjà trop tard pour éteindre l’incendie?

Même effacées, ces stories ont déjà fait leur chemin. Dans l’ère numérique, rien ne disparaît vraiment. Les vidéos enregistrées tournent en privé, se partagent discrètement dans les groupes, s’archivent dans les téléphones.

Le public n’oubliera pas. Et plus on tente d’effacer, plus on attise la curiosité collective.

Depuis le début de cette guerre, David Desharnais n’a jamais publiquement commenté la séparation, ni répondu aux attaques.

Son silence, déjà interprété comme une manœuvre stratégique, devient maintenant un rempart juridique. Le retrait des stories pourrait être le signe que la bataille ne se joue plus seulement dans l’espace médiatique, mais aussi dans les coulisses judiciaires.

Isabelle a conclu son message en écrivant « J’ai pas fini ». Et même si ses stories ont disparu, cette phrase résonne comme une promesse, ou une menace, selon de quel côté on se place.

Elle a déjà parlé d’écrire un livre. Elle a déjà semé le doute avec des phrases calculées. Aujourd’hui, elle a franchi la ligne en nommant, accusant et décrivant des années de souffrance. Qu’elle ait été forcée au silence ne change rien : le mal est fait.

En l’espace de quelques heures, cette histoire est passée du statut de rumeur amoureuse à celui de crise publique majeure. Les accusations sont graves, le retrait est suspect, et le public est désormais témoin d’une guerre où chaque geste semble calculé.

Une chose est sûre : on ne pourra plus parler de David Desharnais et d’Isabelle Desjardins comme d’un ancien couple discret. Leur séparation est devenue un dossier public, un mélange explosif de blessures personnelles et de manœuvres légales.

Et si le clan Desharnais espérait éteindre l’incendie en supprimant les stories, il pourrait bien découvrir que certaines flammes, une fois allumées, ne s’éteignent jamais vraiment.